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Les Grandes Heures Automobiles-0444 | Automobile, L'heure, Auto
La date de la cinquième édition des Grandes Heures Automobiles, sur l'Autodrome de Linas-Montlhéry, est désormais meeting aura lieu les 20, 21 et 22 septembre 2019. L'édition 2018 a rassemblé 18 000 spectateurs. Le succès du meeting lui a permis de figurer dans le Top 5 des « Best Motorsports Events of the Year » En 2018, notre jeune événement a encore vécu de belles émotions. Ce fut notre nomination dans le Top 5 des "Best Motorsports Events of the Year" aux Historic Motoring Awards 2018 au bout de seulement 3 éditions. Comme à l'accoutumée les Grandes Heures Automobiles se partageront entre autos et motos qui tourneront sur le célèbre anneau et son banking non moins célèbre, avec la participation de nombreux pilotes de renom, de nombreux clubs et de collectionneurs passionnés.
Même les précédentes éditions furent un succès, même si l'événement automobile, pourtant tout jeune, fut classé dans le Top 5 des « Best Motorsports Events of the Year » aux Historic Motoring Awards 2018, Les Grandes Heures Automobiles qui devaient se dérouler fin septembre de cette année sur l'Autodrome de Linas-Montlhery n'auront pas lieu. Cette absence n'est en fait que la confirmation de craintes qui étaient apparues l'hiver dernier dès Rétromobile. On disait ici et là qu'il y avait des problèmes au sein de l'équipe d'organisation de l'événement, que des conflits de personnes avaient pris trop d'importance ou que l'argent et les aides manquaient. Bref, les mêmes bruits de couloirs qu'à chaque fois et surtout rien d'annoncé officiellement (affiche et dossier d'engagement absents du web et de la page Facebook officielle), surtout à un trimestre de ce week end automobile qui, bien que récent, est apprécié par les amateurs et le public. Cap est mis sur 2020 Nous avons découvert ce matin l'annonce officielle qui dit en substance: « Après quatre éditions, Les Grandes Heures Automobiles (LGHA) se réorganisent et une nouvelle équipe prend en charge l'événement.
En 2 années et outre les participants, Les Grandes Heures Automobiles ont déjà accueilli Jean-Claude Andruet, René Arnoux, Hubert Auriol, Jürgen Barth, Jean-François Baldé, Anthony Beltoise, François Chatriot, Jean-Claude Chemarin, Yannick Dalmas, Jean Guichet, Jean-Pierre Jabouille, Jean-Pierre Jaussaud, Davy Jeanney, Jacques Lafitte, Philippe Monneret, Norman Nato, Jean-Pierre Nicolas, Bob Neyret, Henri Pescarolo, Patrick Pilet, Jean Ragnotti, Bruno Saby ou Eric Saul… pour en citer quelques-uns. Du plaisir sur 2, 3 ou 4 roues Ici, on est loin de l'esprit de chapelle. Et qu'elle soit sur 2, 3 ou 4 roues, priorité à la passion. L'an dernier, on a pu ainsi voir des pilotes comme François Chatriot délaisser la Renault Maxi 5 Turbo Groupe B qu'il avait en 2015 pour rouler sur sa Honda. Philippe Gache enchainer les séries avec sa Mazda RX7 Groupe B et sa moto. Et Philipp Moch rouler aussi bien avec son side-car des records qu'avec la Voisin des records de 1927. Le plein de nouveautés pour 2017 À un peu plus de 2 mois de l'édition #03, les Grandes Heures s'apprêtent à grimper une nouvelle marche riche en promesses et en nouveautés.
Il compte des soutiens économiques et politiques 2 Le temps de la réflexion « Les élus siégeant au sein du Conseil d'agglomération n'ont pas disposé, en temps utile, d'informations claires, complètes et non erronées » sur la compensation, soutiendra l'avocat. Et d'évoquer une convocation « sept jours avant la tenue de la séance » du conseil communautaire. La partie adverse rappellera certainement les multiples réunions préparatoires à l'écriture du règlement. Elles réunissaient en un comité de pilotage les élus des 24 communes concernées et les directeurs des services intéressés. 3 L'intérêt général C'est un fait: la compensation limite le droit de propriété en ce qu'elle contraint l'usage du bien (2). C'est possible, pour un motif d'intérêt général. C'est la réalité de cet intérêt qui place ou non la compensation en contradiction avec le principe européen de « libre prestation de service ». Il s'impose aux droits nationaux. Victor Steinberg se placera sur ce terrain. Ici, la pénurie de logements disponibles en location à l'année pourrait caractériser l'intérêt général de la compensation.
Les chiffres du marché immobilier serviront encore. Les professionnels et hébergeurs amèneront aussi les débats sur la sévérité du modèle choisi, par l'Agglomération. « Trop restrictif », estiment-ils. Ils contesteront notamment un aspect: « les locaux commerciaux situés en rez-de-chaussée ne pourront pas servir de compensation », dispose le règlement intercommunal. En pratique, il deviendra extrêmement difficile de « compenser ». D'autant que des critères géographiques s'y ajoutent: le propriétaire doit compenser dans la même ville.