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Des comparaisons désobligeantes ou des moqueries! 📌 À lire aussi: La comparaison cause beaucoup de mal-être et de souffrance! On n'arrivera plus jamais à se comporter sereinement à cause des cicatrices qui resteront de ces vexations profondes! Cela fera qu'on sera sans cesse, en train de s'angoisser des jugements qu'on supposera des autres lorsqu'il faudra aller vers eux! Comme on aura du mal à se plaire à soi-même, alors on redoutera de se rendre visible, on préfèrera s'isoler pour éviter des remarques déplacées! De manière étrange, plus on craindra ces situations, plus elles se multiplieront! Ne dit-on pas qu'on attire ce que l'on crée par nos pensées! On voudra tellement recevoir des compliments qu'on obtiendra le contraire! Si lorsque vous devez interagir, la première question qui vous martèle l'esprit est « Mais que vont-ils donc penser de moi? » ou « Vais-je leur plaire? » Cela signifie que ce traumatisme de la relation aux autres est ancré en vous un peu comme une brûlure encore vive qui vous empêche d'aimer votre physique!
S'accepter comme on est n'est pas chose facile! As-tu déjà souhaité être différente de celle que tu es? Plus originale, plus authentique, plus drôle, plus riche, plus sociable, plus intelligente, plus libérée, plus cultivée… Avant, comme je manquais de confiance en moi, je ne m'acceptais pas telle que j'étais. Je pensais que je serais mieux si j'étais autrement. Qu'il fallait que je change pour que les autres m'acceptent. Et surtout pour que je m'accepte. S'accepter comme on est sans culpabiliser d'être soi J'avais honte de mes défauts et de mes manques. Je me trouvais horrible et j'essayais de les cacher par tous les moyens car je pensais que si les autres s'en rendaient compte, ils ne voudraient plus me côtoyer. Je finirais seule, esseulée dans ma solitude Par exemple, je me rappelle d'une fois où j'ai décidé d'aller donner mon sang. J'ai une phobie des aiguilles et du sang. Encore maintenant, je pleure à chaque fois que je vais faire une prise de sang ou un vaccin! Mais j'ai progressé car petite, je me cachais sous le bureau du Docteur et il galérait pour m'en faire sortir Bref j'ai décidé que c'était égoïste de ne pas donner son sang et qu'il fallait que je prenne sur moi.
Vous ne savez plus qui vous êtes vraiment! Vous vous éloignez de plus en plus de vous-même. Vous devenez quelqu'un d'autre que vous ne reconnaissez pas, tellement distant de qui vous êtes vraiment au fond de vous. Vous devenez un étranger pour vous-même! Vous vous habituez à vous enfermer dans votre carapace en carton pour atténuer chaque remarque sur votre physique qui vous blesse tellement que vous n'arrivez même plus à faire face sans vous effondrer intérieurement à chaque fois! Vous perdez toute estime de vous-même! Devenez votre miroir intérieur! Pour cesser de souffrir, vous devez prendre la décision de « travailler sur vous-même ». C'est ainsi que vous apprendrez à accueillir votre véritable identité, en vous dépouillant de toutes ces blessures qui nuisent à votre épanouissement. C'est en mettant votre âme à nu, que vous allez pouvoir vous regarder enfin dans les yeux sans aucun artifice, tel que vous êtes pour apprendre à mieux vous connaître! Lorsque vous réussissez à toucher à cet état d'acceptation total, vous goûtez enfin à votre essence profonde.
L'amour de soi est votre meilleur relooking personnel. Quand vous vous aimez inconditionnellement, alors la magie opère, vous devenez sublime, vous n'avez plus aucun effort à faire, juste à vous laisser être! Fermez les yeux, ressentez-le au fond de votre cœur, cet amour pour vous-même! Vous êtes une personne géniale, fabuleuse! Souriez! Puis ouvrez vos yeux sur votre nouvelle façon de vous regarder! Ode à mon être O toi mon Moi regarde-moi! Nous sommes l'ombre et la lumière Le présent et le passé L'avenir en devenir O toi mon Moi, regarde-toi Ne fuis plus dans tes pensées Admire-toi dans mon reflet O toi mon Moi, regarde-moi Dos à dos, peau contre peau, N'est-ce pas ton cœur dans mon cœur? O toi mon Moi regarde-moi Je m'aime et toi aussi, aime-toi! Nous sommes deux dans notre belle unité O toi mon Moi regarde-moi Qu'est-ce que tu vois? Toi, rien qu'à moi! Nous Deux en somme! Le Tout dans l'Un L'Un dans le Tout La perfection incarnée! Maryse Ligdamis de
Passez le moins de temps possible avec les gens qui passent leur temps à se plaindre ou bien à créer des conflits inutiles [12]. Entourez-vous de personnes qui vous soutiennent. Pour vous sentir bien dans votre peau, il est essentiel de vous entourer de personnes qui veulent votre bien [13]. Il peut très bien s'agir d'un réseau formel, comme un groupe de soutien dirigé par un thérapeute ou bien d'un réseau plus informel, comme un groupe d'amis [14]. En développant de l'empathie pour les autres, vous développerez également plus d'empathie à votre égard. Assistez à une réunion ou bien organisez-en une durant laquelle chacun de vos amis pourra recevoir le soutien dont il a besoin. Organisez ce genre de réunion une fois par mois. Soyez gentil avec les autres. Des études scientifiques ont montré qu'en étant gentil envers les autres, on vit plus longtemps! En faisant quelque chose de gentil pour quelqu'un d'autre, vous vous apprécierez davantage [15]. Essayez de faire quelque chose de gentil pour les autres, sans rien attendre en retour.
« Comment s'accepter tel(le) qu'on est? ». En premier lieu, j'entends beaucoup, entre vos lignes (comme dans la bouche de mes patient(e)s) une vraie souffrance et une vraie culpabilité de ne justement pas parvenir à s'accepter! Et c'est bien là l'un des combles de l'injonction esthétique, aujourd'hui: elle oscille sans cesse entre nous inciter à modifier notre apparence, d'un côté (maigrir, rajeunir, changer de look, etc), et, de l'autre, « s'accepter comme on est » (rond(e), petit(e), mature, etc). Cela devient finalement une deuxième injonction, toute aussi prégnante que la précédente, et face à laquelle on se sent tout en autant en échec! Pourquoi? Sous couvert de nous inviter à accepter notre apparence telle qu'elle est, on nous présente en réalité les physiques « hors norme » (car il n'y a qu'une norme qui vaille, implicitement: grand(e), mince, jeune, et j'en ajoute une tellement implicite qu'on l'oublie: blanc(he)! ) font toujours l'objet de numéros spéciaux, dans les magazines.