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"En cas où des quantités supplémentaires seraient disponibles, elles seront mises sur le marché au comptant sans discrimination entre les clients", a souligné M. Arkab.
Il s'agit donc d'importantes quantités largement suffisantes pour faire tourner une centrale électrique à charbon pour de longues années. Avec seulement 20 millions de tonnes, «il est possible de faire fonctionner une centrale électrique de 300 à 400 MW durant 30 ans», assurait, dans ce sens, le PDG de Sonelgaz, Noureddine Bouterfa, présent à l'exposé fait sur le potentiel minier de la wilaya. Mines d’or en Algérie: les limites de l’ENOR - fildalgerie. Toutefois, la mise en valeur du potentiel minier de la wilaya de Bechar n'est pas limitée seulement au charbon, puisque les activités d'exploration en cours cibleront toutes les substances. «Nous avons pris du retard dans l'exploration minière (dans la région)», a reconnu le ministre, ajoutant que cette activité «sera intensifiée» pour évaluer le potentiel existant en minerais comme le palladium, le cuivre, l'or et la baryte. «Nous allons accélérer l'exploration pour voir les opportunités d'exploitation de ces gisements», a-t-il assuré. TINDOUF, L'AUTRE MINE Le ministre a, d'autre part, affirmé que l'exploitation du site minier de Ghar Djebilet dans la wilaya voisine de Tindouf se fera par une société nationale en association avec un partenaire étranger éventuellement.
Cette réserve n'est cependant pas comprise dans l'appel d'offres, mais pourrait faire l'objet d'un autre appel d'offres sur le long terme. Les sites minier en algérie al salam. Parallèlement à cet appel d'offres, le gouvernement est en train de mettre en place une base de données minières qui devrait être prête dans 18 mois environ. Pour les experts britanniques d'Oxford business group (OBG), « le gouvernement algérien est tenté de redémarrer son industrie minière », d'où la mise en œuvre d'une série d'importantes réformes sectorielles. Toutefois, estime-t-on, même si la libéralisation du secteur minier en Algérie a permis de créer plus de 100 petites et moyennes entreprises qui emploient près de 16 500 personnes, cette industrie n'a pas encore atteint son réel potentiel. Pour remédier à la situation, l'Algérie, qui est davantage connue pour son secteur gazier et pétrolier en pleine expansion, note-t-on, commence à négocier avec des investisseurs étrangers désireux de trouver d'autres opportunités dans un pays aux vastes ressources naturelles.
Quant au projet de la mine de zinc et de plomb à Oued Amizour, qui contient des réserves exploitables estimées à 34 millions de tonnes, avec une production annuelle estimée à 170 000 tonnes de concentrés de zinc, et 30 000 tonnes de concentrés de plomb, M. Arkab a fait état de "la prise de mesures nécessaires pour réunir les conditions de lancement du projet, notamment en ce qui concerne les aspects liés à la sécurité et à la protection de l'environnement". Mines: Arkab invite les compagnies tchèques à investir en Algérie – Le Jeune Indépendant. Concernant le projet de Ghar Djebilet, le ministre a indiqué que "la possibilité de démarrer l'exploitation cette année (2022) et d'exporter du fer brut vers la Chine a été étudiée". Ces premières opérations commerciales se dérouleront à partir des installations pilotes et après confirmation de bruts concentrés et de poudre de fer (avec une capacité de production de 50 mille tonnes/an chacune), avant que le projet n'entre dans la phase d'exploitation à grande échelle avec une capacité d'extraction annuelle de 40 à 50 millions de tonnes de fer brut.