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APC Bejaia: Concours fonction publique 2022 | Recrutement & Emploi Fonction publique chez la Mairie Les APC (assemblées populaires communales) de Bejaia profitent des recrutements de la fonction publique pour diffuser leurs offres d'emploi en 2022. Chaque candidat habitant la ville ou une commune de la wilaya peut préparer le dossier de participation au concours/test. APC des communes suivantes: Adekar, Taourirt Ighil, Beni Ksila, Akbou, Chellata, Ighram, Tamokra, Amizour, Beni Djellil, Semaoun, Ferraoun, Aokas, Tizi N'Berber, Barbacha, Kendira, Béjaïa, Oued Ghir, Beni Maouche, Chemini, Tibane, Souk-Oufella, Akfadou, Darguina, Aït-Smail, Taskriout, El Kseur, Fenaïa Ilmaten, Toudja, Ighil Ali, Aït-R'zine, Kherrata, Draâ El-Kaïd, Ouzellaguen, Amalou, M'cisna, Bouhamza, Seddouk, Sidi-Aïch, Leflaye, Tinabdher, Tifra, Sidi Ayad, Melbou, Souk El Ténine, Tamridjet, Tazmalt, Beni Mellikeche, Boudjellil, Boukhelifa, Tichy, Tala Hamza, Timezrit. La recherche d'annonces se fait sur le site de la DGFP.
Les protestataires, qui étaient en force hier devant le Palais de justice, ont exigé «la réintégration sans conditions des travailleurs de Numilog, ceux de Gesi TP», «le respect du libre exercice du droit syndical dans toutes les entreprises publiques et privées», «la révision du SNMG à hauteur de 50 000, 00 DA», «l'augmentation des pensions des retraités à hauteur de 40%», «une retraite à 100% après 32 ans de service». L'Union de wilaya a remis en avant sa revendication liée à «la révision de tous les statuts de la Fonction publique, en vue de réparer les injustices et disparités commises à l'égard des travailleurs, l'intégration des travailleurs professionnels, des ouvriers professionnels, agents contractuels et de sécurité dans leurs structures respectives» et «la prise en charge des entreprises en difficulté, à l'exemple de l'Epla, Gesi, TPT Textile, Apmc et Ozgun. L'Union de wilaya a réclamé, à travers les nombreux travailleurs qui ont pris part hier au rassemblement de protestation devant la cour de justice de Béjaïa, «le dégel de tous les projets inscrits depuis des décennies pour notre wilaya».
Par une décision rendue le 19 mai 2022, le Conseil d'État a prononcé l'annulation du mot "signataires" au premier alinéa de l'article 8 du décret n° 2021-904 du 7 juillet 2021 relatif aux modalités de la négociation et de la conclusion des accords collectifs dans la fonction publique. Dorénavant, la faculté de solliciter la révision d'un accord n'est plus réservée aux seules organisations syndicales signataires de cet accord, mais est ouverte à toute organisation syndicale ou ensemble d'organisations syndicales représentant une majorité de suffrages aux dernières élections professionnelles, qu'elles aient ou non signé l'accord initial. Le recours, formé par six organisations syndicales contre le décret du 7 juillet 2021, s'inscrivait dans la continuité des recours pour excès de pouvoir et question prioritaire de constitutionnalité contre l'ordonnance n° 2021-174 du 17 février 2021 relative à la négociation et à la conclusion des accords collectifs dans la fonction publique. Dans sa décision, le Conseil d'État a rejeté plusieurs des moyens soulevés par les requérants, portant notamment sur d'autres articles du décret.
C'est dire que la DE n'a aucun regard sur eux. » Et de poursuivre: «La Direction de l'éducation reçoit les dossiers puis transmet les listes aux organismes spécialisés. Et pour cet examen, c'est l'INSFP qui l'a pris en charge (sujets et correction). Il donner a ensuite le PV final à la DE, en portant l'identité des candidats et les notes obtenues. Le PV est ensuite présenté à la Fonction publique pour l'audit. Voilà la genèse de ce concours dont la Direction de l'éducation n'est nullement responsable. » Pour connaître les causes exactes ayant entraîné l'annulation de ce concours, on s'est rapproché de la Fonction publique de Béjaïa. D'après une source proche de cette dernière, on a appris le rejet définitif de cet examen avec comme motif, le non-respect de la réglementation et des irrégularités dans le déroulement du concours à l'INSFP de Béjaïa. Les 3 883 candidats ayant concouru, le 19 mars dernier, voient ainsi leur examen annulé à leur grand désespoir. Achour Hammouche
Pour ces derniers, « cette grève a été décidée lors de la rencontre des syndicats d'entreprises et des coordinations de wilaya des secteurs de la fonction publiques tenues dans l'urgence en réponse aux revendications des sections syndicales qui dénoncent avec vigueur les augmentations dérisoires en rapport à la grille indiciaire des travailleurs qui a déçu tout le monde et a accentué leur mécontentement du fait qu'elle ne répond aucunement aux besoins quotidiens du simple travailleur». Les conclavistes ont décidé d'exprimer «leur refus absolu» de ces augmentations dérisoires qui ne répondent pas à leurs «attentes» notamment, ceux ayant de faibles revenus. Ils exigent, par ailleurs, «la révision de la valeur du point indiciaire à 100 DA au moins et son adaptation au pouvoir d'achat du simple travailleur, la promulgation rapide du statut particulier des différents secteurs de la fonction publique, l'intervention des hautes autorités du pays afin de prendre en considération, avec sagesse et sans calculs politiciens la réalité socioéconomique des travailleurs et le considérer comme priorité d'aujourd'hui sans tarder».
Débat autour, de la conférence animée par: M. MERRAH Mohamed, Chef d'Inspection de la Fonction Publique de la Wilaya de Bejaia. Publié, le: mercredi 27 février 2019 Nombre de vue: 1572 Vues Thème: Les positions statutaires du fonctionnaire à la lumière des dispositions de l'ordonnance 06-03 du 15-07-2006 portant statut général de la fonction publique; Le Secrétariat Général de l'Université de Bejaia, Le Chef d'Inspection de la Fonction Publique de la Wilaya de Bejaia, Université Abderrahmane MIRA Bejaïa, Date: mercredi 27 février 2019 Les commentaires sont fermés.
Ainsi, il juge que les dispositions prévoyant que seules les organisations syndicales représentatives et respectant la condition de majorité peuvent demander l'ouverture d'une négociation en vue de la révision d'un accord ne sont pas entachées d'illégalité. En revanche, il estime qu'en réservant cette possibilité aux seules organisations syndicales signataires de l'accord, les dispositions de l'article 8 du décret ont ajouté une condition, non prévue par la loi, qui méconnait l'exigence résultant des sixième et huitième alinéas du Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946, respectivement relatifs à la liberté syndicale et la détermination collective des conditions de travail.