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Ce lundi 20 septembre, le président de la République a réuni au palais de l'Elysée des anciens harkis, des enfants d'anciens harkis et leurs familles, ainsi que des associations d'anciens harkis. Il a déclaré « que l'on m'entende bien ce matin, partout dans le pays, quand on insulte un Harki, on insulte la France ». et « aux combattants abandonnés, à leurs familles qui ont subi les camps, la prison, le déni, j e demande pardon, nous n'oublierons pas ». Il a annoncé également que « le Gouvernement portera, avant la fin de l'année, un projet visant à inscrire dans le marbre de nos lois la reconnaissance et la réparation à l'égard des harkis » L'association Harkis et droits de l'Homme se félicite de cette prise de parole et attend de voir le contenu de la loi évoquée pour valider qu'elle est à la hauteur des préjudices subis, pour les première et deuxième générations sans aucune distinction. Vous trouverez ci-dessous quelques extraits du discours prononcé par Emmanuel Macron, et, en lien, le texte intégral VERBATIM: « La tragédie d'une fidélité bafouée plusieurs fois par les massacres en Algérie, par l'exclusion en France, puis par le déni et refus de reconnaissance ».
Les fidèles de « N'oubliez pas les paroles », l'émission animée par Nagui depuis 15 ans avant le journal de 20h sur France 2, connaissent Magali Ripoll. Choriste et musicienne du jeu télévisé depuis sa création, la fantasque artiste, à l'accordéon, au clavier et à la voix, est une figure de ce programme populaire qui met en avant la chanson française. Pour ceux qui ne regardent pas,... Pour ceux qui ne regardent pas, le principe est simple: les candidats chantent en karaoké, accompagnés par un orchestre. Quand les mots s'effacent, seuls gagnent ceux qui se souviennent de toutes les paroles. Nagui a donc désigné Magali Ripoll pour piloter la version scénique de son jeu, baptisée « N'oubliez pas les paroles se donne en spectacle ». Démarrée il y a quelques jours, la tournée passe par l'espace Carat, à L'Isle-d'Espagnac, ce samedi 23 avril. Le public retrouvera l'orchestre de l'émission en chair et en os et les fameux « maestros », c'est-à-dire les candidats qui ont emporté le plus de victoires comme Margaux, Kevin ou Renaud.
Là, déjà, ils veulent supprimer les mandats, qu'on ne les distribue plus à domicile, que les gens soient simplement informés... Le nouveau service public, c'est de ne plus rendre service aux gens, en fait. » Comme au guichet: « Maintenant, si une machine est en panne, on ne sait plus faire à la main. Quand c'est un RMiste qu'on ne peut pas payer, c'est pas juste. Avant, on savait travailler et les clients étaient servis: c'était le service public. » Ils sont nombreux à attendre pourtant un sérieux « dépoussiérage de La Poste », à vouloir en finir avec cette image des PTT « petit travail tranquille », ce stéréotype du fonctionnaire qui « se la coule douce » et qui compte sans arrêt ses heures. Mais ils tiennent à la qualité du service public qui préserve le lien social: « Il faut évoluer avec son temps, mais on peut garder un service public (... ). Il y a toute une dégradation du travail qui se fait au nom de la rentabilité. » L'individualisation du commissionnement, qui institue l'acte de vente comme une activité individuelle, les préoccupe: « A cause des ventes, maintenant, c'est chacun pour soi.