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Mots clés: Anesthésie pédiatrique, Cataracte congénitale, Glaucome congénital, Ophtalmologie, Rétinoblastome, Strabisme, Traumatismes oculaires, Voies lacrymales Plan © 2006 Elsevier SAS. Tous droits réservés. Article suivant Physiologie de la douleur: aspects psychophysiologiques et mécanismes périphériques D. Anesthesia générale pediatrie si. Le Bars, A. Mouraux, L. Plaghki Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé. L'achat d'article à l'unité est indisponible à l'heure actuelle. Déjà abonné à ce traité?
Contre indications aux anesthésiques locaux. Allergie (très rare avec les anesthésiques utilisés en chirurgie dentaire) Idiosyncrasie Dystonie neurovégétative Cellulite avec risque de dissémination septique Enfants handicapés. Les handicapés moteurs ne posent pas de problèmes en général Les handicapés mentaux présentent généralement des troubles de la communication. Ils ont souvent une mauvaise hygiène, un régime riche en hydrate de carbone et une alimentation mixée molle, ce qui entraîne des polycaries et des parodontopathies. Les maladies évolutives (névrose, psychose) peuvent être aussi très problématiques en ambulatoire. L'épilepsie. La consultation d’anesthésie en pédiatrie - EM consulte. Le stress peut déclencher une crise. L'AG sera décidée au cas par cas. Technique Hospitalisation ou ambulatoire. L'intérêt de l'ambulatoire est de diminuer le prix de revient, d'éviter le traumatisme de la séparation avec les parents et de diminuer le risque d'infection nosocomiale. Le bilan pré opératoire: selon les cas, hémostase, ECG, radiographie pulmonaire.
En fonction du type de chirurgie, des médicaments plus ou moins forts sur la douleur seront utilisés (allant du paracétamol aux dérivés morphiniques en cas de douleurs intenses aiguës), et ce, durant quelques jours après l'opération. Le bon complément des médicaments? Les parents! "Aujourd'hui, c'est sans doute à peine 20% (8% en 2003) des équipes soignantes qui accueillent systématiquement les parents en salle de réveil ", déplore Françoise Galland. Anesthésie générale en radiothérapie pédiatrique - ScienceDirect. Pourtant, la présence des parents est très importante. " Ils participent à la réassurance de l'enfant, le distraient et sont ses porte-parole, notamment en cas de douleur non soulagée ", assure-t-elle. À voir aussi Si vous êtes présent, que pourrez-vous faire? " Rassurez votre enfant en lui disant qu'il est réveillé, que vous veillez sur lui ", conseille la directrice de Sparadrap. " Demandez-lui s'il est bien installé, s'il est bien soulagé ", ajoute-t-elle. Si votre enfant a mal, signalez-le au personnel médical, des médicaments plus puissants peuvent lui être administrés.