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Lorsque l'on subit un sinistre et que l'assurance que l'on à souscrite intervient pour indemniser les dommages, l'on imagine mal les mécanismes qui ont conduit à ce petit miracle. En réalité l'assurance et surtout la coassurance et la réassurance sont une mutualisation de risques, des actifs (primes versées par les clients, qui constitue les fonds propres) et du passif (les indemnisations à verser en cas de sinistres). Sans cela aucune compagnie, aussi importante soit elle, ne résisterait à un très gros sinistre ou à une succession de petits sinistres. Un peu d'Histoire Les premières traces d'un système s'apparentant à une assurance remontent au code d'Hammourabi (roi babylonien du XVIII° siècle avant JC). La réassurance alternative et la titrisation. Tour à tour les Chinois, les Grecs, les Phéniciens, les commerçants italiens ou arabes on eut recours à une mutualisation des investissements nécessaires au transport maritime, pour répartir les pertes en cas de sinistre tout en partageant aussi les bénéfices. Fin du XVII° siècle et début du XVIII° siècle, se sont créés dans les grands pays maritimes européens, de vraies compagnies d'assurance à l'image des Lloyd's britanniques.
L'apériteur a comme occupation d'estimer le prix adéquat au risque, déclarer les avis d'échéance de gratification. La société apéritrice a le devoir d'établir l'inspection, les exécutions de prime ainsi que les avenants. L'apériteur contribue pour le compte de tous les Co assureurs. Il le seul à signer la police d'assurance avec l'acheteur. Souvent, le client ne connaîtra jamais les autres points d'assurance participant à la couverture d'éventuels sinistres. Les signatures de tous les assureurs tracent dans un dossier d'accord enregistré dans les conserves de l'entreprise apéritrice. Tenons à dire que les Co assureurs peuvent se débarrasser leur participation ou diminuer le coût sauvegardé après avoir indiqué l'administrateur de la clause. Coassurance et réassurance. Ils devront dans ce cas contacter une ou certains autres points d'assurance afin de remplacer ce changement de dénouement. C'est quoi alors la réassurance? Le principe de la réassurance est simple et basique: le réassureur est l'assureur de la société d'assurance.
Excédent de sinistres ou XS (Excess-Loss ou XL) Dans ce cas, le réassureur n'intervient que pour les sinistres dépassant un certain seuil dit « seuil de rétention ». C'était ce type de contrat de réassurance qui liait l'Assureur A et le Réassureur B dans notre exemple ci-dessus. Le seuil d'intervention de l'assureur sur un sinistre s'appelle la priorité, tandis que la limite d'intervention du réassureur au-delà de ce seuil s'appelle la garantie. Ce système est appliqué pour les risques de RC (Responsabilité Civile) avec garanties illimitées ou pour les risques très importants. Excédent de perte (Stop-Loss ou SL) Dans ce type de contrat de réassurance, le réassureur n'intervient que si le rapport « sinistres à prime de l'année » dépasse une certaine valeur. Autrement dit, dans ce cas, le réassureur n'intervient que si l'assureur est en perte. Ce système est appliqué pour les risques cycliques comme les intempéries ou les catastrophes naturelles.