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Sur le béton rose de la Promenade des Anglais, on ne peut pas les rater, ils prennent toute la place: d'immenses terrains de boules! Le 6e tournoi international de pétanque de la Métropole Nice Côte d'Azur commence vendredi 27 mai et dure jusqu'à dimanche. C'est le Clos de boules "Les amis du château" qui l'organise, avec la Ville de Nice. Au total, 330 terrains de boules ont été installés dans toute la ville. " Avant, la compétition se tenait sur les boulodromes publics déjà existants. Là, c'est la première fois qu'elle prend une telle ampleur! " explique Frédéric Carlin, chargé de mission au sein de la direction des sports de la ville de Nice, en charge des clos boulistes et des manifestations sportives boulistes. Tournoi de petanque nord le. Dans des lieux emblématiques de Nice Les terrains ont donc pris place dans des lieux emblématiques de Nice: la colline du Château, le port de Nice, la Promenade des Anglais, et la place De Lattre de Tassigny. "On attend plus de 300 équipes, avec 1. 000 boulistes, plus de 60 équipes féminines, ce qui fait 200 joueuses. "
Samedi 21 mai, sous une chaleur accablante, la pétanque des Adhémar a organisé son premier tournoi national jeunes triplettes (minimes, cadets, juniors), avec le nouveau système Swiss sur quatre parties, plus les finales, ce qui a permis aux jeunes participants de jouer toute la journée. À savoir que ce concours compte pour le circuit national jeunes. 32 équipes juniors ont participé, 30 équipes cadets et 31 équipes...
A BACHANT Pérenchies vs Halluin A CROIX Pét. Somainoise vs UB Croix A LESQUIN Lesquin vs Wattignies A Aniche ADJM vs Le Quesnoy A HERIN Hérin vs Escaudoeuvres A GRANDE-SYNTHE Douchy vs Fâches Ces 6 clubs sont rejoints, pour le cadrage de la Coupe du Comité du samedi 10 septembre, par les 6 autres clubs ayant perdu au 3ème Tour de la Coupe de France: Bachant, Mons, PC Avesnois, Marly, Armentières et l'ABGS
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Critique de Biographie: un jeu, de Max Frisch, vu le 23 mars 2022 au Théâtre du Rond-Point Avec José Garcia, Isabelle Carré, Jerôme Kircher, Ana Blagojevic, Ferdinand Régent-Chappey, dans une mise en scène de Frédéric Belier-Garcia C'était pour Golshifteh Farahani que j'avais réservé ce spectacle: la comédienne est rare sur les plateaux de théâtre, et j'étais ravie de pouvoir la découvrir enfin. Quelle ne fut pas ma surprise – et ma déception – en apprenant qu'elle était finalement remplacée par Isabelle Carré. J'aime beaucoup Isabelle Carré, je l'ai vue plusieurs fois sur scène et c'est toujours un plaisir, mais ce sont deux comédiennes très différentes et j'avais du mal à comprendre ce changement de distribution. Mais tout cela était plutôt de l'ordre du caprice puisque, de toute façon, je ne connaissais pas la pièce. Sylvie Isabelle, mordue de théâtre - QuébecSpectacles - Québec Spectacles. Verdict: Isabelle Carré y est parfaite et le spectacle est une réussite. Bernard a cinquante ans et lorsqu'il regarde ce qu'a été sa vie, il se demande si sa rencontre avec Antoinette, la femme qu'il a épousée, a été davantage une chance ou une torture.
