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Il s'offusque, dit qu'il n'a rien vu, mais les trois hommes insistent, et il finit "par en avoir marre", et les invite à entrer. "Je leur ai fait visiter les pièces, et j'ai été dans ma commode, là où il ne fallait pas", regrette Jean. Des Louis d'Or et des bijoux volés C'est là que son épouse cache les Louis d'Or et les bijoux qu'elle a hérité de sa propre grand-mère: "Et quand on est revenus dans la cuisine, deux m'ont suivi, le troisième je ne le voyais plus. Des cadeaux patriotiques à la boutique de l’Élysée. Le temps de le recroiser dans le couloir, ils étaient sur le départ. Je me suis rendu compte tout de suite que la commode était vide, et je leur ai bien couru après mais c'était trop tard", raconte l'homme de 91 ans. La seule chose que j'ai remarquée, c'est qu'ils portaient des souliers civils Il l'assure, les uniformes étaient presque parfaitement identiques à ceux des gendarmes: "La seule chose que j'ai remarquée, c'est qu'ils portaient des souliers civils! ", s'écrie le retraité. Le groupement de gendarmerie de la Dordogne rappelle qu'un gendarme est toujours habillé avec l'ensemble de son uniforme, dans la rigueur militaire qui les caractérise.
Depuis une vingtaine d'années, les électeurs se sont progressivement éloignés des urnes et il est évident qu'une partie d'entre eux est perdue à jamais. À moindre d'instaurer des mesures coercitives, comme le vote obligatoire et la prise en compte du vote blanc (au-delà de 50%, on organise un nouveau scrutin), notre démocratie est contrainte de cohabiter avec l'abstention et donc, d'en limiter les effets. Comment intéresser à nouveau les Français à la vie publique, leur donner envie d'avoir envie? C'est extrêmement délicat. Parce qu'il faut s'adresser à la fois à celui qui est en colère et qui demeure sous l'influence d'un populisme anti-républicain (le fameux « tous pourris »); celui qui estime qu'aucun candidat ne représente ses idées, ce qui du reste est impossible à moins de voter pour soi-même; enfin celui qui a une vision consumériste de la politique et qui attend de son vote un « retour sur investissement ». Industrie. Liebherr est en pleine croissance et recrute. Si des réponses techniques, comme la mise en place du vote électronique, peuvent ramener les électeurs vers l'isoloir, les élus doivent aussi balayer devant leur porte et afficher une exemplarité infaillible.
C'était début janvier, à l'heure de la sieste. Jean, 91 ans "et six mois", entend la sonnette. Sa maison est à l'écart du bourg, dans un petit hameau isolé le long d'une départementale qui mène en Haute-Vienne. A la porte, "trois personnes se sont présentées, habillées en gendarmes, gradées", fait même remarquer le retraité, fin connaisseur - "J'ai été au régiment quand même! ". Liseret bleu blanc rouge perce. "L'un était commandant, l'autre était capitaine", se souvient Jean. Trois gendarmes en uniforme sonnent à la porte Il a été victime d'un groupe de faux gendarmes, qui sévit depuis quelques semaines sur l'ensemble de la Dordogne et certains départements alentour, selon les informations de France Bleu Périgord. La gendarmerie de la Dordogne, la vraie, a même lancé un appel à la prudence sur les réseaux sociaux jeudi 20 janvier. Je leur ai fait visiter les pièces, et j'ai été dans ma commode, là où il ne fallait pas "Ils m'ont dit qu'il y avait eu un cambriolage dans le bourg, en donnant le nom d'une femme que je ne connais pas, et qu'ils venaient contrôler les habitations", raconte le nonagénaire.
Actuellement, Liebherr, le spécialiste des engins de terrassement, qui fête cette année ses 60 ans d'implantation à Colmar, emploie 1 400 personnes dans son usine de la cité de Bartholdi, 2 600 dans la région de Colmar et 4 330 en France. Le site colmarien accueille également en ce moment environ soixante-quinze apprentis que le fabricant parvient à fidéliser. Et l'entreprise, en pleine croissance, recrute encore. Liseret bleu blanc rouge et noir. Elle recherche plus particulièrement des usineurs, des soudeurs, des mécaniciens monteurs, des techniciens et des ingénieurs de bureau d'études. David Diss, directeur général...