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> Liturgie > Samedi 17 Juillet 2021. Vendredi 3 Juin 2022 - Sts Charles Lwanga et ses compagnons, martyrs Bx Didace de Vallinfreda, religieux o. f. m. († 1919) St Cécilius, prêtre († IIIe s. ) St Hilaire, évêque († IVe s. ) St Lifard, prêtre († VIe s. ) Ste Olive, vierge († au VIe ou VIIe s. ) St Kevin, Abbé († 622) St Genès, évêque († v. 650) St Isaac de Cordoba, moine et martyr († 854) St Davin, pèlerin pour le Christ († 1051) St Morand, moine († v. 1115) Bx André Caccioli, premier prêtre o. m. St Conus, moine († XIIIe s. ) Bx Francis Ingleby, prêtre et martyr († 1586) St Jean Grande, religieux o. h. Psaumes.info : Liturgie du Dimanche 17 Juillet 2016.. († 1600) Bx Charles-René Collas du Bignon, martyr († 1794) St Paul Dông, père de famille et martyr. († 1862) Samedi 17 Juillet 2021 15me semaine du temps ordinaire Les lectures du jour: Première lecture Psaume Evangile Les commentaires: [ Retour | Imprimer cette page | Envoyer cette page à un ami | Contact]
> Liturgie > Mercredi 18 Mai 2022. Vendredi 3 Juin 2022 - Sts Charles Lwanga et ses compagnons, martyrs Bx Didace de Vallinfreda, religieux o. f. m. († 1919) St Cécilius, prêtre († IIIe s. ) St Hilaire, évêque († IVe s. ) St Lifard, prêtre († VIe s. ) Ste Olive, vierge († au VIe ou VIIe s. ) St Kevin, Abbé († 622) St Genès, évêque († v. Psaumes.info : Liturgie du Mercredi 18 Mai 2022.. 650) St Isaac de Cordoba, moine et martyr († 854) St Davin, pèlerin pour le Christ († 1051) St Morand, moine († v. 1115) Bx André Caccioli, premier prêtre o. m. St Conus, moine († XIIIe s. ) Bx Francis Ingleby, prêtre et martyr († 1586) St Jean Grande, religieux o. h. († 1600) Bx Charles-René Collas du Bignon, martyr († 1794) St Paul Dông, père de famille et martyr. († 1862) Mercredi 18 Mai 2022 5me semaine de Pques Les lectures du jour: Première lecture Psaume Evangile Les commentaires: [ Retour | Imprimer cette page | Envoyer cette page à un ami | Contact]
En fait, Jésus savait comment leur répondre avec sagesse, déjouant leurs multiples pièges. Tu me donnes le bouclier de ton salut, ta droite me soutient, et je deviens grand par ta bonté. Tu élargis le chemin sous mes pas, et mes pieds ne chancellent point. Je poursuis mes ennemis, je les atteins, et je ne reviens pas avant de les avoir anéantis. Je les brise, et ils ne peuvent se relever; ils tombent sous mes pieds. Tu me ceins de force pour le combat, tu fais plier sous moi mes adversaires. Psaume 17 18 chanté de la. Tu fais tourner le dos à mes ennemis devant moi, et j'extermine ceux qui me haïssent. Ils crient, et personne pour les sauver! Ils crient à l'Éternel, et il ne leur répond pas! Je les broie comme la poussière qu'emporte le vent, je les foule comme la boue des rues. Tu me délivres des dissensions du peuple; tu me mets à la tête des nations; un peuple que je ne connaissais pas m'est asservi. Plusieurs non-Juifs servent aujourd'hui le roi Jésus. Ils m'obéissent au premier ordre, les fils de l'étranger me flattent; Les fils de l'étranger sont en défaillance, ils tremblent hors de leurs forteresses.
Il donne à son roi de grandes victoires, il se montre fidèle à son messie, à David et sa descendance, pour toujours. Évangile « Celui que j'ai fait décapiter, Jean, le voilà ressuscité! » (Mc 6, 14-29) Alléluia. Alléluia. Heureux ceux qui ont entendu la Parole dans un cœur bon et généreux, qui la retiennent et portent du fruit par leur persévérance. Alléluia. (cf. Psaume 17 18 chanté al. Lc 8, 15) Évangile de Jésus Christ selon saint Marc En ce temps-là, comme le nom de Jésus devenait célèbre, le roi Hérode en entendit parler. On disait: « C'est Jean, celui qui baptisait: il est ressuscité d'entre les morts, et voilà pourquoi des miracles se réalisent par lui. » Certains disaient: « C'est le prophète Élie. » D'autres disaient encore: « C'est un prophète comme ceux de jadis. » Hérode entendait ces propos et disait: « Celui que j'ai fait décapiter, Jean, le voilà ressuscité! » Car c'était lui, Hérode, qui avait donné l'ordre d'arrêter Jean et de l'enchaîner dans la prison, à cause d'Hérodiade, la femme de son frère Philippe, que lui-même avait prise pour épouse.
