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L'atelier d'appropriation des acquis du projet de la qualité et la pertinence de l'enseignement au niveau secondaire et universitaire (PEQPESU), volet ETP, s'est tenu ce vendredi 21 janvier 2022 à la direction de l'administration de l'enseignement technique et professionnel à Kinshasa. Ces travaux ont été organisés à l'intention des experts du cabinet du ministère de l'EPST, du Secrétariat général, de l'Inspection générale et de la direction de l'administration de l'enseignement technique et professionnel. Selon Kasimire Kuvumbu, directeur et expert de l'équipe technique nationale, il y a eu non seulement des acquis à travers ce projet mais il y a également des insuffisances que la direction doit prendre en compte. « Les grandes thématiques c'étaient autour des résultats, par rapport aux indicateurs du projet. Il y a d'abord le nouveau modèle de gestion de fonctionnement que le projet a mis en oeuvre: nous avons le partenariat public-privé, et nous avons aussi le curricula qu'on a élaboré avec les différents axes, qui sont les différents référentiels qui sont mis en œuvre et puis, on a chuté aussi sur les équipements etc… nous avons formulé des recommandations.
Les rideaux sur les travaux de validation des cadres et structures organiques du ministère de l'Enseignement technique et professionnel, le samedi 27 juin 2015. Ces travaux qui se sont ouverts le vendredi 26 juin dernier au Centre interdiocésain, dans la commune de la Gombe, ont accouché d'une administration propre au ministère de l'Enseignement Technique et Professionnel. Ce, six mois après sa création par ordonnance présidentielle. Le ministre de l'Enseignement Technique et Professionnel, Jean Nengbangba Tshingbanga a, personnellement, présidé ces accises. Dans son mot de clôture, il a indiqué qu'à l'issue de cet atelier de validation, en attendant l'agrément des cadres standards par le ministère de la Fonction Publique, l'Enseignement Technique et Professionnel peut déjà fonctionner avec au Secrétariat général, cinq directions spécifiques au niveau central, à savoir la Direction des Ressources humaines; la Direction Administrative et financière; la Direction Archives et Nouvelles technologies de l'information et de la communication; la Direction de l'Enseignement technique ainsi que celle de la Promotion professionnelle.
L'idée, c'est de formaliser ce qui, bien souvent, relevait de l'informel. Paradoxalement, la RDC connaît un chômage très important, mais aussi des pénuries de main-d'œuvre… Effectivement, plusieurs métiers sont en tension, notamment dans les secteurs du BTP et des mines. Des entreprises sont souvent contraintes de recourir à de la main-d'œuvre étrangère, par exemple dans la chaudronnerie, ou pour le maniement des appareils d'élévation dans les mines… Pour exercer ces métiers qui demandent une réelle expertise, certains travailleurs viennent non seulement des pays limitrophes du Congo mais aussi de Nouvelle-Zélande, d'Australie ou de Chine. Les femmes sont-elles davantage soumises au problème du sous-emploi et du chômage que les hommes en RDC? Le taux d'accès des filles à la formation et à l'éducation est, de fait, limité. Cela peut résulter d'un choix économique et culturel: les parents vont généralement favoriser la formation des garçons au détriment de celle des filles. Celles-ci sont également freinées par la violence qu'elles subissent, notamment de la part des groupes armés qui utilisent la violence sexuelle comme une véritable arme de guerre.
Elle constitue indéniablement un outil de paix et de résolution des conflits, mais aussi un outil de cohésion sociale, notamment dans la partie orientale du pays, et dans d'autres provinces, comme au Kasaï. Il y a là un défi très important que nous tentons de relever avec l'aide de nos partenaires étrangers: fournir à des jeunes qui ont rejoint parfois très tôt les groupes armés des compétences professionnelles. On note des exemples encourageants: d'anciens enfants associés aux forces et groupes armés sont même devenus des employeurs en créant leur petite et moyenne entreprise, notamment dans les secteurs de l'agriculture et du BTP. Les activités liées à la forêt, à la filière bois sont aussi des secteurs dynamiques. Nous essayons d'orienter les jeunes vers l'entreprenariat plutôt que le salariat. Pour ce faire, des incubateurs d'entreprise sont mis en place pour les accompagner dans le cadre des formations qualifiantes, notamment à l'Institut national de préparation professionnelle (INPP), à travers les projets d'appui financés par l'AFD.
Les élèves de ce cycle obtiennent, en cas de satisfaction au concours de fin de cycle, un certificat. Cet enseignement secondaire se trouve dans le même état de dégradation voire même plus que l'enseignement primaire. C'est ainsi que l'enseignement secondaire en RDC est resté un tremplin pour accéder à l'enseignement supérieur, plutôt que comme moyen de former les compétences dont l'économie a besoin. [1] Encyclopédie du Congo-belge, tome III, éeleveld-Bruxelles, p769. [2] Ministère de l'EPSP,, p15 [3] Ministère de l'EPSP (RDC),, p15.
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