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Quelle est la prochaine étape? Débaptiser la place Saint-Jean? » Vidéos: en ce moment sur Actu Faux, répond Laurent Tribouillard: « On nous accuse de vouloir décrocher des croix, rebaptiser des rues ou que sais-je… Notre demande est pourtant simple, le respect de la laïcité. Ils ont juste à s'arrêter, surtout au prix que ça leur coûte. » Interrogée sur le montant des frais d'avocat et de justice depuis le début de cette affaire, la mairie de Melun n'a pas encore communiqué le détail de ses factures. Cet article vous a été utile? Sachez que vous pouvez suivre La République de Seine et Marne dans l'espace Mon Actu. Fédération des libres penseurs de seine et marne http. En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l'actualité de vos villes et marques favorites.
Cet article date de plus de sept ans. Le tribunal administratif de Melun (Seine-et-Marne) a autorisé lundi la mairie à conserver la crèche de Noël installée dans les jardins de l'hôtel de ville. Le tribunal a rejeté la demande formulée par la Fédération des libres penseurs de Seine-et-Marne au nom de la laïcité. Il est allé à l'encontre des conclusions du rapporteur public. Article rédigé par Publié le 22/12/2014 10:24 Mis à jour le 22/12/2014 11:04 Temps de lecture: 1 min. Le rapporteur public s'était prononcé vendredi en faveur du retrait de la crèche des jardins de la mairie de Melun (Seine-et-Marne). Il avait estimé que cette installation était un emblème religieux et non une simple tradition. Le tribunal administratif en a décidé autrement lundi. Il a autorisé la mairie à conserver sa crèche. La crèche de la mairie de Melun pourrait disparaître avant Noël - Le Point. La justice avait été saisie par la Fédération des libres penseurs de Seine-et-Marne au nom de la laïcité. Le maire UMP de Melaun a expliqué avoir fait cette crèche pas "par provocation". "C'est un élément culturel, qui a toute sa place dans les décorations de Noël", a-t-il ajouté.
». On voir ressurgir implicitement les deux dérogations posées à l'article 28 de la loi sur lesquelles le Conseil d'État a pris soin d'insister. En effet, la connotation culturelle et artistique des crèches permettrait de rattacher leur installation temporaire à une « exposition » au sens de la loi de 1905 tandis que l'existence d'usages locaux peut s'analyser, s'agissant d'une installation temporaire, comme justifiant de l'antériorité de l'apposition d'un tel signe par rapport à l'entrée en vigueur de la loi. Last but not least, parmi le faisceau d'indices avancée par le Conseil d'État, le lieu de l'installation joue un rôle clé. Le raisonnement est en effet mené à front renversé selon qu'il s'agit d'un bâtiment public, siège d'une collectivité publique ou d'un service public, ou d'un autre emplacement public. SEINE-ET-MARNE : HARO SUR LA CRÈCHE DE MELUN - Le Mediaa. Dans la première hypothèse, le Conseil d'État opte pour une interdiction assortie d'exceptions tandis que pour la seconde le principe est la liberté d'installation sous réserve d'une exception: « 6.