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« Le paralytique est l'image de chaque être humain, que le péché empêche d'être libre de ses mouvements, de marcher sur la voie du bien, de donner le meilleur de soi-même. En effet, le mal, en se nichant dans l'âme, emprisonne l'homme dans les liens du mensonge, de la colère, de l'envie et des autres péchés, et peu à peu, le paralyse. C'est pourquoi Jésus, suscitant le scandale des scribes présents, dit tout d'abord: "Tes péchés sont remis" » [1] LA MISÉRICORDE du Seigneur est la raison ultime de notre joie et de notre confiance en Lui. « Tu imagines que tes péchés sont si nombreux que le Seigneur ne pourra pas t'écouter? Il n'en est rien, car le Seigneur est plein de miséricorde. (... ) Et observez ce que nous raconte saint Matthieu, quand on amène un paralysé devant Jésus. Méditation - Marche de l'évolution - Hilarion - Jour 4. Ce malade ne fait aucun commentaire: il est là, sans plus, en présence de Dieu. Le Christ est ému de cette contrition, de la douleur de celui qui sait ne rien mériter. Il ne tarde pas à faire preuve de sa miséricorde habituelle: 'Confiance, mon enfant, tes péchés sont remis' » [2].
Convertis mon cœur, Marie. Demande Marie, rapproche-moi de lui. Réflexion « (…) étaient couchés une foule de malades, aveugles, boiteux et impotents. » Qui étaient-ils tous ces gens étendus sur la place? Quelle était leur histoire? Avec lequel d'entre eux vous identifiez-vous aujourd'hui? Un boiteux? Un impotent? Nous sommes tous malades devant Dieu. Une aveugle de naissance, Déborah. Elle entend et sent qu'il y a plus de monde en ce jour de fête. Sans bouger d'un fil, les yeux dans le noir, elle mentionne au boiteux qui se tient toujours près d'elle: « Barjonas, la foule me rappelle le jour où je suis arrivée. Ces gestes simples qui guérissent - Régine Zekri-Hurstel - Livre - Psychologies.com. » « Oui, tu avais cinq ans. » « Mon père et ma mère m'ont laissée ici. » « Toute seule. » « Parce qu'ils ne voulaient pas accepter que je sois aveugle. » « Ils ne voulaient pas que l'on sache qu'ils avaient été punis pour leur péché. » « Ils ne sont jamais revenus. » « Oui, je sais. » « Tant de gens autour, mais pas ceux qui comptaient. » En ce temps de prière, quelle chose vous fait penser à votre passé ou à votre futur?
Évangile du Lundi 28 mars 2022 – 4e semaine de Carême (tiré du Prions en Église et pour les personnes qui voudraient s'abonner au Prions « Va, ton fils est vivant » Jn 4, 43-54 En ce temps-là, après avoir passé deux jours chez les Samaritains, Jésus partit de là pour la Galilée. – Lui-même avait témoigné qu'un prophète n'est pas considéré dans son propre pays. Il arriva donc en Galilée; les Galiléens lui firent bon accueil, car ils avaient vu tout ce qu'il avait fait à Jérusalem pendant la fête de la Pâque, puisqu'ils étaient allés eux aussi à cette fête. Ainsi donc Jésus revint à Cana de Galilée, où il avait changé l'eau en vin. Or, il y avait un fonctionnaire royal, dont le fils était malade à Capharnaüm. Ayant appris que Jésus arrivait de Judée en Galilée, il alla le trouver; il lui demandait de descendre à Capharnaüm pour guérir son fils qui était mourant. Jésus lui dit: « Si vous ne voyez pas de signes et de prodiges, vous ne croirez donc pas! Les coups de cœur de Maud - épanews. » Le fonctionnaire royal lui dit: « Seigneur, descends, avant que mon enfant ne meure!
« C'est comme s'il me disait, 'ouvre les yeux et regarde'. C'est absurde. Cela fait des années que j'ouvre les yeux sans voir. » Puis, à voix haute: « Et il a pris son brancard et est parti en marchant? » « C'est ce que l'on dit, et je ne le vois pas parmi la foule. Il semble être parti. » Cette partie de ton cœur qui est malade, comment veut-elle réagir devant les bonnes nouvelles de la foi? Y a-t-il des doutes, des impatiences, des accusations, des ressentiments, des hontes qui demandent à sortir, même s'ils ne font pas encore partie de votre dialogue en prière? « L'homme partit annoncer aux Juifs que c'était Jésus qui l'avait guéri. » « Le voilà, Déborah! Il marche! » « Tu le vois? Il est revenu? » « Il s'approche! Benjamin! Benjamin! » Un grand silence s'étendit rapidement sur la place alors que Benjamin s'approcha d'un petit groupe de prêtres et scribes. Tous les regards et les oreilles étaient rivés sur eux. Déborah pouvait désormais entendre. « Le nom de celui qui m'a guéri, c'est Jésus de Nazareth, » dit Benjamin.
« Ayant appris que Jésus arrivait de Judée en Galilée, il alla le trouver; il lui demandait de descendre à Capharnaum pour guérir son fils qui était mourant. 47) Jésus répondit que « si vous ne voyez pas de signes et de prodiges, vous ne croirez donc pas! » Et voici que le sens du texte se révèle: le père est désespéré jusqu'à s'adresser de façon respectueuse à quelqu'un qu'il aurait autrement méprisé. « Seigneur, descends avant que mon petit ne meure. 49) Il lui déclare que son enfant est en santé et le reste du récit atteste du lien à faire entre la vie du petit et la Parole de Jésus (il a été guéri à l'heure même de la conversation). L'officier a eu confiance. Lui et toute sa maisonnée passèrent à un autre niveau de confiance en choisissant désormais une autre manière de vivre. À Cana, il s'agissait de retrouver le goût de vivre, de ne pas se laisser opprimer par un ensemble de rites et de purifications d'origine judéenne qui rendaient la vie invivable. « Non il ne faut pas se laisser mourir.
Par leur témoignage et leur attitude, les croyants devraient montrer qu'ils sont debout, fermes, inébranlables, et qu'ils affrontent les difficultés sans être affectés ni débordés par les soucis qu'elles provoquent. Soyons debout en Christ, capables d'aider et de relever ceux qui sont paralysés et vaincus par les raisonnements mensongers du défaitisme! Sommes-nous debout? Comment l'être? En voici le secret: "Celui qui s'attache au Seigneur est avec Lui un seul esprit... " (1 Corinthiens 6:17); par conséquent son esprit libéré par Christ, libre en Dieu, est la demeure du Saint-Esprit. La vie de l'esprit du racheté contrôle désormais la vie de son âme, laquelle est caractérisée par ses sentiments naturels, et non spirituels, ses inquiétudes et ses fluctuations sans nombre. Dégagé de sa vie d'âme, le croyant demeure en Christ, le Vainqueur revêtu de toute autorité, Celui qui a triomphé de toute la puissance de l'ennemi. En Christ il est désormais debout, héritier de Sa victoire. Dieu nous appelle à vivre aujourd'hui affranchis une fois pour toutes de tout compromis et de tout égoïsme, en régnant dans la vie par Jésus-Christ.