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DGI Maroc La Direction générale des impôts (DGI) a procédé au déploiement d'un agent conversationnel « Chatbot », permettant d'interagir avec les usagers et de les assister dans leurs démarches auprès de l'administration fiscale. « Dans le cadre de la diversification de ses canaux de communication et de facilitation de ses interactions avec les usagers, et en application des dispositions de la loi n° 55-19 relative à la simplification des procédures et des formalités administratives, la Direction Générale des Impôts a procédé au déploiement d'un agent conversationnel 'chatbot' », a annoncé la DGI dans un communiqué. Cet agent virtuel, qui repose sur une brique d'intelligence artificielle, permet d'interagir avec les usagers en deux langues (arabe et français), 24H/24, 7J/7 et de les assister dans leurs démarches. Il vient, ainsi, compléter le dispositif d'assistance en place (centre d'appel, prise de rendez-vous en ligne et e-réclamation). Cette première version du « chatbot » a été conçue pour répondre aux questions les plus récurrentes afférentes aux services des impôts en ligne « SIMPL », dans la perspective d'étendre progressivement son périmètre à d'autres aspects liés à la fiscalité.
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Le pays vise, à travers cette mesure, à créer de l'emploi qualifié dans le domaine des nouvelles technologies et la collecte de devises. Beaucoup d'emplois offerts par ces centres d'appels et ces centres de développement informatique sont originaires de l'Afrique subsaharienne. Le Maroc contribue à fixer ses ressources et celles des pays africains sur son sol. Je pense que l'Europe nous est redevable et cet argument devra être mis sur la table dans le prochain round de négociations avec l'OCDE Les professionnels veulent plus de clarté La pression des pays membres de l'Union européenne a poussé le Maroc à opérer un réajustement fiscal des «zones franches» et «d'Offshoring». Cela dit, pour certains professionnels, le législateur n'a pas été clair sur la nouvelle réglementation fiscale relative à l'externalisation des services. L a conformité du régime fiscal du Maroc est devenue une nécessité face à la pression des pays de l'Union européenne (UE). Les facilités d'impositions accordées par le Royaume dans ce qu'on appelait anciennement les «zones franches» ou «d'Offshoring» lui ont valu d'être listé parmi les mauvais élèves en termes de transparence fiscale et de faire partie de la fameuse liste grise des paradis fiscaux.
Même problématique pour les 20% d'IS applicables après les 5 années d'exonération, la plupart des experts se demandent s'ils concernent les prestations réalisées au Maroc uniquement, ou celles à l'étranger aussi. Affaire à suivre… Articles qui pourraient vous intéresser