pakdoltogel.net
Quels sont les types de tutorat? Notre approche vous propose 8 types de tutorat différents: Les tutorats concernant des nouvelles personnes 1. Tutorat de formation Public-cible: élèves et étudiants Cadre: stages en milieu professionnel 2. Tutorat d'intégration Public-cible: jeunes et nouveaux engagés Cadre: intégration des travailleurs dans leur nouveau milieu du travail 3. Tutorat d'insertion Public-cible: personnes demandeuses d'emploi et peu qualifiées Cadre: contrat de travail d'insertion dont une partie du temps est dédiée à la formation 4. Tutorat d'inclusion Public-cible: personnes en situation de handicap Cadre: soutien à l'intégration dans l'emploi Les tutorats concernant des personnes déjà en fonction 5. Transmission des savoirs et des compétences et développement du tutopat.com. Tutorat de développement Public-cible: professionnels souhaitant acquérir de nouvelles compétences Cadre: apprentissage tout au long de la vie professionnelle et partage des savoirs entre collègues 6. Tutorat de transmission Public-cible: personnes amenées à reprendre la fonction d'autres personnes sur le départ Cadre: transmission des savoirs et des compétences entre une personne qui quitte l'institution et une autre qui la remplace 7.
Il est essentiel de replacer l'expert dans son contexte pour susciter l'envie de la transmission. Un salarié senior sur le point de partir départ en retraite, n'aura pas les mêmes motivations qu'un cadre quittant son poste actuel pour une fonction supérieure. Il faut également prendre en compte la personne pour l'inciter à partager son savoir faire, en mettant en perspectives ses avantages: reconnaissance, validation des acquis, développement personnel et professionnel, bilan de carrière, accompagnement à la retraite, outplacement, acquisition d'une nouvelle compétence. Le tutorat : moyen de transfert des savoirs et des compétences entre les générations ?. Prendre en compte le facteur temps Les entreprises doivent anticiper au maximum le transfert des compétences pour prendre le temps de bien structurer la passation des savoirs. Elles doivent mettre en place une véritable stratégie de transmission, mettant en jeu la relation entre l'expert et le nouveau salarié. Ce travail de préparation est d'autant plus important lorsqu'il s'agit d'organiser la transmission des savoirs entre générations.
Et d'insister sur la nécessité d'une réciprocité, par laquelle "le tutoré choisit son tuteur". Une logique qui pourrait gripper celle du contrat de génération si, comme a assuré Bernard Masingue, "dans les entreprises, les jeunes préfèrent souvent être tutorés par des salariés dont l'âge ne s'éloigne pas trop du leur, soit plutôt des médians (35-45 ans) que des seniors…" Car l'automatisme de la coopération ne va pas de soi, et l'idée qui présidait à l'élaboration du projet de loi, à savoir que "le senior qui reste sera le tuteur du jeune qui entre", est déjà abandonnée. "Ce n'est pas parce que je suis un senior que j'ai forcément envie d'être tuteur, et que je vais être choisi pour l'être", a résumé Bernard Masingue. "La prise de recul n'est pas automatique" À partir d'observations des relations entre tuteurs et alternants, le directeur de projets a listé six conditions essentielles, de son point de vue, à une transmission optimale des compétences. En premier lieu, "il est essentiel que les jeunes aient, en plus du savoir acquis dans le cadre professionnel, un socle de connaissances académiques.