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Ceux dont le phénotype est favorisé auront un plus grand nombre de descendants, et la fréquence des allèles qu'ils portent augmentera à la génération suivante. C'est le mécanisme de sélection naturelle. Un exemple hyper classique à connaître: la Phalène du Bouleau ( vidéo 6'44) sélection naturelle sur un papillon Pour qu'il y ait sélection naturelle, il faut donc qu'il y ait: une diversité initiale des phénotypes macroscopiques (ce sont eux sur lesquels s'exercera la sélection) au sein de la population. Exemple: phalènes claires et phalènes sombres qui existent déjà avant que la pollution ne survienne. une pression de sélection, c'est à dire un tri entre les individus qui ont le phénotype avantageux (qui survivent) et ceux qui ne l'ont pas (qui meurent ou se reproduisent moins). Espace SVT - spé SVT. Exemple: phalènes sombres mieux camouflées sur les troncs sombres: les prédateurs trient en mangeant les claires et en épargnant les sombres.. une augmentation de la fréquence des allèles avantageux dans la population: c'est la valeur sélective de ces allèles: ils avantagent les individus qui les portent.
Notions fondamentales: maintien des formes aptes à se reproduire, hasard/aléatoire, sélection naturelle, effectifs, fréquence allélique, variation, population, ressources limitées. Vidéo d'introduction: les mécanismes d'évolution TP: Modélisation de la dérive génétique et de la sélection naturelle A/ Diversification d'une population au cours du temps Une population est un ensemble d'individus d'une même espèce mais ne possédant pas les mêmes caractères, c'est à dire les mêmes combinaisons d'allèles pour leurs gènes. Au sein d'une population il existe donc une diversité génétique correspondant à la fréquence de ces caractères et de ces allèles. Dérive génétique et évolution - Maxicours. Dans les populations, les fréquences des caractères et des allèles évoluent de génération en génération selon 2 mécanismes: a) La sélection naturelle – livre p74-75 A un instant donné, les individus d'une population ont une survie et une fertilité différentes selon les conditions du milieu (accès aux ressources alimentaires, compétition avec d'autres espèces, etc…).
C'est le hasard qui a fait qu'un pionnier porteur de l'allèle malade se trouva dans la population fondatrice. Dans le cas de la dystrophie myotonique, l'écart du nombre de cas est dû à une fréquence supérieure à la normale de l'allèle de la maladie au sein d'une très petite population colonisatrice ayant quitté la Vendée et la Charente-Maritime, en France pour s'établir au Québec [ 3]. Lorsqu'un nombre réduit d'individus se sépare d'une population plus vaste, pour aller coloniser une île ou un nouveau milieu, ces individus ne vont « emporter » qu'un échantillon d'allèles du pool d'allèles de la population mère, et ce, de manière que l'on suppose aléatoire. La nouvelle population peut donc présenter des fréquences génotypiques fort différentes de la population initiale. Cet écart peut changer radicalement le profil (allélique, génotypique et phénotypique) de la population fondatrice, par rapport à la population initiale. Modelisation de la derive genetique des. Un autre exemple concerne une petite colonie britannique de 15 personnes de Tristan da Cunha, un archipel au milieu de l'Atlantique.
Exemple, phalènes portant l'allèle F (codant le phénotype sombre) avantagées par rapport aux phalènes portant l'allèle sauvage (codant le phénotype clair). Ce groupe d'élèves de 1ère a testé la sélection naturelle en TPE ( vidéo) exercices 8p87 La phalène du Bouleau 9p87 Sélection lactase humaine exercice mésanges et lait exercice mimétisme des papillons Melinea voir parcours projet la résistance aux insecticides et la diffusion du Chikungunya en France a) La dérive génétique – livre p72-73 La fréquence des allèles dont la présence est sans conséquence sur la fertilité et la survie des individus varie d'une génération à l'autre sous le seul effet du hasard. C'est la dérive génétique. La dérive génétique existe dans toutes les populations. Modelisation de la derive genetique 2. Cependant, dans une grande population, le grand nombre d'individus porteurs d'un allèle, même rare, fait qu'aucun allèle ne disparaît. La probabilité d'avoir deux allèles récessifs identiques (ce qui pourrait faire apparaître un nouveau phénotype) est très faible: cela ne crée donc pas de diversité phénotypique.
Dans les simulations numériques ci-contre, avec une population de 10 individus, sur les 20 essais: 12 essais aboutissent à une disparition de l'allèle (la fréquence atteint 0); 5 essais mènent à une « fixation » de l'allèle qui remplace les autres allèles (la fréquence atteint la valeur maximum 1); dans les 3 autres essais tous les allèles sont conservés. Dans la majorité des cas (17 sur 20 cas), la dérive génétique aboutit donc à une baisse de la diversité génétique ce qui n'est pas favorable à l'adaptation des espèces à un changement du milieu. Dans une population plus grande (100 individus), un allèle ne se fixe que dans 2 cas sur 20 seulement [ 4]. On peut en conclure que, plus une population est petite, et plus les effets de la dérive génétique sont importants, et plus la diversité génétique dans la population sera menacée.