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JOUR 1: DÉPART D'EUROPE À DESTINATION DE KUALA LUMPUR Vols de Paris vers Kuala Lumpur. Départ possible de Bruxelles, Genève, Lyon, Marseille et d'autres aéroports de province, moyennant parfois supplément. Repas: dîner dans l'avion Hébergement: nuit dans l'avion JOUR 2: ARRIVÉE À KUALA LUMPUR ET VOL VERS PADANG (SUMATRA) Arrivée à Kuala Lumpur. Vous aurez à récupérer vos bagages à l'arrivée du vol et à passer les formalités d'immigration de Malaisie. Puis départ avec les bagages en train-navette vers l'aéroport KLIA 2 où se font les départs de tous les vols de la compagnie AIR ASIA et enregistrement sur le vol vers Padang. Décollage de Kuala Lumpur KLIA2 à destination de Padang (Indonésie) sur la compagnie AIR ASIA. Les hommes fleurs indonésie episode. Arrivée à Padang dans l'après-midi. Il y a une heure de décalage horaire entre Malaisie et Indonésie. Accueil à l'aéroport de Padang et transfert vers l'hôtel, situé dans le centre-ville. Nuit à l'hôtel à Padang. Mode de transfert/transport: en vol domestique Repas: déjeuner dans l'avion – dîner libre (non inclus) Hébergement: nuit à l'hôtel JOUR 3: PADANG Temps libre et quelques visites à Padang, ville importante située sur la côte ouest de l'île de Sumatra, entre les montagnes Bukit Barisan et l'océan Indien.
« On passe du temps à fabriquer les flèches empoisonnées pour partir chasser le singe ainsi que quelques pièges pour les cochons sauvages, on prépare les repas à base de sagou avec les femmes et on part en forêt, plusieurs heures. Mon activité préférée, c'est d'y aller avec les chamanes, les sikerei, pour récolter des plantes. 10 départs. De retour au village, le chamane prépare ses soins à l'aide de concoctions pour la cérémonie du soir où se mêlent danses et chants sacrés pour invoquer les esprits. On dort sur une natte à même le sol dans la grande pièce commune, enveloppés d'une moustiquaire, et on se lave dans la rivière bien sûr! » Préparation des flèches empoisonnées ©Flickr CC Pour vivre heureux, vivons cachés À 150 km de la côte de Sumatra, au cœur d'une forêt équatoriale dense et difficile d'accès, les « Hommes-fleurs » sont naturellement restés en marge. Pourtant, ils ont longtemps été persécutés sous la dictature de Suharto (1965-1998), lorsque l'armée indonésienne souhaitait les sédentariser dans des villages.