pakdoltogel.net
Les critères diagnostiques, l'évaluation de la sévérité de l'épisode dépressif caractérisé de l'adulte ainsi que l'évaluation du risque suicidaire sont accessibles dans la fiche de synthèse de la HAS intitulée Episode dépressif caractérisé de l'adulte: prise en charge en soins de premier recours - Diagnostic - HAS - Octobre 2017 (PDF) La prise en charge thérapeutique et le suivi Les traitements non médicamenteux La psychothérapie est recommandée, quelle que soit la sévérité de l'épisode dépressif caractérisé. Elle peut être la seule prise en charge dans les épisodes dépressifs caractérisés légers à modérés, ou être associée à un médicament antidépresseur dans les formes plus graves de dépression. Les psychothérapies (individuelles, familiales ou de groupe) les plus usuelles et ayant fait leur preuve d'efficacité sont: la thérapie de soutien; les psychothérapies structurées: les thérapies cognitivo-comportementales (TCC); les psychothérapies psychodynamiques ou d'inspiration analytique; les thérapies systémiques ou familiales; les thérapies interpersonnelles (TIP).
O n dit que le sport c'est la vie, mais dans le cas de la sclérose en plaques, c'est encore plus vrai », témoigne Laëtitia Nadec. Ce lundi 30 mai à l'hôpital de la Timone, patients et soignants se sont retrouvés autour de stands pour sensibiliser et informer autour de la sclérose en plaques (SEP). Diagnostiquée depuis 12 ans, Laëtitia Nadec est l'une des patientes du service. « Il y a deux ans, une grosse crise m'a paralysé le côté gauche », raconte-t-elle, « mais j'ai récupéré à 75% grâce à la rééducation, à un traitement, au sport et à la volonté. » Pour cette « grande sportive », la sclérose en plaques c'est une cohabitation: « Il y a moi et Madame SEP, je dois vivre en communion avec elle, et ne pas la déranger pour ne pas qu'elle me dérange. Témoignage sur l’asthme sévère : “On s’habitue à mal respirer”. » Pour l'expliquer simplement, la SEP c'est « le système immunitaire qui s'emballe et qui attaque les cellules saines du corps » décrit Laëtitia Nadec. « C'est une maladie auto-immune du système nerveux central, qui affecte le cerveau, le nerf optique et la moelle épinière » complète Marie Delenne, une patiente ressource.
Plus les années passaient, plus mes allergies étaient compliquées à gérer, je toussais beaucoup et j'étais gêné même en hiver. Mon médecin traitant m'a conseillé de prendre rendez-vous avec un allergologue, mais il y avait une attente d'au moins un an pour une consultation. D'ailleurs, lors de mon premier rendez-vous, on m'a simplement expliqué que j'avais une allergie au pollen. C'est seulement après avoir eu de nombreuses crises, dont certaines m'ont amené à être hospitalisé en urgence que j'ai pu rencontrer un pneumologue. C'est lui qui a posé le diagnostic d'asthme sévère, j'avais 21 ans. " Maladie chronique: une acceptation difficile " Au début, j'ai refusé le diagnostic. Traitement dirigé mais moi. Pour moi asthme sévère cela voulait dire maladie chronique, ce n'était pas possible. D'ailleurs, je ne voulais pas prendre mon traitement. Les symptômes de l'asthme sont très gênants au quotidien et même si on s'habitude à mal respirer, mes crises étaient de plus en plus nombreuses. Dès que j'avais un rhume, je faisais une crise… On m'a dirigé vers une formation appelée éducation thérapeutique.