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Actions sur le document Article L2323-47 Chaque année, dans les entreprises de moins de trois cents salariés, l'employeur remet au comité d'entreprise un rapport sur la situation économique de l'entreprise. Ce rapport porte sur l'activité et la situation financière de l'entreprise, le bilan du travail à temps partiel dans l'entreprise, l'évolution de l'emploi, des qualifications, de la formation et des salaires, la situation comparée des conditions générales d'emploi et de formation des femmes et des hommes, les actions en faveur de l'emploi des travailleurs handicapés dans l'entreprise et le nombre et les conditions d'accueil des stagiaires. Le rapport établit un plan d'action destiné à assurer l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Après avoir évalué les objectifs fixés et les mesures prises au cours de l'année écoulée, ce plan d'action, fondé sur des critères clairs, précis et opérationnels, détermine les objectifs de progression prévus pour l'année à venir, la définition qualitative et quantitative des actions permettant de les atteindre et l'évaluation de leur coût.
» Article L2323-47 du Code du travail Avant toute décision d'installer des caméras de surveillance en entreprise, l'information et la consultation des instances représentatives du personnel reste obligatoire. Attention aussi à bien informer les salariés et visiteurs de l'existence des caméras avec un panneau visible et présentant les informations nécessaires: nom du responsable, base légale du dispositif, durée de conservation des images, possibilité d'adresser une plainte à la CNIL et procédure à suivre pour accéder aux enregistrements les concernant. Mais ce devoir d'information ne s'arrête pas là. L'employeur doit informer individuellement chaque employé. Pour cela, il peut notamment utiliser un avenant au contrat de travail ou une note de service. NON-RESPECT DE L'INTIMITÉ DES SALARIÉS Naturellement, filmer les toilettes ou les douches de l'entreprise est strictement interdit. Mais d'autres zones sont également exclues comme les postes de travail des salariés, sauf situations particulières nécessitant la manipulation d'argent ou d'objets de valeur.
Accueil Caméra de surveillance en entreprise: ce que la loi interdit Le saviez-vous? / Les conseils Les systèmes de vidéosurveillance, appelés également vidéoprotection, soulèvent de nombreuses questions dans le cadre professionnel: Peut-on filmer les collaborateurs? Est-il possible de placer les caméras où l'on veut? Quelles sont les limites au respect de la vie privée? Avant d'installer des caméras de surveillance à l'extérieur ou l'intérieur de l'entreprise, mieux vaut savoir ce qui est interdit par la loi. En France, plusieurs textes juridiques fixent les conditions et limites légales à l'installation de caméras de surveillance en entreprise: code du travail, code civil, code pénal, code de la sécurité intérieure et RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données au niveau européen), les enregistrements vidéo étant considérés comme des données personnelles. La CNIL (Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés) contrôle le bon usage des caméras de surveillance et sanctionne en cas de non-respect des obligations légales.
Entrée en vigueur le 1 janvier 2016 Lorsque le projet de restructuration et de compression des effectifs soumis au comité d'entreprise est de nature à affecter le volume d'activité ou d'emploi d'une entreprise sous-traitante, l'entreprise donneuse d'ordre en informe immédiatement l'entreprise sous-traitante. Le comité d'entreprise de cette dernière, ou à défaut les délégués du personnel, en sont immédiatement informés et reçoivent toute explication utile sur l'évolution probable de l'activité et de l'emploi. Entrée en vigueur le 1 janvier 2016 Sortie de vigueur le 1 janvier 2018 2 textes citent l'article 0 Document parlementaire Aucun document parlementaire sur cet article. Doctrine propose ici les documents parlementaires sur les articles modifiés par les lois à partir de la XVe législature.
Une base de données économiques et sociales, mise régulièrement à jour, rassemble un ensemble d'informations que l'employeur met à disposition du comité d'entreprise et, à défaut, des délégués du personnel. La base de données est accessible en permanence aux membres du comité d'entreprise ou, à défaut, aux délégués du personnel, ainsi qu'aux membres du comité central d'entreprise, du comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail et aux délégués syndicaux. Les informations contenues dans la base de données portent sur les thèmes suivants: 1° Investissements: investissement social (emploi, évolution et répartition des contrats précaires, des stages et des emplois à temps partiel, formation professionnelle et conditions de travail), investissement matériel et immatériel et, pour les entreprises mentionnées au sixième alinéa de l'article L. 225-102-1 du code de commerce, les informations en matière environnementale présentées en application du cinquième alinéa du même article; 2° Fonds propres et endettement; 3° Ensemble des éléments de la rémunération des salariés et dirigeants; 4° Activités sociales et culturelles; 5° Rémunération des financeurs; 6° Flux financiers à destination de l'entreprise, notamment aides publiques et crédits d'impôts; 7° Sous-traitance; 8° Le cas échéant, transferts commerciaux et financiers entre les entités du groupe.