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Mais j'ai aussi compris que la place du kiné était très dépendante du médecin en charge, que je n'aurai jamais la vue d'ensemble sur le cas d'un patient et que je ne serai jamais celui qui prendrait les décisions. Bref, j'ai compris que ce qui me faisait réellement vibrer, c'était le métier de médecin. J'ai découvert l'effervescence de l'hôpital, l'unité et la solidarité qu'il y avait entre chacun des membres de l'équipe, l'énergie qu'ils dégageaient. À l'époque, il n'existait pas de passerelle entre les études de kiné et de médecine. Cela signifiait donc reprendre mes études depuis le départ. Alors j'ai laissé l'idée de côté, j'ai eu mon diplôme de masseur-kinésithérapeute et j'ai commencé à faire des remplacements en France et à La Réunion. Retourner à la fac à 30, 40 ou 50 ans. L'attrait de la blouse blanche m'est passé, un peu. En tout cas, je parvenais à faire taire cette petite voix dans ma tête qui me poussait à tout plaquer pour tout recommencer. Je parvenais à faire taire cette petite voix dans ma tête qui me poussait à tout plaquer pour tout recommencer.
Les temps sont très durs, certes, mais pas plu dur dans le droit qu'ailleurs. Bon courage, c'est possible!
Noisettes 2 747 Membre+, Un manuscrit dans une main, une boussole dans l'autre, 38ans Posté(e) le 26 novembre 2012 Rasibus 492 Membre, 87ans todcvince 0 Chasing 154 43ans arwena 1 965 aventurière petit format, 44ans Posté(e) le 27 novembre 2012 guillom83 Nouveau, Posté(e) le 2 décembre 2012
Nous allons devoir trouver un nouvel équilibre, un nouveau rythme. Jusqu'ici je passais mes soirées et mes week-ends à vadrouiller, faire du sport, faire la fête avec ma femme et mes amis. Bientôt, je troquerai ça contre une graaande pile de bouquins, de fiches et de stabilos de toutes les couleurs. J'ai conscience que tous ces sacrifices sont importants, mais je les fais en connaissance de cause. Reprendre etudes a 30 ans en beauté. Et ce qui est sûr, c'est que je ne serai pas le même étudiant aujourd'hui que je l'aurais été à 20 ans. Je sais pourquoi je fais ça, j'ai plus de recul. J'ai déjà une expérience de l'hôpital et de la prise en charge d'un patient, je sais dans quoi je m'embarque. Sans vouloir être pessimiste, je pense que cette crise est la première d'une longue série. Je veux avoir les moyens d'agir. Et c'est en tant que médecin que j'aurai le plus d'impact.
- il faut bien se renseigner sur l'orientation de chaque université en fonction de son projet professionnel. - a chacun de trouver son organisation et sa méthode de travail. Rien n'est imposé! - on trouve facilement sur Internet toutes les informations nécessaires en fonction de son projet.
Je te souhaite motivation, lucidité et un brin de "folie".
Etant née bilingue, j'ai compris que je n'étais pas en mesure de transmettre une langue de la même manière que je l'avais acquise. Passer par les règles de grammaire m'était rébarbatif, d'ailleurs je détestais cette matière à l'école. Je me suis donc lancée dans la vie d'entreprise avec comme seul débouché l'assistanat. Pour me rendre la tâche intellectuellement plus agréable j'ai visé le secteur de la presse et des médias, avec succès. Qui a déjà repris ses études à 30 ans ? - Etudes - Forum Fr. Malheureusement si je reconnaissais la valeur de mon employeur, le travail qui m'était donné en retour n'était pas à la hauteur de mes capacités. Je me suis sentie sous exploitée, enfermée dans une image d'exécutante qui n'était pas la mienne. Lentement mais sûrement je me suis inhibée intellectuellement, de toute façon à quoi bon avoir les mêmes connaissances que mes supérieurs si elles ne sont pas reconnues et qu'elles me font souffrir? Me disais-je. Je me suis abrutie au point que l'on m'a reproché de ne pas "être là". En effet, j'étais débranchée. Mon envie de reconnaissance professionnelle et ma soif d'apprendre m'ont finalement fait réagir.