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Publié le 13/08/2018 à 19:56, mis à jour le 14/08/2018 à 10:55 L'autopsie du jeune rugbyman d'Aurillac Louis Fajfrowski, mort à la suite d'un choc vendredi lors d'un match amical contre Rodez, n'a pas révélé lundi la cause du décès et des analyses complémentaires ont été ordonnées, a-t-on appris auprès du parquet. "Les constatations du médecin légiste ne sont pas probantes et ne permettent pas de conclure à la cause du décès" du jeune trois-quarts centre Louis Fajfrowski, 21 ans, a déclaré le magistrat d'Aurillac. Décès d'un rugbyman d'Aurillac après un match contre Rodez : l'autopsie n'est pas concluante - ladepeche.fr. Prochains résultats dans un mois et demi à deux mois "Des prélèvements ont été effectués en vue de réaliser des analyses toxicologiques et anatomo-pathologiques", a-t-il ajouté. Selon lui, le rapport définitif des experts de l'Institut médico-légal de Clermont-Ferrand ne sera toutefois pas connu avant "un mois et demi à deux mois". Deux pistes considérées comme "les plus fréquentes en matière de décès de sportifs" sont envisagées par les médecins: d'une part, un "arrêt cardiaque lié à des produits dopants", même si "à ce stade de l'enquête, nous n'avons aucun élément en ce sens", assure le parquet.
avec AFP 13/08/2018 à 20:58 Malgré l'autopsie réalisée par un médecin légiste, l'origine de la mort du jeune trois-quarts centre Louis Fajfrowski, décédé d'un choc vendredi lors d'un match de rugby, est toujours inconnue. L'autopsie du jeune rugbyman d'Aurillac, mort à la suite d'un choc vendredi lors d'un match amical, n'a pas révélé lundi la cause du décès et des analyses complémentaires ont été ordonnées, a-t-on appris auprès du parquet. Rendez-vous avec Cédric Soulette, un ancien rugbyman reconverti dans l'art. "Les constatations du médecin légiste ne sont pas probantes et ne permettent pas de conclure à la cause du décès" du jeune trois-quarts centre Louis Fajfrowski, 21 ans, a déclaré à l'AFP le magistrat d'Aurillac. "Des prélèvements ont été effectués en vue de réaliser des analyses toxicologiques et anatomo-pathologiques", a-t-il ajouté. Selon lui, le rapport définitif des experts de l'Institut médico-légal de Clermont-Ferrand ne sera toutefois pas connu avant "un mois et demi à deux mois". La suite après cette publicité Deux pistes Deux pistes considérées comme "les plus fréquentes en matière de décès de sportifs" sont envisagées par les médecins: d'une part, un "arrêt cardiaque lié à des produits dopants", même si "à ce stade de l'enquête, nous n'avons aucun élément en ce sens", assure le parquet.
23h02, le 24 novembre 2018, modifié à 16h23, le 25 novembre 2018 Ce vendredi 10 août à Fabrègues, petite ville au sud-ouest de Montpellier, la famille Fajfrowski s'apprête à dîner. Au même moment, Louis, 21 ans, le fils aîné, dispute un match amical avec l'équipe réserve d'Aurillac contre Rodez. "Zen, maman, pas de stress", avait-il glissé à l'oreille de Pélagie pour la rassurer, elle qui se refuse à venir au stade. Ivoirienne, elle garde en mémoire le grave accident dont fut victime son compatriote Max Brito, lors de la Coupe du monde 1995. Soudain, le téléphone sonne. Dominique, le père, décroche. Au bout du fil, un dirigeant aurillacois: dans les vestiaires, les secours tentent de réanimer Louis, touché lors d'un plaquage. "On panique, on prépare les valises, se remémore Pélagie Fajfrowski. Comme Dominique va conduire, je demande à recevoir les coups de fil. L'autopsie du jeune rugbyman d'Aurillac laisse planer le doute. " " J'étais dans un état de tristesse immense mais je ne pouvais pas crier " Le suivant est brutal, elle apprend le décès de son fils: "Je n'ai pas pu le dire, nous devions faire la route.
Un traumatisme du myocarde invisible à l'oeil nu? Les analyses anatomopathologiques pourraient également révéler des "traumatismes du myocarde invisibles à l'oeil nu lorsqu'ils ne sont pas suffisamment importants", et que l'autopsie n'a pu déceler, a-t-il ajouté. Louis Fajfrowski, qui rêvait de devenir joueur professionnel, est décédé vendredi soir après un malaise dans les vestiaires du stade Jean-Alric, a annoncé le club de Pro D2 sur Twitter, faisant part de sa douleur et adressant ses condoléances à sa famille. Sonné, il avait pu se relever avec l'aide des soigneurs avant de se rendre par ses propres moyens aux vestiaires, accompagné d'un médecin. Ses obsèques auront lieu vendredi dans l'Hérault Là il a alors perdu connaissance à plusieurs reprises. Pris en charge par le service médical et les secours arrivés sur place, il n'a pas pu être ranimé, et est décédé vers 20 heures. Sa mort avait endeuillé le monde du rugby et en particulier le Stade Rodez Aveyron, son entraîneur Arnaud Vercruysse et les joueurs.
"Un jour, Louis, alors en classe de troisième, revient avec un dossier sous le bras. Il me dit: ''je suis le seul à l'avoir eu''. » C'est un dossier d'inscription pour le pôle Espoirs de Béziers. "La première année a été dure mais, les suivantes, il a explosé. Il avait des capacités physiques importantes de vitesse et de détente. " Entre-temps, il a rejoint le club de Montpellier (MHR), où il passe cinq ans. "Il y a beaucoup appris, encadré par de très bons entraîneurs. Il a été sélectionné avec l'équipe de France des moins de 18 ans. Et l'année du bac STMG, qu'il a obtenu, il est parti en tournée avec les U19. Quand il a quitté le pôle Espoirs, on lui a remis une médaille, celle de l'élève méritant. Il en était très fier. " Louis jouait à Aurillac, en pro D2 Au MHR, son horizon est bouché par la main d'œuvre sud-africaine. Sollicité par Perpignan et Brive, Louis opte alors pour Aurillac, en pro D2. Un tremplin, dans son esprit. "Ce club avait une réputation de sérieux, resitue le papa.