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Samedi 18 août, au festival Pukkelpop qui se tient en Belgique, des injures racistes ont été proférées et des chants racistes à base de "Le Congo est à nous" proclamés en chœur par de jeunes festivaliers. Peu de temps après la tenue du festival belge Pukkelpop 2018, deux jeunes femmes ont raconté s'être fait violement agresser en raison de leur couleur de peau, poussées et frappées à coups de pieds. C'était samedi soir, lors du concert de Kendrick Lamar, lui-même grand défenseur de la lutte contre le racisme. Dans la foulée, une vidéo amateur a été publiée sur Twitter, montrant un groupe de jeunes festivaliers flamands brailler en choeur des chants racistes et pro colonialistes. "Handjes kappen, de Congo is van ons" à savoir "Couper les mains, le Congo est à nous". Même si l'une des jeunes filles victimes de l'agression affirme ne pas avoir envie de poursuivre les agresseurs pour le moment, Unia, le centre interfédéral pour l'égalité des chances et pour la lutte contre le racisme, confirme pour sa part avoir déjà reçu une plainte.
C'est à croire que cet officier avait reçu l'ordre d'éviter soigneusement toute allusion à l'ennemi: « Dans sa débandade, l'ennemi a abandonné des armes et des effets militaires récupérés par les FARDC. Il s'agit notamment d'un mortier 60 mm, d'une arme AK81, de 8 roquettes antitank, d'une chaine de munitions de PKM, d'une paire de tenue militaire, d'un casque et de deux gourdes militaires non utilisés ni par les FARDC, ni par les terroristes du M23 «. Le regretté chanteur Luambo Makiadi Franco aurait dit: « Soki omoni ndoki belela! » Traduction littérale: « Ameutez la foule dès que vous faites face à un occultiste ou un sorcier «. Les Congolais, dans leur grande majorité, portent le Rwanda de Kagame en piètre estime. « C'est le voisin le moins fiable sur les neuf qui entourent le Congo-Kin en «, clame-t-on LE CONGO-KIN, UN « BUTIN DE GUERRE »? Présent à Malabo, en Guinée Equatoriale, dans le cadre du Conseil exécutif de Union Africaine le ministre des Affaires étrangères Christophe Lutundula Pen'Apala a parlé vrai.