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Encore une chose: le sujet tu ne peut pas désigner plusieurs personnes, donc parti ne peut pas se mettre au pluriel dans cette phrase. Par conséquent, il n'est pas correct d'écrire tu es partis ou tu es parties. Reprenez confiance en vos écrits avec Orthodidacte! Spécialiste de la langue française, Orthodidacte conçoit des outils pour améliorer sa maîtrise des écrits en langue française, notamment dans un cadre professionnel. Découvrez toutes nos offres sur! Découvrir Orthodidacte
C'EST TRES GRAVE!..................................................................................... Bref. tu etais une femme en or et tu le sais je ne dis pas cela parce que tu es parti non. 2 ans apres cette annonce faite par les medecins tu étais encore là et c'était merveilleux de te voir te battre contre cette horible maladie qui en vouliays a ta vie. triste et douloureux de te voir si fatiguée et si desespérée parfois. J'étais le plus possible, aupres de toi. Tous les jours venant te parler comme si de rien était... te racontant mes soucis ma vie mes peines et parfois même... mes peur face à la situation. j'avais peur de te perdre! Que serait ma vie sans toi? Et la c'est toi qui lme soutenait et me prenait dans tes bras pour me consoler! Ma vie je ne la vivais que pour toi! pour mon garcon aussi... je mùe levais le matin en me demandans si tu serai encore là quand j'arriverai? Ce setrait quoi la nouvelle aujourd'hui? Ou le CANCER se serait il propagé cette fois? Car à chaque examens, un truc en plus!
car je ne supportais pas de te voir TOI comme cela je pleurais souvent... parfois même t'en voulais, oh pardonne moi!!! mais c'était tellement reconfortant de savoir que tu te battait et de voir ces efforts et ces progres que tu faisais. tu etais si merveilleuse! je t'aime. puis... alors que... tu re marchais tan bien que mal, alors que tes cheuveux comancais à repousser, alors que tu recommencais à reprendre goût à la vie... une douleur t'a repris... au niveau de la colonne vertébrale... on non!!! Car, si c'était ça... tu le savais, il n'y avait plus rien à faire, il n'y avait plus de rayons, plus de chimio, (tu les avais toutes essayer) et c'était déjas un "miracle" que tu re marches, les médecins l'avaient dit.... tu n'aurais pas dû re marcher! Le medecin... te dis d'aller encore faire un sejour à l'hopital, et là je me souviens! J'ai vu les larmes envahir tes yeux et colaient le long de tes joues, tu pleurais tu sanglottais "comme un bébé".. un vrai chagrin quoi! Et tu pleurais tu crier même, " non je ne veux pas aller à l'hopital!
Tu m'as dit « et comment tu sauras quand je ne serai plus là? », je t'ai dit je ne le saurai probablement pas sans doute que je le devinerai. Mais tu as préféré confier la mission à ton frère de me prévenir, comme il devrait le faire avec tes amis… Finalement j'ai pu « être là » jusqu'au bout et je voudrais ici simplement partager notre dernier échange: « Tu ne m'as pas donné de nouvelles aujourd'hui… Sans doute n'en as tu plus la force… Si quelqu'un lit ce message qu'il te dise à l'oreille MERCI … tout simplement pour tout ce qu'on a pu échanger toutes les deux. J'espère avoir pu t'aider… Je t'embrasse SANDRA » « Salut Sandra, je tiens encore un peu, j'espère que tu vas bien. merci toi aussi d'avoir été là pour moi MERCI » Depuis le 1er Décembre une nouvelle étoile brille quelque part là haut. Le 31 Décembre tu aurais eu 17 ans. Chaque jour qui passe j'ai une pensée pour toi… Je te l'ai promis je ne t'oublierai pas!
Bonjour rduke, Il faut se reporter au mot repris par qui, cad son antécédent. Ici, l'antécédent est toi, pronom de la 2e personne du singulier. On écrira donc le verbe être à la 2e personne du sing. du présent de l'indicatif. ==> Toi qui es. Projet Voltaire: « Règle derrière « moi qui » et « toi qui » Pour accorder correctement le verbe qui suit le pronom relatif « qui », reportez-vous au mot que « qui » reprend (son antécédent): c'est avec lui qu'il faut accorder le verbe, en nombre et en personne. Méfiance, par conséquent, quand « qui » représente un mot qui relève de la 1 re ou de la 2 e personne du singulier: n'écrivez pas « moi qui va, toi qui va », mais « moi qui vais, toi qui vas »! »
Il y a quelques semaines, tu me demandais en toute sincérité si tu pouvais me poser une question: « Je peux vous poser une question? » Et moi loin de me douter que de cette question naitrait l'une des semaines les plus intenses émotionnellement de toute ma vie… je t'ai dit oui! Tu étais malade depuis trois ans déjà, tu venais de réintégrer l'hôpital en catastrophe écourtant ta permission du week-end. Tu voulais savoir si les infirmières comme moi, à domicile, pouvaient prendre en charge des malades comme toi avec beaucoup de soins pour qu'ils restent chez eux. Toi qui du haut de tes presque 17 ans avait déjà subit tant de choses, tu semblais vraiment en avoir ras le bol de tous ces traitements. mais tu craignais qu'on pense de toi que tu n'étais pas courageuse, si tu décidais de tout arrêter. Finalement, le lendemain, tu n'as pas eu à prendre la décision, les médecins l'ont fait pour toi, tu ne pouvais plus supporter de chimiothérapie supplémentaire. Vous en avez parlé, toi et tes parents, mais ce n'était vraiment pas facile.
l'apres midi pareil encore kine pour exercise allonge ce coup ci... tu passais du lit aux wc du wc a table sur un fauteuil roulant puis du fauteuil au lit c'tait tes journées. Parfois tu languissait de partir. tu ne voulait pas qu'on est ce souvenir de toi! (PARDON) la pire des chose ce fut tes jambes.. être dependante! tu ne pouvais plus conduire........... puis quand même tu te battai tu apprenais avec le kine... tu as reussi a re marcher un peu avec un déhmbulateur et puis peux apres avec 2 bequilles puis une bequille si j'étais la pour te donner le bras l'autre côte... puis ce fut l'épreuve des escaliers, tu voulais ressortir voir le soleil et fait=re des coursses... (parfois c'est embetant de faire les couresse mùais à ma petite maman ca lui choses les plus banales lui manquait). alors je me rapelle, j'étai d'un côte je te prenais la jambes pour la mettre sur un escalier... tu reprennais ton souffle... puis je faisais l'autre jambe... etc etc... C'était long, éprovant, pour toi comme pour moi!