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On comprend que Wagner soit son compositeur de prédilection... Pour l'anecdote, le voir monter sur le plateau saluer au final en jean couleur moutarde et en Van's aux pieds est un grand moment. Il peut donc porter autre chose que le frac. Le Chevalier à la rose • Opéra Bastille • L'Officiel des spectacles. Nous sommes rassurés... Ce soir-là, le public de cette générale n'a pas ménagé ses applaudissements et ses rappels. C'est un signe de très bon augure pour la carrière parisienne de ce « Chevalier à la rose »! Oui, quelle soirée! Ach! Die Gemütlichkeit!
Pour soutenir le travail de toute une rédaction, abonnez-vous Pourquoi voyez-vous ce message? Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de "cookies" sur votre navigateur, qui permettent notamment d'afficher de la publicité personnalisée. Nous respectons votre choix, et nous y veillerons. LE CHEVALIER À LA ROSE - Opéra Bastille | THEATREonline.com. Chaque jour, la rédaction et l'ensemble des métiers de Télérama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complète, un suivi de l'actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, des vidéos, des services, des évènements... Qualité, fiabilité et indépendance en sont les maîtres mots. Pour ce faire, le soutien et la fidélité de nos abonnés est essentiel. Nous vous invitons à rejoindre à votre tour cette communauté en vous abonnant à Télérama. Merci, et à bientôt. S'abonner
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Qu'à cela ne tienne, il va séduire le baron en se déguisant en femme, afin de montrer quel rustre est cet homme là, et faire ainsi annuler le mariage de Sophie et du baron (clin d'oeil à Mozart bien évidemment). Entre deux actes on se détend comme on peut! Lire la note...
Strauss le 25/05/2016 Opéra national de Paris, Opéra Bastille par Chantal Cazaux Peter Rose (le Baron Ochs) et Michaela Kaune (la Maréchale). Le chevalier à la rose bastille. Il est parfois difficile de poser des mots sur un spectacle, lorsqu'il a « la grâce ». La reprise à l'Opéra Bastille du Rosenkavalier dans la production d'Herbert Wernicke (créée à Salzbourg en 1995 et présentée à Paris deux ans plus tard) est de ceux-là. L'opéra de Strauss est un chef-d'œuvre d'esprit et de truculence, la mise en scène du regretté Wernicke conjugue beauté et élégance de l'âme en un jeu de miroirs aussi troublant que spectaculaire, la direction d'acteurs reprise par Alejandro Stadler est un bijou d'humour et de subtilité – et la réalisation musicale est au diapason de ce tableau idyllique. Il ne s'agira peut-être pas des splendeurs vocales d'il y a vingt ans (Fleming, Graham et Bonney) ni de celles, superlatives encore, de la captation vidéo à Baden-Baden en 2009 (DVD Decca: Fleming toujours, avec Koch, Damrau et un Chanteur italien nommé… Kaufmann!