» Le roi fut vivement contrarié; mais à cause du serment et des convives, il ne voulut pas lui opposer un refus. Aussitôt il envoya un garde avec l'ordre d'apporter la tête de Jean. Psaume 17 18 chanté en. Le garde s'en alla décapiter Jean dans la prison. Il apporta la tête sur un plat, la donna à la jeune fille, et la jeune fille la donna à sa mère. Ayant appris cela, les disciples de Jean vinrent prendre son corps et le déposèrent dans un tombeau. – Acclamons la Parole de Dieu.
Dieu ne vous demandera jamais d'emprunter les voies du péché afin d'accomplir sa volonté. Si vous devez agir comme le monde pour « réussir », votre « succès » est un échec selon Dieu. Si vos « progrès » arrivent en empruntant le chemin de la rébellion, le déshonneur et la trahison, vous avez, en fait, reculé sans même le réaliser. Véritablement, « les voies de Dieu sont parfaites ». Marchons donc selon ses voies parfaites et soyons de bons modèles de son royaume. | Découvrez les notes « Dieu mon bouclier » afin d'approfondir vos connaissances sur ce sujet. Car qui est Dieu, si ce n'est l'Éternel; et qui est un rocher, si ce n'est notre Dieu? C'est Dieu qui me ceint de force, et qui me conduit dans la voie droite. AELF — Messe — 4 février 2022. Il rend mes pieds semblables à ceux des biches, et il me place sur mes lieux élevés. Il exerce mes mains au combat, et mes bras tendent l'arc d'airain. Même si les ennemis de Christ, comme les scribes, les pharisiens et les sadducéens, exerçaient ses « mains au combat », c'est-à-dire, s'opposaient constamment au Seigneur, le bras du Seigneur était victorieux sur eux.
Le silence du patient (et celui de l'analyste aussi – ou, mieux, le silence du couple analytique) peut tout autant représenter une résistance à la verbalisation que, au contraire, une assimilation de contenus psychiques, éventuel berceau d'une verbalisation à venir… Après avoir rapidement analysé les différentes significations du silence, nous affirmons que, dans la cure analytique, le silence n'est pas tant une manière de ne pas communiquer, qu'une manière de communiquer autrement. Nous soutenons également que, afin que les mots employés soient des mots vivants, il faut que ceux-ci prennent leur fondement dans le silence dont ils émergent; en l'absence de ce rapport au silence, il existe un risque de communication non authentique. L'écoute, en analyse, n'est pas seulement celle des mots mais également celle du silence, des intervalles et des pauses: ce type d'écoute favorise, à la fin, une appréciation du présent et de sa caducité. Discours Écoute Mots Pause Silence Voix After having commented on the various meanings of silence, we assert that silence in the analytic cure is not so much a way of avoiding communication as a way of communicating differently.
» « Il y a juste derrière le mutisme, dans son sillage, le désir de non-relation » Au fil des épisodes, le silence laisse place au doute sur les sentiments, au sentiment d'insécurité affective. Mais aussi « aux fantasmes qui germent à partir de faits insignifiants », note Isabelle Levert. Au fur à mesure des « crises », le mutique répète de longs épisodes de « silence. (…) Il (elle) peut même partir pendant qu'on lui parle » dans l'attente d'une intention. De son côté, l'autre membre du couple « estomaqué, sonné, est submergé d'émotions et de pensées, contradictoires, confuses, douloureuses, qui se heurtent les unes contre les autres dans la tête (…). Petit à petit, la peur [s'insère] au centre du cœur ». Puis lorsqu'une forme d'échange verbal revient, « les mots se multiplient mais ils tombent dans l'oreille d'un sourd [le mutique]. Il n'écoute rien, ou plutôt que lui-même et n'entend pas l'autre. Il s'est positionné en dehors de la relation, désengagé en fait ». Ainsi, « derrière le mutisme, dans son sillage, se cache le désir de non-relation ».
