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Au milieu des années soixante, Neil Young abandonne le cocon familial pour se lancer dans la musique. Un pincement au cœur qui bien vite sera consolé par les aventures à venir. For What It's Worth Neil Young ne reste pas seul bien longtemps. Ses premières scènes se font au Canada, d'abord à Winnipeg puis aux alentours. Il tombe alors sur Stephen Stills et Richie Furay qui l'invite à rejoindre leur groupe. Meilleur album neilyoung.com. Un Bruce Palmer et un Dewey Martin plus tard, Buffalo Springfield est né. For What It's Worth n'a pas été écrit par Young, mais par Stills. Reconnaissez toutefois qu'il était trop difficile de se passer d'un tel tube! Un titre qui est devenu l'un des hymnes contre la guerre du Vietnam. C'est simple, si vous êtes réalisateur de cinéma et que vous souhaitez retransmettre l'atmosphère des années soixante aux US, utilisez For What It's Worth. En complément: Podcast - Neil Young, l'histoire du riff de "Heart of Gold" Down by the River Neil Young est un drôle d'oiseau qui aime aussi bien être entouré que de voler de ses propres ailes.
Trois albums plus tard, déchiré par la rivalité avec Stills, Young quitte pour une carrière solo entre deux appartenances au CSNY, aux côtés de Stills, de l'ex-Byrd David Crosby et de l'ancien des Hollies Graham Nash. La liberté financière a donné à son travail solo des possibilités illimitées. Au début des années 70, il était l'enfant chéri du plateau de Topanga Canyon, le troubadour lunatique à la voix tremblante et aux mélodies douces-amères. Mais alors que sa maison de disques commençait à lui tracer une carrière lucrative de chanteur-compositeur sensible, Young se dirigeait déjà vers le fossé. Ses sombres albums post-Harvest et une nouvelle connaissance avec ses vieux copains Crazy Horse, marqués par des guitares hurlantes et des larsens distordus, ont prouvé qu'il était une force impossible à dompter. Meilleur album neil young people. Les années 80 ont trouvé Young dans son propre désert particulier, produisant une série d'albums de plus en plus « difficiles » qui ont testé la patience des fans irréductibles et déconcerté sa maison de disques, Geffen.
Résultat: Neil Young, toujours prêt à redorer son étiquette jeune, commet un double album live surprenant. Premier CD bourré de tubes magistraux, d'interprétations impressionnantes de morceaux comme Cortez the Killer ou Cinnamon Girl, deuxième CD fait d'un collage de feedback live, véritable digression bruitiste de plus d'une demi-heure, Neil Young se réinventant là en Merzbow appalachien, adepte du bruit blanc le plus extrême. Impressionnant et décapant. Neil Young Original Release Series Volume 4 Édition : une partie de l'œuvre du Loner publiée dans les 80’s. -. Depuis, il revient régulièrement, avec sous le bras des albums bien inspirés, et même en réunion d'anciens combattants des années Buffalo Springfield ou Crosby, Stills, Nash & Young. À lire aussi
Neil Young racontera avoir été anéanti, alors qu'il aurait aimé, quelques jours avant, pouvoir rencontrer le chanteur de Nirvana pour l'encourager à passer outre ses démons.
Super ce site, des discussions sympas et variées, des personnes de goût et cerise sur le gateau, il y a même des gens qui écoutent Neil Young (j'ai longtemps cru que j'étais un cas isolé genre ermite). Par contre je suis un peu déçu de l'album que vous avez majoritairement retenu. Neil Young a un don pour les mélodies. Donc quand il prend une folk il fait Harvest, normal. Meilleur album neil young full album youtube. Mais ce que je trouve le plus intéressant et ce que je préfère et de loin c'est lorsqu'il branche sa Gretch sur des amplis avec les disto à fond. Il joue plus saturé que n'importe qui et pourtant à chaque fois la mélodie ressort portée par sa voix si particulière. Bref, écoutez ou réécoutez le seul l'unique "Weld" et plutôt que "Cortez…" ou "Like…" (qu'on connait par coeur) attardez-vous sur "Powderfinger", "Love And Only Love" et "Rockin' In The Free Word". Enfin moi ce que j'en dis… Au fait ronan, concernant le dernier album que tu trouves fade, plus je l'écoute et plus je l'apprécie. Et puis en plus d'être talentieux, le gars s'engage alors qu'il n'a plus rien à prouver depuis belle lurette.
Le buzz vertueux d'Old Black ouvre « Heading West », sur lequel Neil Young se souvient d'être parti avec sa mère, enfant, après qu'elle ait divorcé de son père. Pour la mère, partir vers l'ouest signifiait rechercher « le bon vieux temps », mais pour le fils, cela annonçait un avenir radieux. Une fois qu'ils ont trouvé une nouvelle maison, la mère de Young lui a acheté sa première guitare. Le sarcastique « Change Ain't Never Gonna » s'en prend aux réactionnaires ignorants qui combattent les défenseurs des biocarburants « Tryin' to stop them from livin'/ As they'd always been livin' ». On enchaine ensuite le nouvel album de Neil Young Barn avec la trépidante « Canerican », dans laquelle Young se présente comme un prophète, proclamant la fraternité avec toutes les races et annonçant « I see the changes / Coming to this country ». Nouvel album de Neil Young & Crazy Horse en 2021 - Barn. La chanson prend de l'ampleur mais s'éteint malheureusement au moment où Young commence à se lâcher à la guitare. Sur « The Shape of You », Neil Young fait l'éloge des courbes de sa femme.