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Pourquoi avoir choisi la marque SKIOLD? "Ce qui a fait la différence: Le système de pesée et l'automate. On ne voulait pas passer notre temps à appuyer sur des boutons, à être à côté et surveiller. On voulait un truc qui se fasse tout seul. L'automate est très facile à prendre en main, évolutif et on peut faire beaucoup de choses avec. Il n'y a rien à dire. Le broyeur à disques Disc Mill: pas de bruit, pas de poussières et un bon débit. Je peux broyer 1 tonne en moins de 45mn. L'écartement des disques est à 0. 7 ou 0. 8. Les bêtes le prennent bien. Au DAC, elles le prennent très bien. " Ce que nous a apporté la fabrique d'aliments? "On s'occupe de la fabrique seulement 1 heure par mois et on a 7 formules: 3 pour les VL 2 pour les génisses 1 pour les taurillons 1 pour les veaux Et c'est que le début! L'avantage c'est qu'ici vous avez une multitude de matières premières et de possibilités: orge, triticale, maïs et on a encore du soja, colza et après on va rentrer de la pulpe de betterave et du corn.
Vente interdite D'un point de vue légal, il est interdit de fabriquer des aliments à la ferme pour d'autres éleveurs, cette activité étant considérée comme commerciale au même titre que pour les sociétés qui fabriquent et vendent de l'aliment. Une raison qui, en plus du problème de traçabilité des matières premières, limite l'achat d'aplatisseurs en copropriété.
Les logiques d'investissement et d'économie d'échelle sont très différentes », fait remarquer Hervé Roy de la Chambre d'agriculture de Bretagne et coordinateur de l'association Airfaf (1), dont le rôle est de promouvoir la fabrication d'aliment à la ferme et d'apporter un appui technique aux éleveurs " fafeurs ". Depuis deux ans, le Conseil général de Bretagne encourage l'autonomie alimentaire des élevages en soutenant, à hauteur de 30 à 40%, les achats individuels ou collectifs de matériels de fabrication d'aliment neufs. « 75 éleveurs en ont déjà bénéficié, pour un montant de près d'un million d'euros. Il s'agit presque exclusivement d'ateliers porcins, alors que cette aide est également destinée aux autres productions animales, aux Cuma et aux Eta. D'autres régions soutiennent les investissements dans la Faf, avec certaines conditions à respecter. » Travail à façon Devenir "fafeur", c'est prendre un risque sur les plans financier, temps de travail et technique au vu des compétences requises en formulation des aliments, pour le stockage et la ventilation des grains, etc. « En porcs comme en bovins, il faut que la structure tourne bien avant de vouloir changer de type d'aliment et d'y consacrer du temps », conseille Hervé Roy.
Si Marc et Alexandre, les deux frères, s'occupent de nourrir la centaine de vaches laitières et cultiver les céréales sur les 200 hectares de la ferme familiale, la préparation des yaourts, c'est Mathilde, femme d'Alexandre, qui s'en charge. Cette ancienne opticienne, a délaissé les lunettes pour la fabrication de yaourts. Lire la suite sur La République du Centre En quête de demain Recevez par mail notre newsletter éco et retrouvez l'actualité des acteurs économiques de votre région. Face à l'ampleur des enjeux auxquels nous devons faire face, entre crise écologique, inégalités sociales et tensions démocratiques, il est plus que jamais urgent de regarder au-delà de ce qui nous divise pour mettre en lumière ce qui peut nous rassembler. Si les inévitables changements dans nos manières de produire, de consommer, d'habiter, de vivre ensemble ébranlent forcément nos certitudes et nos convictions personnelles, ils peuvent aussi nous unir autour de préoccupations partagées. Au quotidien, des Françaises et des Français de tous bords et de tous horizons dépassent les clivages et travaillent déjà main dans la main pour répondre aux enjeux sociaux et environnementaux dans nos territoires.
Pourquoi avoir fait le choix de la FAF? « J'ai choisi la FAF car cela me permet de valoriser mes cultures pour les poules pondeuses, de travailler en autonomie, et ça m'apporte une cohérence au niveau de ma production. Cela me donne également une bonne image vis-à-vis du consommateur. Je choisis quelles sont les matières premières que je souhaite acheter à l'extérieur (le soja européen par exemple). La FAF me permet d'intégrer certaines matières premières non triées (ex. vesce, chénopode). La maîtrise des coûts est un facteur déterminant au niveau de la FAF ». Quels sont d'après vous les inconvénients de votre FAF? « L'investissement du matériel pour stocker et sécher les matières premières est important. De mon côté, j'utilise des cellules à plat, et je peux stocker 180 tonnes. Aujourd'hui, je suis trop limité en stockage et en outils de séchage. Mon séchoir (système de grille) n'est pas suffisamment adapté: il y a un problème de condensation sur les matières stockées à côté du séchoir ».
Il rentrait beaucoup de co-produits en semi. Et je me suis dit "il faut qu'on fasse ça. Ça a été le déclic. Lui, il gagnait 40€ par tonne rien que sur le tourteau. " Tout a démarré lorsqu'ils ont découvert une offre sur Agriaffaires. "Avant même de contacter un distributeur, nous sommes allés à Bordeaux, chez un éleveur qui souhaitait tout vendre sur son exploitation pour se lancer dans le cognac. Un des bâtiments était plein de cellules de stockage. Nous avons démonté 6 silos et on a tout ramené ici. C'est facile à démonter mais c'est très long. Voilà comment nous avons connu ACEMO: grâce aux cellules. Puis on a contacté le distributeur Alfadou, et on a demandé à Anthony ce qu'il vendait. Il a dit ACEMO. Vous avez un commercial dans notre secteur puis, on a été bien conseillé et on nous a donné des adresses. Mais on n'a jamais visité d'autres exploitations. On était convaincu de ce qu'on faisait. " Installation & Montage de la fabrique " Même si la fabrique arrive pré-montée, c'est du boulot à monter: 1 jour par cellule 3 jours pour les prises et les tuyaux au-dessus 2 jours pour les vis 1 semaine pour le câblage 1 mois et demi pour le béton Après c'était de la petite mécanique. "