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À chacun de s'en inspirer pour réussir à penser un peu moins à ce qui, matériellement, nous prive de bonheur et un peu plus à ce que Dieu offre, spirituellement, pour l'avoir en abondance. On y trouve ainsi de nombreuses pistes de réflexion sur notre manière de vivre mais aussi des indications pour discerner. Comprendre que notre bonheur ne dépend pas des circonstances mais de Dieu devient alors progressivement une évidence: La route des sages Fondés sur l'humilité, la bonté, la compassion, la fidélité et la justice, ces versets sont la preuve que Dieu ne veut que notre bonheur. Mais un bonheur solide et non un caprice ou un fantasme: « Un homme avisé trouvera le bonheur; qui se fie au Seigneur est plus heureux encore! » ( Pr 16, 20) « Heureux les hommes intègres dans leurs voies qui marchent suivant la loi du Seigneur! Heureux ceux qui gardent ses exigences, ils le cherchent de tout cœur! » ( Ps 118, 1-2) « Heureux qui trouve la sagesse, qui accède à la raison! » ( Pr 3, 13) « Heureux est l'homme qui n'entre pas au conseil des méchants, qui ne suit pas le chemin des pécheurs, ne siège pas avec ceux qui ricanent … » ( Ps 1, 1) « Qui fait route avec les sages deviendra sage; qui fréquente les insensés tournera mal.
« Que chacun examine sa propre action; ainsi, c'est seulement par rapport à lui-même qu'il trouvera ses motifs de fierté et non par rapport aux autres » ( Gal 6, 4) « Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, comme moi, j'ai gardé les commandements de mon Père, et je demeure dans son amour. Je vous ai dit cela pour que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite « ( Jn 15, 10-11) « Soyez toujours dans la joie du Seigneur; je le redis: soyez dans la joie », exhorte aussi saint Paul dans sa lettre aux Philippiens. Lire aussi: Voici le meilleur exercice pour apprendre à prier Ramasser les « petits bonheurs » D'un côté, nous avons un mal à combattre, de l'autre un bien à conquérir et à faire grandir en ramassant les « petits bonheurs » de chaque jour qui sont là mais que nous ne voyons pas toujours, et qui font dire à Jésus dans l'évangile de Luc: « Heureux les yeux qui voient ce que vous voyez! » ( Lc 10, 23). Ce sont des cadeaux de Dieu à vivre avec Lui: voir la beauté dans ce qui nous entoure et dans le cœur des gens à commencer par le sien, partager, rendre heureux, secourir, faire de son mieux: « En toutes choses, je vous ai montré qu'en se donnant ainsi de la peine, il faut secourir les faibles et se souvenir des paroles du Seigneur Jésus, car lui-même a dit: Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir.
Si vous avez déjà fait quelques recherches sur les mormons, vous saurez qu'ils sont chrétiens et qu'ils croient que Dieu à un plan pour l'humanité. Parfois, ce plan est appelé Plan du bonheur, Plan de Dieu ou encore le Plan du Salut. Voici un résumé de ce plan: Dieu est notre Père Dieu est le Père de notre esprit. Il nous a créés à son image. Nous avons une nature et une destinée divines. Nous vivions avec Dieu Avant de naître, nous vivions avec notre Père céleste, le Père de notre esprit. Grâce à cela, nous sommes tous littéralement frères et sœurs dans la famille de Dieu. La vie sur terre fait partie du plan de Dieu Notre vie sur terre a un but. Notre venue sur terre fait partie du plan de Dieu a conçu pour que nous acquérions un corps physique et apprenions à choisir entre le bien et le mal. Jésus-Christ est le chemin Notre Père céleste a envoyé son Fils, Jésus-Christ, pour être notre Sauveur et nous montrer la manière de vivre selon le plan de Dieu. Nous pouvons trouver le bonheur Le moyen le plus sûr de trouver le bonheur est de suivre le plan de Dieu.
