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A défaut de se projeter dans le futur ou d'un monde qui s'accorde à nos désirs, une vision hallucinée de Gotham City aurait au moins eu le mérite d'être raccord avec l'actualité. Léa Muller * Du côté de chez Malaparte, Raymond Guérin, éd. Finitude, Bordeaux, 2009 ** Irréversible, Gaspard Noé, Studio Canal, 2002. *** Holy Motors, Leos Carax, Les Films du Losange, 2012
Ce qui est magnifique, en ce moment, c'est le son Atmos. Il permet un son d'une finesse et d'une délicatesse absolues. Vous pouvez ressentir les choses avec une telle douceur... On a l'impression d'y être. C'est un outil extraordinaire. Mais la majorité des films en Atmos sont beaucoup trop « forts », et massacrent les oreilles du public. Mais les exploitants ont compris que c'était un très bel outil, on espère que de vrais cinéastes vont s'en emparer et travaillent le son comme l'image. Il y aura des films dont la bande-son Atmos sera un élément à mettre en avant. Beaucoup d'exploitants veulent alors leur « salle Atmos ». Selon vous, quelle est la prochaine grande évolution du cinéma en salles? Déjà, nous avons de la chance d'avoir le système d'aide à la distribution: notre choix de films est d'une diversité inégalée dans le monde, et il faut le préserver. La prochaine grande évolution technologique sera l'écran sans projecteur, des écrans LED, comme d'immenses télévisions. Les premiers écrans arrivent, mais ils sont encore très chers... Architecture et cinémas. Leur arrivée va être très intéressante à intégrer dans nos projets: aujourd'hui, le faisceau de projection nous impose de travailler une salle dans la profondeur, car il faut une salle de projection et que le public soit obligatoirement sous le faisceau.
Cet éclectisme était sa première force. La deuxième tenait dans le constat, lucide mais à mon avis réducteur, que la première esquisse d'un projet était toujours la meilleure sur le plan artistique. Comment a évolué l'architecture des cinémas ? | CNC. Je pense qu'il n'avait pas une grande confiance en parallèle dans la capacité de gérer une opération de bout en bout de la plupart des architectes qu'il avait choisi selon ces critères seulement artistiques. La rapidité avec laquelle il menait alors la phase de concrétisation du projet définitif par le choix de l'entreprise en charge des travaux de construction empêchait toute velléité de remise en cause de celui ci par son auteur. En référence au métier de producteur de cinéma, il produisait de l'architecture à l'issue d'appels d'offres parfois miraculeux car mêmes des projets expérimentaux aux prestations sophistiquées trouvaient preneurs pour leur réalisation. Les architectes les moins naïfs pouvaient comprendre que seules quelques entreprises générales de taille « moyenne supérieure » étaient capables de répondre à de tels défis économiques.