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La caisse de retraite des avocats (CNBF), autonome et indépendante, dispose de réserves que l'état veut s'approprier avec la réforme des retraites. Ces réserves ont été acquises par le travail de l'ensemble des avocats et, devraient être prochainement « confisquées ». Elles sont constituées pour aider la profession dans des moments de crise de la profession. Petition des avocats du barreau. « Nous sommes en Guerre » Pt Macron Cette crise du Coronavirus est la période la plus difficile rencontrée par tous les avocats sans exception. De nombreux cabinets d'avocats risquent de mettre la clef sous la porte, et, de rompre de nombreux contrats de collaboration malgré les interdictions. En effet, les cabinets ont été fermés, les tribunaux ont été fermés et les clients ne peuvent plus nous consulter, leurs entreprises ayant elle même été fermées ou, ils ont été simplement confinés comme toute la population française. Nous demandons aux responsables syndicaux, au CNB, ainsi qu' aux Ordres des avocats, de convaincre la caisse de retraite CNBF afin d'utiliser les réserves pour annuler les cotisations des avocats pendant cette période de crise sanitaire et de crise économique du covid 19.
Devant le silence assourdissant du Barreau du Québec, du corps professoral et des autorités juridiques qui ont laissé faire sans broncher depuis maintenant près de deux ans, nous sommes dans l'obligation d'en appeler nous-mêmes à un sursaut collectif afin de réaliser l'ampleur de la situation actuelle. Petition des avocats à la cour. Le 13 mars 2020, le gouvernement a déclaré l'état d'urgence sanitaire prévu par la Loi sur la santé publique. En tant que juristes, nous sommes d'avis que l'esprit de cette loi a été depuis complètement galvaudé, si bien que l'état d'urgence sanitaire a été prolongé sans interruption depuis le début de la crise, sans considération pour l'évolution de la situation épidémique au Québec. Cette situation permet au gouvernement de mener une gouvernance despotique à coup de décrets sans égard pour les principes démocratiques. Cette faille exécutive et législative aurait dû, dans une démocratie bien comprise qui a pour assise une justice contribuant à l'équilibre des pouvoirs, être résolue par une intervention des tribunaux.
En l'espèce, le fait générateur de la créance des époux trouve sa source dans l'illégalité du permis de construire mais n'a acquis un caractère certain que par l'intervention de l'arrêt de la cour d'appel d'Angers, signifié le 3 juillet 2001. La prescription a donc commencé à courir le 1 er janvier 2002, dès lors au 8 juin 2006, date de la demande des époux, la prescription était donc acquise.
Des époux ont construit un hangar agricole sur le fondement d'un permis de construire délivré le 24 octobre 1987, contesté devant le juge administratif. Par décision du 31 juillet 1996, le Conseil d'État a définitivement annulé ce permis et un voisin a alors saisi la juridiction judiciaire afin qu'elle les condamne à indemniser les troubles de voisinage causés par l'installation et à la démolir. Ces demandes ont été accueillies par la Cour d'appel d'Angers par décision du 17 avril 2001 signifiée le 3 juillet. Les époux ont alors saisi le juge administratif d'une demande tendant à voir réparer les préjudices qu'ils estimaient avoir subis du fait de l'illégalité du permis de construire qui leur avait été accordé. La Commune de Saint-Mathurin-sur-Loire a alors fait valoir que la créance des époux était prescrite. Pétition : Que les avocats puissent enquêter sur l'affaire pénale.. Le Conseil d'État a considéré que « la créance détenue, le cas échéant, par le titulaire d'un permis de construire jugé illégal par la juridiction administrative, au titre du préjudice lié à la condamnation, par une juridiction judiciaire, à démolir le bâtiment litigieux ou à indemniser les préjudices qu'il a causés, se prescrit à compter du premier jour de l'année suivant celle au cours de laquelle la décision de la juridiction judiciaire est passée en force de chose jugée ».
Je protestais bien sûr de ma plus parfaite bonne foi, comme celle, bien sûr, de mes associés et collaborateurs, qui avaient à différents stades, suivi avec moi cette procédure. Je pensais naïvement que je n'entendrais jamais plus parler de cette histoire. A l'audience de jugement, dix-huit mois plus tard, le Procureur de service, peut-être en manque d'arguments, s'en prit brutalement à moi: Si X était coupable de ce délit connexe à la lourde prévention dont il devait répondre... bien sûr, j'étais son complice! Il annonça qu'une procédure était en cours pour identifier les coupables. Honteux, révoltant, grotesque, et disons-le, particulièrement malhonnête. Projet de loi Justice : signez la pétition en ligne ! | Barreau de Paris. Un an plus tard, une Juge d'Instruction, courtoise, et un brin embarrassée, m'entendit sur cette invraisemblable affaire, dans laquelle X avait été mis en examen. J'ai répondu aux questions du Magistrat, assisté par l'une de mes associés, qui connaissait également parfaitement ce dossier. Mes protestations vives et circonstanciées, conjuguées à l'indigence de la procédure, me faisaient échapper à une mise en examen autant injuste que totalement infondée.