Cette « connaissance du troisième genre », qui correspond à la « béatitude », n'est toutefois pas accessible à tous; seul le philosophe y aura finalement accès. Mais, conclut Spinoza (il s'agit de la dernière phrase de l' Éthique), « Tout ce qui est beau est difficile autant que rare ». 4. Le bonheur ne peut pas être ce que l'homme poursuit a. « Le bonheur est sans positivité » Arthur Schopenhauer (1788-1860) estime que la condition humaine est marquée avant tout par le malheur. Le propre de l'homme n'est pas d'être heureux, mais d'être malheureux. Il s'agit d'un constat. Le plaisir n'est selon lui que la cessation d'une souffrance, c'est pourquoi « le bonheur est sans positivité ». Le chemin qui mène au bonheur est donc une voie sans issue. Nous ne connaissons la vraie valeur des choses que par la souffrance qu'entraîne leur manque. b. « Le bonheur des derniers hommes est prudent, mesquin et médiocre ». Friedrich Nietzsche (1844-1900) critique essentiellement le bonheur quand il est conçu comme bien-être, quand il est assimilé « aux petits plaisirs » dont l'homme moderne se satisfait.
Aussi, nous pouvons lire dans Psaume 71: 20 (LSG): «Tu nous as fait éprouver bien des détresses et des malheurs; mais Tu nous redonneras la vie, Tu nous feras remonter des abîmes de la terre». L'exemple le plus probant est celui du Père Abraham qui fut longtemps soumis à une longue épreuve avec plusieurs malheurs, mais, sa foi finit par triompher envers et contre tout. Et il devint le père de la foi (Romains 4: 18-20 LSG). Le malheur est aussi la manifestation du désert périodique qu'on traverse. Bien souvent, quand nous quittons les mains protectrices de l'Eternel et que nous commençons à obéir à la voix de l'ennemi, ce dernier en profitera pour nous cribler comme du froment, en plus de faire de nous ses esclaves (Romains 6:16 LSG). Pour éviter tout cela, le Seigneur qui nous aime de tout Son cœur, nous attirera alors dans le désert, pour parler à nos cœurs. En effet, dans Osée 2: 14 LSG, il est écrit: «C'est pourquoi voici, Je veux l'attirer et la conduire au désert, et Je parlerai à son cœur ».
En connaissant, montre Spinoza, la nature de nos besoins, de nos désirs et de nos passions. Que sait encore l'homme libre? L'homme libre sait, précisément, qu'il n'est pas libre, que la liberté est illusoire. Fort de ce savoir, il est alors possible pour lui d'acquérir un minimum de liberté, à partir de laquelle il pourra construire son bonheur. b. Nous accédons à la béatitude par l'amour intellectuel de Dieu En conquérant sa liberté, l'homme accède à ce bonheur que Spinoza nomme « béatitude ». Le livre V de son Éthique, intitulé De la liberté de l'homme ou De la puissance de l'entendement, étudie précisément comment l'homme, en ayant recours à sa raison, peut accéder à la liberté, et donc au bonheur. C'est encore, selon Spinoza, par « la connaissance du troisième genre », qui est « amour intellectuel de Dieu », que nous accédons à la liberté, en même temps que nous accédons au bonheur. Nous prenons conscience de l'éternité de notre âme, laquelle subsiste lorsque le corps périt. Le bonheur n'est pas ainsi la conséquence de la vertu (ou de la morale), mais la vertu elle-même.
La première est probablement la plus connue, mais les autres le méritent autant: Bienheureux ceux qui savent rire d'eux-mêmes: ils n'ont pas fini de s'amuser. Bienheureux ceux qui savent distinguer une montagne d'une taupinière: il leur sera épargné bien des tracas. Bienheureux ceux qui sont capables de se reposer et de dormir sans chercher d'excuses: ils deviendront sages. Bienheureux ceux qui regardent où ils mettent le pied: ils éviteront bien des désagréments. Bienheureux ceux qui savent se taire et écouter: ils en apprendront des choses nouvelles! Bienheureux ceux qui sont assez intelligents pour ne pas se prendre au sérieux: ils seront appréciés de leur entourage. Bienheureux ceux qui sont attentifs à l'appel des autres sans toutefois se croire indispensables: ils seront semeurs de joie. Heureux êtes-vous si vous savez regarder sérieusement les petites choses et paisiblement les choses sérieuses: vous irez loin dans la vie. Heureux êtes-vous si vous savez admirer un sourire et oublier une grimace: votre route sera ensoleillée.