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Article réservé aux abonnés LYON de notre bureau régional Il bruine doucement sur le marché du quai Saint-Antoine. Les matins de fin de semaine, le charme de ces étals de primeurs et de fleurs, en bordure des vives eaux de la Saône, attire nombre de Lyonnais, venus de la presqu'île ou d'ailleurs. Ce samedi 12 janvier, M. Michel Noir tente d'éviter de la tête les bâches qui protègent les marchands de quatre-saisons. Une dame, les bras chargés de sacs, l'arrête, lui raconte par le menu les derniers trois quarts d'heure consacrés par son mari à trouver une place où garer sa voiture. M. Noir lui demande de prendre patience deux ans et lui rappelle son programme de parkings en centre-ville. A ses côtés, M. Albéric de Lavernée, maire du deuxième arrondissement, encarté au RPR, acquiesce. Plus loin, une autre s'inquiète de la guerre. « Monsieur le Temps ». " Tout se décidera deux heures avant l'ultimatum ", affirme M. Noir. Un monsieur s'immisce pour s'insurger contre les graffitis et les crottes de chien. Il propose des mesures répressives, " qui enfin agiraient sur les causes et non sur les conséquences ".
Situé à deux pas des Champs-Elysées, le restaurant du Four Seasons Hotel George V, le cinq, est en train de devenir une des adresses privilégiées des Parisiens. Le chef Philippe Legendre propose chaque jour, au déjeuner, même le weekend, un menu « Propositions du marché », qu'il remanie toutes les semaines, pour tenir compte des arrivages.
Où l'on peut s'attendre à de nouveaux contrôles dans les semaines qui viennent.
Si la Banque centrale européenne et la Banque du Japon se réjouissent probablement d'une certaine dépréciation de leurs devises compte tenu de la faible inflation (« lowflation ») persistante, une vigueur excessive du billet vert affecterait les débiteurs en dollars des marchés émergents, les prix des matières premières et le secteur américain de l'énergie et pourrait inciter la Chine à procéder à une dévaluation plus agressive du yuan face à la monnaie américaine afin d'empêcher toute hausse durable vis-à-vis du panier de devises.
Ensuite, nous faisons le maximum pour démontrer aux touristes que l'Aude est une terre où il fait bon vivre, afin que ces touristes se transforment en autant d'ambassadeurs à leur retour». Une vitrine pour le meilleur Les marchés de l'arrièrepays, «au cur du pays cathare» sont donc une vitrine de ce qui se fait de mieux en matière gastronomique. Bien entendu, les producteurs n'entendent pas vivre toute l'année de ce qu'ils vendent au cours de l'été sur ces marchés gourmands. Délocalisé le temps des travaux, le marché alimentaire de Draguignan fait son retour sur sa place - Var-Matin. Mais les retombées sont assez importantes pour que certains embauchent des salariés pour leur tenir leurs stands au cours de l'été. Les commandes suivront dans l'hiver. «On a vu des producteurs audois commencer comme ça, avec des toasts sur une assiette, et qui sont aujourd'hui référencés chez Fauchon! », note Guy Giva. Triés sur le volet Au total, le comité de promotion de la chambre d'Agriculture, animé par Michel Cano, peut compter sur une cinquantaine d'exposants, qui, pour l'immense majorité, se font d'abord connaître au travers du concours Aude Gourmande.