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La carte indique les limites du refuge, renfermant une partie de la rive et qui s'étend dans l'eau. Le ROM se situe au nord-ouest de la route 132 et de l'autoroute 20, presqu'à la hauteur de la route 285. L'échelle de la carte est en kilomètres. Les eaux permanentes, la zone intertidale, les routes ainsi que les autoroutes sont indiquées sur la carte. Un médaillon montre l'emplacement du refuge au Canada. Accès au refuge Les refuges d'oiseaux migrateurs, comme celui de L'Islet, sont établis à la grandeur du pays afin de protéger les oiseaux migrateurs durant les périodes critiques de leur cycle vital. Que ces refuges soient utilisés par les oiseaux pour s'alimenter, se reposer ou nicher, ils jouent un rôle important dans la survie de nombreuses espèces. Les conditions d'accès aux refuges varient d'un site à l'autre et sont établies par le propriétaire et le gestionnaire des terres. Veuillez-vous assurer de savoir comment préserver l'état du refuge et veuillez lire les restrictions (notamment en ce qui concerne les armes à feu et la chasse) qui s'y appliquent afin de protéger la faune qui y vit.
Les oiseaux migrateurs traversent les continents et les océans sans jamais s'égarer. Les scientifiques ont tenté de décrypter ces capacités. Résultat: comme les grands navigateurs, ils regardent le ciel. Ces repères astronomiques leur permettent de se positionner dans la bonne direction. Mais aussi de régler leur migration annuelle: quand la durée de la lumière du jour diminue, c'est le moment de partir. Ils sont également capables de connaître le moment de la journée, en analysant la position du soleil, jugeant ainsi du temps restant avant son coucher. Les individus nocturnes volent, eux, en regardant les étoiles. Les scientifiques l'ont prouvé en plaçant des oiseaux dans un planétarium et en déplaçant artificiellement les astres. Pour se guider, les oiseaux qui migrent de jour peuvent également s'aider de repères au sol: montagnes, rivières, littoraux… Ainsi que du magnétisme terrestre. Certains volatiles ont des capteurs magnétiques dans les yeux et de la magnétite (un minerai qui agit comme un aimant) dans le bec, ce qui les aide à orienter leur vol.
Nous devons intensifier nos actions à travers le monde pour mieux protéger les oiseauxmigrateurs et les habitats dont ils ont besoin pour survivre et prospérer. » Ce thème souligne également l'importance de conserver et de restaurer la connectivité écologique et l'intégrité des écosystèmes qui soutiennent les cycles naturels essentiels à la survie et au bien-être des oiseaux migrateurs. Puisqu'il est prouvé que la destruction des zones naturelles peut faciliter le développement de types de maladies infectieuses que le monde combat actuellement, des mesures urgentes pour mieux protéger et maintenir la faune sauvage et ses habitatssont à prendre. Parce que les oiseaux migrateurs dépendent d'un réseau de sites qui traversent les frontières nationales le long de leurs routes de migration pour se reproduire, se nourrir, se reposer et hiverner, une action internationale pour les protéger est essentielle. Des centaines de conférences virtuelles et une vague d'interactions sociales consacrées aux oiseaux migrateurs devraient avoir lieu dans de nombreux pays au cours de cette journée.
La petite histoire de l'ASGRQ Dès 1990 plusieurs chasseurs de sauvagine s'inquiétaient de la pratique de plus en plus grande de la technique du rampage pour chasser la sauvagine aux champs. Un petit groupe de sauvaginiers de la région de Québec s'est réuni à plusieurs reprises pour établir les bases d'une association afin de sensibiliser le Service canadien de la faune, organisme responsable de la gestion des oiseaux migrateurs, au problème du rampage et surtout pour faire valoir son opinion sur divers aspects de la gestion des oiseaux migrateurs. L'Association des sauvaginiers de la grande région de Québec (ASGRQ) prendra son envol en tant qu'organisme sans but lucratif en avril 1991 lors d'une réunion tenue à Val-Bélair sous l'initiative des personnes suivantes: Marc Bois, Gaétan Fillion, Luc Saucier, Serge Tremblay et Régis Trudel. De ce groupe de membres fondateurs, il importe de souligner l'appui indéfectible de Luc Saucier aux activités de levées de fonds et au programme Relève destiné aux adolescents.
Le goéland à bec cerclé, le goéland argenté ainsi que le goéland marin sont également observés en période estivale dans le secteur. Paysage La majeure partie de cette aire protégée de 59 hectares se trouve dans le fleuve Saint‑Laurent, sa partie terrestre englobant un quai et une partie de la route du quai. Le refuge est en grande partie composé de milieux humides d'eau saumâtre, de sédiments vaseux, d'affleurements rocheux et d'herbaçaies. Ces dernières couvrent environ 60% de la superficie du refuge et sont dominées par le scirpe d'Amérique. La marée influe beaucoup sur l'évolution des rives et la végétation du refuge. Grandes oies des neiges. Photo: Chantal Lepire Le saviez‑vous? La grande oie des neiges est herbivore. Dans l'estuairedu Saint‑Laurent, cette espèce se nourrit surtout des racines de l'abondant scirpe d'Amérique qu'elle déterre de la vase au moyen de son puissant bec. Carte du refuge Description longue Carte montrant l'emplacement du refuge d'oiseaux migrateurs (ROM) de l'Islet par rapport au Québec, à l'Islet, à la Petite-Gaspésie et au fleuve du Saint-Laurent.
Le refuge d'oiseaux migrateurs (ROM) de l'Islet est situé à environ 100 km au nord-est de la ville de Québec, dans la province du Québec. Il protège un habitat important pour plusieurs oiseaux migrateurs, dont la grande oie des neiges. Importance du refuge: oiseaux migrateurs et espèces sauvages Situé sur la rive sud de l'estuaire du Saint-Laurent, dans la municipalité de L'Islet, le refuge d'oiseaux migrateurs de L'Islet a été créé afin de protéger la grande oie des neiges et de nombreuses espèces de canards dans cette importante halte migratoire. Grandes oies des neiges Des inventaires réalisés dans le refuge lors des migrations d'automne ont déjà permis d'observer près de 2000 couples de grandes oies des neiges, plusieurs dizaines de canards barboteurs, des chevaliers grivelés, des pluviers kildir et plus de 1800 bécasseaux, dont plus de 300 bécasseaux semipalmés. Cette aire protégée abrite également d'autres oiseaux vivant en colonie, notamment le cormoran à aigrettes, l'eider à duvet et le petit pingouin.