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Sur son blog, Mohamed Ali Charmi, professeur à l'Ensi Tunis (une école d'informatique), adresse ainsi une lettre ouverte à Souad Abderrahim: « Vous oubliez madame, que quand vous marginalisez ces femmes, vous lésez des bébés, des enfants qui n'ont pas choisi de venir dans ce monde cruel. Vous oubliez que si vous livrez ces femmes à leur sort vous les laissez proie facile à la drogue et la prostitution et vous détruisez l'avenir de leurs enfants», écrit-il. Rédigé le Lundi 14 Novembre 2011 à 16:18 Souad Abderrahim, femme-alibi, dévoilée, des islamistes d'Ennahda au pouvoir à Tunis, traite les mères célibataires «d'infamie pour la société». Chassez le naturel…. Qu'elle était belle, l'islamiste-féministe, le meilleur agent communicateur du parti Ennahda, avec sa rousse chevelure dévoilée qui flottait au vent lyrique des grands meetings! Souad Abderrahim, pharmacienne de 47 ans, était supposée incarner la modernité nouvelle du mouvement de Rached Ghannouchi, la preuve par sa crinière libre que libre serait le destin féminin au pays tunisien désormais régi par pluie d'articles, un déluge de reportages, un amoncellement de portraits se chargeaient de convaincre l'opinion tunisienne et internationale que l'énergique Souad ressemblait au discours gracieux concocté par son parti.
Les mères célibataires en Tunisie by kbaier Ahmed
Soutenance de thèse Résumé A travers une approche phénoménologique basée sur des récits à la première personne, la thèse enquête sur les expériences des femmes qui sont mères célibataires en Tunisie. La question abordée est celle que Michael Jackson a appelé "la lutte pour être" (the struggle for being), c'est-à-dire l'ensemble des efforts et des négociations avec les évènements pour trouver un certain équilibre entre "être acteur" et "être agi". La grossesse et la maternité célibataire se présentent comme une chute statutaire (disgrace) car la femme, dans la plupart des cas, compromet les liens avec ses proches et perd également son travail et son logement. En s'appuyant sur des concepts de Pierre Bourdieu, ces parcours individuels peuvent être décrits comme un mouvement descendant au cours duquel elle perd sa position dans le champ social – avec son capital matériel et symbolique – du fait qu'elle n'a pas suivi le "sens du jeu" de la maternité selon lequel la maternité n'intervient que dans le mariage.
Par | 19 Mai 2022 à 22:29 Mercredi 18 mai 2022, le directeur général du Centre de maternité et de néonatologie de l'hôpital Wassila Bourguiba, Dr Hafedh Dakhlaoui, a apporté un certain nombre de précisions concernant l'obligation de présenter un contrat de mariage avant de bénéficier des services du centre. Dans une déclaration à une radio locale, Dr Dakhlaoui a expliqué que la circulaire n° 41 du mois du 3 juin 2000, stipule que les femmes enceintes doivent présenter leur carte d'identité nationale, leur carnet de soins et le contrat de mariage ou un extrait de naissance récent dans les services de génécologie-obstétrique des hôpitaux et des centres de soins publics. Il a ajouté qu'en ce qui concerne les maladies gynécologiques, les femmes concernées doivent présenter uniquement la carte d'identité nationale et le carnet de soins, sans obligation de présenter le contrat de mariage. Dr Dakhlaoui a ajouté que toutes les citoyennes peuvent se rendre dans les hôpitaux pour recevoir tout autre service de santé, comme des radiographies, sans présenter le contrat de mariage.