pakdoltogel.net
Ils avaient démarré début août une fois le financement bouclé (405 millions d'euros). Entre les déboires juridiques et les difficultés à finaliser le montage, le dossier, éminemment politique, a pris six ans de retard. Le Stade des Lumières doit accueillir l'Euro 2016 et sa livraison est prévue en janvier de la même année. Cela ne laisse guère de marge pour les aléas et l'improvisation. Cette semaine, la purée de pois qui a nappé l'agglomération rhodanienne n'a pas facilité le travail. Les neuf grues déjà montées — deux autres vont l'être- ont fonctionné avec parcimonie. À 55 mètres au-dessus du sol, le conducteur n'y voit plus rien. "Rarement vu un tel brouillard", souffle le responsable de la sécurité de Vinci, constructeur de l'enceinte. Sur le chantier, 550 personnes dont 150 dans les bureaux. Ils seront 1. 000 quand l'activité tournera à plein. "C'est une mini-ville", sourit Eric Mérand, le directeur de la construction, qui précise que 70% des entreprises sont de la région. "Si c'est pour y mettre des chèvres…" En face de l'entrée principale du chantier, un lotissement.
Photo Icon Sport Publié Dimanche 21 Octobre 2012 à 09:37 Dans: OL, Ligue 1. Jean-Michel Aulas a décidé de prendre les devants, et avant même que l'Olympique Lyonnais signe officiellement avec le groupe Vinci Construction, qui doit réaliser les travaux, le président de l'OL a donné son feu vert au début des travaux révèle le Progrès. « Nous avons pris la décision de démarrer lundi les travaux de terrassement », a dévoilé le patron du club rhodanien. Pendant quatre mois, le terrain où doit être construit le futur stade des Lumières va donc être livré aux engins de chantier. Il s'agit évidemment d'une décision forte de la part de Jean-Michel Aulas, qui prend un risque certain dans ce dossier puisqu'un recours est encore à l'étude et une décision défavorable de la justice pourrait faire stopper sans délai le début du chantier. Mais le président de l'Olympique Lyonnais a bien conscience que faute d'un début rapide des travaux, alors le stade aurait du mal à être livré dans les délais, à savoir dans deux ans et demi.
- - - La première pierre du Stade des Lumières a été posée ce mardi matin à Décines, sous l'œil ravi de Jean-Michel Aulas, le président de l'OL. La livraison de l'enceinte de 58 000 places est prévue pour début 2016, quelques mois avant l'Euro en France. On appelle ça un « big smile ». Un sourire qui relie les deux oreilles d'un visage. Un peu comme celui qu'arborait Jean-Michel Aulas ce mardi matin. Aux côtés du maire de Lyon, Gérard Collomb, le président de l'OL a assisté à la pose de la première pierre du stade des Lumières sur le site de Décines-Charpieu. Sous les yeux de plus de 700 invités. Une délivrance pour le dirigeant rhodanien, qui se bat depuis plusieurs années pour avoir son grand stade. « On construit aujourd'hui quelque chose qui va servir l'ensemble de la population et du football français, donc on est heureux, glisse JMA. Ce sera l'une des enceintes les plus modernes d'Europe, voire du monde, sur le plan de l'outil sportif et de la technologie. C'est une fierté pour le Lyonnais que je suis.
16h06, le 15 décembre 2013, modifié à 13h30, le 19 juin 2017 L'idée d'un OL Land a germé il y a neuf ans dans l'esprit de Jean-Michel Aulas, il en reste encore deux avant qu'elle ne prenne vie. En attendant, Lyon est en plein dedans. Le très ambitieux, mais aussi très controversé, Stade des Lumières sort de terre. Reportage à Décines, dix kilomètres à l'est du centre de Lyon, sur le gigantesque chantier, auprès du voisinage et dans les bois. Gros œuvre et coin spa C'est encore un peu abstrait, mais ça prend déjà forme. Des dizaines de colonnes constituent la première ossature de l'enceinte. Des énormes blocs de béton commencent à former des pièces (salle de presse, auditorium, etc. ). Et même, encore perdu au milieu du gros œuvre, le coin spa du futur vestiaire de l'OL avec deux bassins creusés et bétonnés. Un mois après la pose de la première pierre, le 12 novembre, les travaux avancent à belle allure sur les 44 hectares du site de Décines, où l'OL a décidé en 2007 d'implanter son grand stade.
Il reste une demi-douzaine de cabanes rongées par l'humidité et le froid. Chaque matin, un agent municipal vient contrôler qu'il ne s'en construit pas d'autres. Sous une bâche, quatre "Fils et filles de Butte" et leurs deux chiens se réchauffent auprès d'un feu. Ici, les quelques sympathisants passent, partent et se retrouvent "comme à Notre-Dame-des-Landes". L'accueil est amical. Leur combat, à la marge de la société, dépasse largement le grand stade. "On ne peut pas s'arrêter de lutter, expliquent-ils. Il faut au moins laisser la trace qu'on n'a pas laissé faire ça. " Leurs moyens d'action restent toutefois limités. Ils sont de plus en plus isolés. Et de nouveau expulsables d'ici au 30 décembre. Source: JDD papier
Vous pouvez suivre les réponses à cet article par le fil Flux des commentaires. Vous pouvez laisser un commentaire. Les trackbacks sont fermés.