pakdoltogel.net
L'opacité de l'État empêche d'en savoir plus. Les chiffres existent Ces chiffres existent pourtant, comme le rappelle le rapport de 2016: « La nomenclature d'enregistrement par les parquets [les services du procureur de la République de chaque tribunal] permet d'identifier les violences commises par des personnes dépositaires de l'autorité publique ». Le nombre de plaintes enregistrées, les suites réservées à ces plaintes, le taux et le motif de classement sans suite et, quand il y en a, les modes de poursuites, sont également renseignés. Rachat de poursuite suisse les. Mais tous ces éléments demeurent confidentiels. Résultat: le débat public est privé d'un élément d'information central sur le sujet. En pleine campagne électorale, il est temps d'exiger que ces chiffres soient publiés. Lire la suite sur Les articles les plus lus Recommandés par nos abonné·es
Depuis le rachat de l'usine de turbines de Belfort à Alstom en 2015, General Electric aurait fait échapper 800 millions d'euros de bénéfices vers la Suisse et l'Etat américain du Delaware, selon le site Disclose (archives). KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE KARABA sda-ats Ce contenu a été publié le 30 mai 2022 - 06:47 (Keystone-ATS) Le géant industriel américain General Electric (GE) a eu recours à de l'optimisation fiscale en France sur son site de Belfort entre 2015 et 2020. Ces pratiques lui ont permis de transférer jusqu'à 800 millions de profits à l'étranger, notamment vers la Suisse, selon le site d'investigation Disclose. Selon les informations publiées dimanche par le site, ces pratiques concernent l'entité française de turbines à gaz de GE à Belfort, où le groupe a été assigné en justice en décembre 2021 par des salariés qui dénonçaient justement son schéma d'optimisation fiscale. Le retour sur les actifs risqués se confirme. Ceux-ci avaient déposé plainte pour "fraude au droit à la participation des salariés". Depuis le rachat de l'usine de turbines de Belfort à Alstom en 2015, la multinationale américaine aurait fait échapper 800 millions d'euros de bénéfices vers la Suisse et l'Etat américain du Delaware, soit un manque à gagner entre 150 et 300 millions pour le fisc français, selon les bilans de l'usine et des audits consultés par Disclose.
L'analyse souligne que les ventes sont attendues en baisse à un chiffre (' Mid-single digit negative ') alors que jusqu'ici, le groupe s'attendait à des ventes en hausse. La marge d'EBIT devrait être de 5% ou plus, vs autour de 9%. Le FCF devrait se situer dans une fourchette de 10-30 ME (vs 65-75 ME initialement estimé). ' Pour ce qui est des objectifs 2025 présentés lors du CMD de novembre (notamment: 1. 8- 1. 9 MdE de CA; marge EBIT 11%; FCF cumulé 350 ME), le groupe précise que ceux-ci restent valables avec, toutefois un calendrier qui pourrait être allongé ' rajoute le bureau d'analyses. Copyright (c) 2022 Tous droits réservés. Les informations et analyses diffusées par Cercle Finance ne constituent qu'une aide à la décision pour les investisseurs. Rachat de poursuite suisse pour. La responsabilité de Cercle Finance ne peut être retenue directement ou indirectement suite à l'utilisation des informations et analyses par les lecteurs. Il est recommandé à toute personne non avertie de consulter un conseiller professionnel avant tout investissement.
"Il ne serait pas raisonnable d'exclure une hausse de taux de 50 points de base en juillet mais il est assez clair qu'il n'y a pas de consensus au sein du conseil des gouverneurs pour une hausse de cette ampleur", tempère Chris Attfield, stratège taux Europe chez HSBC. CHANGES L'accélération de l'inflation bénéficie également à l'euro, qui s'apprécie de 0, 48% face au dollar à 1, 0778, au plus haut depuis le 25 avril. Le billet vert souffre plus largement du regain d'intérêt des investisseurs pour les actifs plus risqués: il cède 0, 34% face à un panier de référence. Axa Suisse: recul des entrées de primes et du résultat. La monnaie américaine, en baisse de près de 1, 5% depuis le début du mois, s'achemine ainsi vers sa première performance mensuelle négative depuis février. VALEURS La clôture en forte hausse du Nasdaq américain vendredi et la perspective d'une poursuite du rebond mardi ont profité aux valeurs technologiques européennes, dont l'indice Stoxx affiche en clôture un gain de 1, 99%. La perspective d'une levée totale des restrictions sanitaires en Chine a par ailleurs favorisé les valeurs du luxe, un secteur très exposé au marché chinois: à Paris, Hermès, Kering et LVMH ont pris entre 2, 5% et 4%.
L'euro (+0, 43%) profite en outre des chiffres de l'inflation en Allemagne et en Espagne pour confirmer son retour au-dessus de 1, 0750, au plus haut depuis cinq semaines. PÉTROLE Le prix du brut a atteint son plus haut niveau depuis fin mars, tiré par le spéculations sur un accord au sein de l'Union européenne pour interdire les importations de pétrole russe à l'occasion du Conseil qui s'ouvrira en fin de journée, un facteur auquel s'ajoute la perspective d'une reprise de la demande chinoise. Le marché n'attend en outre aucune modification de la stratégie de production de l'Opep et de ses alliés - dont fait partie la Russie - lors de leur réunion de jeudi. La Chine favorise les actions, l'inflation dope les rendements. Le Brent gagne 0, 31% à 119, 80 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) 0, 4% à 115, 53 dollars. (Rédigé par Marc Angrand, édité par Jean-Michel Bélot)