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Ô rougeur, volupté de la terre ravie! Frissonnements des bois, souffles mystérieux! Parfumez bien le cœur qui va goûter la vie, Trempez-le dans la paix et la fraîcheur des cieux! Poème juin été 2022. Assez tôt, tout baignés de larmes printanières, Par essaims éperdus ses songes envolés Iront brûler leur aile aux ardentes lumières Des étés sans ombrage et des désirs troublés. Alors inclinez-lui vos coupes de rosée, Ô fleurs de son printemps, aube de ses beaux jours! Et verse un flot de pourpre en son âme épuisée, Soleil, divin soleil de ses jeunes amours!
Le printemps refleurit, avril est annoncé, Mai lui a succédé et tu t'es imposé, Dernier d'un beau trio uni par l'allégresse Emparée par l'été aux griffes de tigresse. Juin tu es le lien des douceur et chaleur, Tu viens paré de fleurs et de fruits de valeur Dont l'emblème suprême est l'exquise cerise Qui du merle moqueur est la plus belle prise. Tu dis: méfiez-vous du soleil et son coup Sur le front et les joues, sur la nuque et le cou Mais tu sais réserver des matinées glacées Quand l'herbe et la rosée sont ensemble enlacées. Ah! Nuits de Juin, Victor Hugo. quelle bonne idée d'allonger la journée Pendant laquelle tu partiras en tournée En appuyant tes yeux grands ouverts sans répit Sur les blés blonds d'été qui gonflent leurs épis. Le soir tu te retiens en laissant les deux mains Des amoureux serrées sans peur des lendemains Que tu coucheras tard, ivres de lassitude, Rêvant aux matins clairs, dans la béatitude. Juin, mois maréchal aux cardinales vertus Tu réchauffes ceux que l'hiver a dévêtus Qui ont besoin de toi après que les pervenches Et le muguet de mai avaient pris leurs revanches.
Son visage de soie caresse ( continuer... ) Pourquoi on aime tellement regarder le soleil qui se couche? Sur un lac doré, ( continuer... ) Voici l'été encor, la chaleur, la clarté, La renaissance simple et paisible ( continuer... Poème juin eté 2013. ) L'été est bleu comme le soleil et presque rouge comme l'infini L'été est ( continuer... ) Il brille, le sauvage Été, La poitrine pleine de roses. Il brûle tout, hommes ( continuer... ) A Laure Bernard. C'est l'été. Le soleil darde Ses rayons intarissables Sur ( continuer... ) À José-Maria de Heredia.
Pluie de Saint-Aurélien, Bel avoine et mauvais foin. Soleil à la Saint-Hervé, Fait présager d'un bel été. Pluie de Saint-Léonce, Pour trente jours s'annonce. Saint-Gervais, quand il est beau, Tire Médard et Barnabé de l'eau. Pluie d'orage à la Saint-Sylvère, C'est beaucoup de vin dans le verre. Été bien doux, Hiver en courroux. À la Saint-Alban, On peut poser ses vêtements. Le sage dit qu'à la Sainte-Audrey, Mieux vaut suer que grelotter. Poème Juin - Louis-Honoré Fréchette. La nuit de Saint-Jean, Est la plus courte de l'an. Le jour de la Saint-Prosper, N'oublie pas de fumer la terre. En juin trop de pluie, Le jardinier s'ennuie. Temps de la Saint-Fernand, Chaleur et soleil riant. Le jour de la Saint-Irénée, C'est l'un des plus beaux de l'année. Saint-Pierre et Paul pluvieux, Est pour trente jours dangereux. Quand Saint-Pierre laisse de la pluie à Saint-Martial, Saint-Martial donne des essaims autant qu'il en faut.
L'été, lorsque le jour a fui, de fleurs couverte La plaine verse au loin un parfum enivrant; Les yeux fermés, l'oreille aux rumeurs entrouverte, On ne dort qu'à demi d'un sommeil transparent. Les astres sont plus purs, l'ombre paraît meilleure; Un vague demi-jour teint le dôme éternel; Et l'aube douce et pâle, en attendant son heure, Semble toute la nuit errer au bas du ciel. Extrait de: Les rayons et les ombres (1840) Victor Hugo Poème Court
Sous les bosquets ( continuer... ) Le doux titre et l'emploi charmant: Être, en juin, un berger d'abeilles, Lorsque ( continuer... ) Quand à peine un nuage, Flocon de laine, nage Dans les champs du ciel bleu, Et ( continuer... ) J'ai embrassé l'aube d'été. Rien ne bougeait encore au front des palais. ( continuer... ) A Paris, en été, les soirs sont étouffants. Poème juin eté 2015. Et moi, noir promeneur qu'évitent ( continuer... ) Parmi le vert et la floraison de toutes les plantes les plus belles je flâne. Je ( continuer... ) Durant les longs étés, quand la terre altérée Semble se soulever, blanchie ( continuer... )
quelle nuit d'étoiles, quelles saturnales! Oh! mais des galas inconnus Dans ( continuer... ) Midi. L'astre au zénith flamboyait dans les cieux. L'azur immaculé, profond ( continuer... ) Aux branches claires des tilleuls Meurt un maladif hallali. Mais des chansons ( continuer... ) L'été, lorsque le jour a fui, de fleurs couverte La plaine verse au loin un parfum ( continuer... ) Le violon, d'un chant très profond de tristesse, Remplit la douce nuit, se mêle ( continuer... ) Mains nues frôlent Un sable chaud Cœurs galopants dans les dunes vertigineuses. Un ( continuer... ) A ELLE Les voici revenus, les jours que vous aimez, Les longs jours bleus et ( continuer... ) Les soirs d'été, sous l'oeil ardent des devantures Quand la sève frémit sous ( continuer... ) Printemps Le printemps va bientôt naître. Les hirondelles Pour que l'azur s'en ( continuer... ) En été les lis et les roses Jalousaient ses tons et ses poses, La nuit, par ( continuer... ) I De toutes les belles choses Qui nous manquent en hiver, Qu'aimez-vous ( continuer... ) A EUGÈNE L... Eugène, puisque Juin, le plus feuillu des mois, Est de retour, ( continuer... ) Vallée au nord, onduleuse prairie, Déserts charmants, mon cœur, formé pour ( continuer... ) Le chat sous la fenêtre soulève sa petite patte pour pouvoir sortir et ses ( continuer... ) Une jeune fille nonchalante rêve au bout d'un chemin.