Le rire, Van Hove va le chercher grâce à des petits commentaires, comme des surtitres qui accompagnent le début des scènes. Au cas où Molière ne fonctionne pas, au moins, on reliera ce qui se passe sur scène à ces petites annotations. Mordue de théâtre. En bref, ça valait vraiment le coup de proposer une version inédite si c'est pour qu'on ne l'entende ni ne la comprenne! Du côté des comédiens, difficile d'émettre une critique sur des propositions qui vont constamment contre le texte. Ceux qu'on retient sont ceux dont l'interprétation reste cohérente avec le texte, et donc lisibles pour les simples d'esprit comme moi – tant qu'on y est, on aurait pu aussi imaginer que Dorine souhaite coucher avec Tartuffe ou que Madame Pernelle soit l'amante cachée de Damis. Estimons-nous heureux donc de pouvoir saluer le jeu de Dominique Blanc et Claude Mathieu, toujours très justes, ouvrant de petites aérations moliéresques dans cet ensemble van hovien. Saluons écalement Denis Podalydès qui tire complètement son épingle du jeu en interprétant un Orgon somme toute assez classique, mais complètement magistral.
La tension s'installe, elle monte petit à petit avec les inquiétudes de chacun, accentuée par des effets sonores qu'on aurait pu encore accroître ou rythmer différemment, et soudain cela devient le sujet principal du spectacle comme une évidence qui s'impose. La mise en scène est maîtrisée, ne laissant de place à aucun temps mort, les scènes s'enchaînent bien et le principe d'alternance entre chaque personnage permet de toujours maintenir l'attention. Les quatre comédiens incarnent des personnages très caractérisés, des quotidiens différents, des attitudes opposées. Week-end théâtre - Théâtre du Mordant. La scénographie est travaillée, la régie impeccable, donnant vie à cet immeuble à la manière de Perec. On perd un peu en souffle lorsqu'approche la fin du spectacle, les enjeux de certains voisins pouvait parfois tourner en rond, mais la bascule d'une vie à l'autre permet d'éviter de perdre le spectateur. Les deux comédiens et les deux comédiennes mettent une belle énergie pour défendre leur personnage, enchaînant les tableaux sans accro, faisant de nous le cinquième voisin de cet immeuble qui naît sous nos yeux.
Je n'ai pas tout saisi des enjeux de la privatisation, les enchaînements des scènes et les différents changements de personnages ne sont pas toujours très clairs, on ne sait pas trop où on va. J'aurais voulu en apprendre davantage et c'est surtout la déception qui parle. À Feins, la compagnie de théâtre Ocus crée un spectacle avec les habitants. Plus objectivement, cela reste un bon travail, peut-être davantage un travail d'archiviste quand j'aurais souhaité une analyse plus claire de cette décision fondamentale pour l'audiovisuel public, de sa genèse, de son application, de ses conséquences directes et indirectes. J'en ressors néanmoins avec une meilleure connaissance de l'évolution de la TF1, de l'arrivée des chaînes d'information en continu, de la dictature de l'audimat et des sacrifices éditoriaux qu'elle impose. C'est un voyage au pas dans lequel il faut parvenir à se laisser porter d'une époque à une autre, des pattes d'éléphants aux jeans slims, des pulls bariolés aux costard-cravates, des manches ballons aux tee-shirts cintrés. On ne passe pas un mauvais moment, mais peut-être qu'1h30 auraient suffi.
Alors il décide de jouer à un jeu, le jeu de la biographie. Dans ce jeu, orchestré par une personne tierce, le meneur, on lui donne la possibilité de changer le cours de son existence en modifiant une parole, une réaction, un geste effectué. Cette modification, la plus infime soit-elle, peut avoir des conséquences sur tout le reste de sa vie. Alors, il faut bien choisir. Et ne pas la regretter. C'est tout à fait le genre de texte que j'aime. On joue avec les temporalités, on touche à cette vérité fugace des conséquences d'une décision qui sur le moment paraît futile, on parle de sujet assez graves – la mort, les regrets, les remords – sur un ton plutôt léger puisqu'après tout, on est dans un jeu. Et pour rendre ce moment drôle et ludique autant que profond et sérieux, il faut une parfaite maîtrise de l'équilibre entre texte, mise en scène, et jeu des comédiens. Un numéro de funambule exécuté ici à la perfection. C'est un texte assez singulier, aux accents parfois pinteriens. Il faut se laisser porter, accepter parfois de ne pas tout comprendre, de laisser une place au surnaturel.