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Tu murmures aux buissons la chanson du Zéphyr Jetant à la volée des fleurs sur les chemins. Tu fais valser les cœurs, joyeux lutins Au rythme des passions et des éclats de rire. Sur les calendriers avec tes saints de glace, Des affres de l'hiver, il reste encore la trace Entre soleil et pluie, nuages et éclaircies. Les oisillons s'emplument et le vent les emporte, Adieu mauvais temps et les intempéries L'été s'annonce enfin, il tape à la porte. Alphonse Blaise. 22 Mai 2010 superbe merci douce poètesse de tes mots d'azur et de tes coms a bientot bisous^^:=)) très beau je ne connaissais pas ce poète je vais m'empresser de lire merci pour ce beau partage ma tendre Maria Dolores baiser doux.... ° Plume °° merci pour se beau poème j'ai bien aimé bisous 23 Mai 2010 jolie c'est un magnifique poéme bravo kiss palo Chaque Mois de l'année est un poème à lui seul Mai remporte la palme.. le printemps et ses inspirations Magnifique sonnet... bises jojo bravo et bonne contuniation. 26 avril 2009 7 26 / 04 / avril / 2009 08:43 « Le joli mois de mai »… dit-on!
Pour écouter la minute du MCR en format audio Cliquez ici Bonjour, c'est Elisabeth, nous sommes jeudi 6 mai. De mon enfance, j'ai gardé le souvenir du mois de mai dédié à Marie, belle jeune femme auréolée de lumière que l'on priait avec ferveur en famille. Et puis mai, c'est aussi l'annonce des vacances et la joie de se retrouver ensemble au bord de la mer. Je vais vous lire, à présent, un poème d'Alphonse Blaise, poétesse contemporaine, découvert au hasard de mes lectures. Joli mois de mai Ô joli mois de mai, tu ouvres une à une De tes doigts délicats, les roses du jardin Et tu déposes en pluie la rosée du matin, Offerte par la nuit à un rayon de lune. Tu murmures aux buissons la chanson du Zéphyr Jetant à la volée des fleurs sur les chemins. Tu fais valser les cœurs, joyeux lutins Au rythme des passions et des éclats de rire. Sur les calendriers avec tes saints de glace, Des affres de l'hiver, il reste encore la trace Entre soleil et pluie, nuages et éclaircies. Les oisillons s'emplument et le vent les emporte, Adieu mauvais temps et les intempéries L'été s'annonce enfin, il tape à la porte.
Mais on a déjà eu pire en 1956... Il y avait au moins 50 cm de neige. " R ester à la maison, Jean en est incapable, quand dehors la nature se réveille et demande qu'on s'occupe d'elle. Il ne travaille pas, il bricole... Cette activité semble être vitale, comme si la terre était l'essence même de sa vivacité. Tout comme le printemps réveille la nature, il semble redonner à Jean la vigueur d'un jeune cabri. L'oeœil vif, rasé de près, l'homme livre quelques moments de vie, en toute humilité. J ean, en réalité Jean-Baptiste, est né le 11 juin 1915 à Codolet. "Je ne sais plus dans quelle maison... " Ses parents tenaient une exploitation agricole dans le village. Il fit ses études à l'école communale qu'il quitta à 12 ans avec le certificat d'études primaires pour travailler à la ferme familiale afin de soulager son père handicapé. En son heure, il part faire son service militaire pour deux ans à Nice. "C'était la première fois que j'allais si loin. Avignon... C'était déjà loin et la grande ville pour moi... " Puis, suit une année de guerre qui conduit Jean de la frontière italienne à celle de la Belgique «... Et à pied avec nos mulets pour le matériel, pardi! "
Aux branches claires des tilleuls Meurt un maladif hallali. Mais des chansons spirituelles Voltigent parmi les groseilles. Que notre sang rie en nos veines, Voici s'enchevêtrer les vignes. Le ciel est joli comme un ange. L'azur et l'onde communient. Je sors. Si un rayon me blesse Je succomberai sur la mousse. Qu'on patiente et qu'on s'ennuie C'est trop simple. Fi de mes peines. je veux que l'été dramatique Me lie à son char de fortunes Que par toi beaucoup, ô Nature, – Ah moins seul et moins nul! – je meure. Au lieu que les Bergers, c'est drôle, Meurent à peu près par le monde. Je veux bien que les saisons m'usent. A toi, Nature, je me rends; Et ma faim et toute ma soif. Et, s'il te plaît, nourris, abreuve. Rien de rien ne m'illusionne; C'est rire aux parents, qu'au soleil, Mais moi je ne veux rire à rien; Et libre soit cette infortune. Arthur Rimbaud, Derniers vers
Le mai le joli mai en barque sur le Rhin Des dames regardaient du haut de la montagne Vous êtes si jolies mais la barque s'éloigne Qui donc a fait pleurer les saules riverains?