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Orrick conseille Monisnap dans le cadre de l'opération Monisnap, une fintech parisienne, a finalisé sa levée de fonds de 2, 5 millions d'euros (série A) auprès de Truffle Capital, Evolem Start et Notus Technologies. L'équipe Orrick est composée de Benjamin Cichostepski (Photo) Involved fees earner: Benjamin Cichostepski – Orrick; Law Firms: Orrick; Clients: Monisnap; PrintFriendly
Comme dans tout sous-secteur du paiement qui se respecte, il y a une concurrence intense. Et celui du transfert d'argent à l'international ne fait pas exception. Entre les banques traditionnelles, les acteurs spécialisés comme Western Union, les néobanques et les pure players tels que Remitly, il peut être difficile de s'y retrouver. Et de se démarquer. Monisnap levée de fonds saint. Fondée en 2017, la start-up française Monisnap a misé sur une technologie particulière: l'USSD (« unstructured supplementary service data ») qui permet de se payer entre carte SIM. Un gros avantage pour les pays où la population est peu bancarisée. Concrètement, l'émetteur inscrit le numéro de téléphone du bénéficiaire et le montant qu'il veut envoyer dans la devise souhaitée. Le bénéficiaire reçoit ensuite un SMS pour signaler qu'il a bien reçu l'argent sur sa carte SIM. « Les fintechs comme Revolut ou Wise [ex-TransferWise, NDLR] font très bien du transfert d'argent mais à chaque fois elles passent par le réseau Swift, ce qui signifie que l'émetteur et le bénéficiaire doivent avoir un compte bancaire », explique Jean-Baptiste Bouvier, cofondateur de la jeune pousse.
Monisnap, société créée en 2017 par Truffle Capital, a annoncé le 1er juillet une augmentation de capital de 10 millions d'euros auprès de Serena et de ses investisseurs historiques (Truffle, … Cet article est reservé aux abonnés Déja abonné? Connectez-vous Vous n'êtes pas encore inscrit? Le service de transfert Monisnap lève 10 millions d'euros. Créez un compte pour tester notre offre gratuitement pendant 15 jours Services en ligne: études, analyses, bases de données et bien plus encore Briefings quotidiens: actualités synthétisées Lettres hebdomadaires Aude Fredouelle Besoin d'informations complémentaires? Contactez le service d'études à la demande de mind
Google France en quête de futurs champions hexagonaux Evaneos, Manomano, Drivy, Captain Train… Ces fleurons de la French Tech ont un point commun: avoir participé au programme Scale-up de Google France. Ce dispositif est la tête de proue d'une mécanique d'accompagnement des jeunes pousses tricolores en phase d'internationalisation, mais il en existe deux autres stades. « Talent Garden » se destine aux pépites qui dominent leur marché domestique, pour lesquelles Google met à disposition des équipes d'experts en produit, en marketing, ainsi qu'en machine learning. Monisnap levée de fonds. On y retrouve Alan, Qonto, Payfit ou Agriconomie. Pour les plus jeunes, comme Monisnap, Google a créé « Nuggets », un programme où le géant américain partage des données pour faciliter leur accès au marché. « Pour nous, cet investissement est un pari et nous voulons participer à la création de scale-up en France, résume François Bracq, directeur du développement des start-up chez Google France. Plusieurs industries nous intéressent, comme le retail, le voyage et le service aux PME, et nous recherchons en permanence des candidats que l'on peut aider.
Publié le 1 juil. 2021 à 7:00 Mis à jour le 7 juil. 2021 à 9:58 Comme dans tout sous-secteur du paiement qui se respecte, il y a une concurrence intense. Et celui du transfert d'argent à l'international ne fait pas exception. Entre les banques traditionnelles, les acteurs spécialisés comme Western Union, les néobanques et les pure players tels que Remitly, il peut être difficile de s'y retrouver. Et de se démarquer. Fondée en 2017, la start-up française Monisnap a misé sur une technologie particulière: l'USSD (« unstructured supplementary service data ») qui permet de se payer entre carte SIM. Raphaël Rivière (Monisnap): Monisnap lève 10 millions d'euros - 01/07. Un gros avantage pour les pays où la population est peu bancarisée. Concrètement, l'émetteur inscrit le numéro de téléphone du bénéficiaire et le montant qu'il veut envoyer dans la devise souhaitée. Le bénéficiaire reçoit ensuite un SMS pour signaler qu'il a bien reçu l'argent sur sa carte SIM. « Les fintechs comme Revolut ou Wise [ex-TransferWise, NDLR] font très bien du transfert d'argent mais à chaque fois elles passent par le réseau Swift, ce qui signifie que l'émetteur et le bénéficiaire doivent avoir un compte bancaire », explique Jean-Baptiste Bouvier, cofondateur de la jeune pousse.