Le silence dans la cure analytique (aussi bien du côté de l'analyste que de celui de l'analysant) peut avoir de multiples significations. Il existe une très vaste production littéraire à ce sujet et il est possible d'en consulter une synthèse commentée dans le no 43 du Giornale storico di psicologia dinamica. Giorgio Antonelli, qui a dirigé ce numéro de la revue, décrit une série de significations possibles du silence, significations qui peuvent être pensées soit comme conscientes, soit, au contraire, comme inconscientes. Le silence peut ainsi être considéré comme «... acceptation... et encore comme agressivité, angoisse de persécution, croissance tranquille, désespoir, distance émotive, expérience d'harmonie, confiance, incapacité à affronter l'anxiété dépressive, intégration, hostilité paranoïde, paix, refus, retrait, découragement, séduction sexuelle, symptôme d'un empêchement à répéter, soupçon, vide ». Je crois, en ce qui concerne le silence dans le travail psychanalytique, qu'il est nécessaire de remarquer la présence, parmi ses différentes significations, d'une grande polarité représentée par le fait que le silence peut être un obstacle mais également une stimulation pour le processus analytique; en 1926, Theodor Reik évoqua le dieu à double visage, Janus.
Pour bien interpréter les silences, il est important d'être plus en phase avec la logique de l'autre, plutôt qu'avec nos peurs et nos fantasmes. Le silence dit toujours quelque chose, mais dans les situations conflictuelles, il est plus sain de se tourner vers la parole. Interpréter les silences n'est pas chose facile; ils n'ont pas toujours un sens et, lorsque c'est le cas, le trouver exige d'être sûr de soi et de bien connaître les autres. C'est pourquoi, en réalité, il s'agit d'un véritable art qui met à l'épreuve nos insécurités, nos complexes et nos désirs explicites ou implicites. Supposons que l'on ne puisse pas tout dire. Il y a des sentiments ou des expériences qui échappent aux mots. Ils ne trouvent pas de moyen d'expression et, par conséquent, ils deviennent une sorte de silence "plein" de contenu. Ce n'est pas à ce type de silence que nous allons nous référer, car ils correspondent simplement à l'impossibilité de tout communiquer. Le genre de silence dont nous allons parler est délibéré.
D'où la multitude des points de tension en cas de non-dit. Illustration Adobestock Le pendant des envolées… le silence « Outre les mots poignants, le conflit peut aussi émerger en sourdine. Contrairement aux idées reçues, le mutisme et le renfermement sur soi ne sont pas de pures marques de silence », comme le rappelle Isabelle Levert (2) dans son ouvrage « Les violences sournoises dans le couple »(3). Hé oui, l'amour et ses paradoxes sont encore une fois de la partie. Ainsi, « le baiser est la plus sure des façons de se taire en disant tout » comme écrivait Guy de Maupassant. Mais il en va de même pour le silence. « Croire que le mutisme est simplement une non-communication est une erreur grave. C'est au contraire une communication et elle peut être particulièrement violente au sein d'un couple ». Notamment lorsque la spirale silence-discussions houleuses (voire cris) se répètent dans le temps. « Cette boucle (…) se répète quasiment à l'identique jusqu'à ce que la relation se déséquilibre dangereusement, provoquant une crise plus importante (en intensité et en durée) que les autres.
Ce n'est pas le cas si l'intention est de négliger les besoins de l'autre ou de se réjouir du quota de pouvoir que cela génère, ou, peut-être, de cacher quelque chose. Pour ceux qui attendent la communication, il n'est jamais facile d'interpréter les silences. Dans ces cas, il est très facile pour les peurs, les insécurités et les désirs insatisfaits de remonter à la surface. Celui qui craint d'être rejeté, par exemple, pourrait interpréter le silence comme un signe de rejet justement. Ou bien celui qui veut ardemment être aimé peut penser que le silence est un étrange moyen de lui rendre son affection. Il est facile de se tromper soi-même quand l'autre est silencieux. Le silence comme expression de la perplexité Souvent, ce qu'un silence exprime, c'est la confusion. L'un exige une réponse ou des propos que l'autre n'a pas. Il ne sait pas comment répondre et il évite ainsi que ses mots le compromettent dans quelque chose qui n'est peut-être pas exactement ce qu'il veut dire. Dans ce cas, ce qui prévaut, c'est l'insécurité et le doute envers l'autre.