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Ils ont été vendeurs dans l'ignoble traite atlantique et transsaharienne » (Déclaration des évêques africains réunis à Gorée au mois d'octobre 2003). Or, par haine de tout ce qui est « Blanc », ceux qui se sont baptisés « décoloniaux », nient ces réalités historiques au profit d'une fausse histoire qu'ils introduisent au forceps selon des méthodes terroristes et qui est lâchement acceptée par des « élites » européennes entrées en dhimitude doctrinale. Le 19 juin 2020, le Parlement européen a ainsi voté une résolution surréaliste condamnant « l'utilisation des slogans qui visent à saper ou à affaiblir le mouvement Black Lives Matter et à en diluer la portée ». Afrique réelle bernard lugan saint. Le groupe LFI a même déposé un amendement visant à ne reconnaître comme « crime contre l'humanité » que la Traite européenne, et non « la traite des esclaves » en général, comme cela était prévu dans le texte initial. Cette entreprise de subversion connaît des développements apparemment insolites. Ainsi, au mois de mai dernier, en Martinique, deux statues de Victor Schoelcher, l'homme du Décret du 27 avril 1848 abolissant définitivement l'esclavage, ont été renversées à Fort de France et à … Schoelcher.
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Ce n'est pas de « développement » dont l'Afrique a besoin, mais du contrôle des naissances 10 millions d'emplois alors qu'il faudrait en créer 450 millions Quelques semaines avant les dernières élections, les députés européens ont voté de nouveaux généreux budgets à destination de l'Afrique. Afrique réelle bernard lugan photos. En plus d'une rente permanente se chiffrant à des dizaines de milliards d'euros, l'UE va ainsi offrir 32, 5 milliards (mds) d'euros d'ici 2020, puis 40 mds entre 2021 et 2027, soit au total 72, 5 mds d'euros afin de créer 10 millions d'emplois. Outre que cela fait tout de même « cher » par emploi supposé être créé, nous sommes en réalité en présence d'une entreprise de dilapidation des fonds européens car l'inutilité d'un tel cadeau est en effet actée. Dans son rapport de 2017 publié en 2018, la BAD (Banque africaine de développement) nous apprend ainsi que, compte tenu de sa folle démographie, l'Afrique est condamnée à créer 450 millions d'emplois d'ici 2040. Le rapport don-résultat est donc à la fois ridicule compte tenu de l'océan des besoins africains, et élevé à l'échelle des nécessités européennes.
"Le corrompu", chef d'Etat ou non, n'est que l'effet d'une cause qui a pour nom « le corrupteur »; à ne jamais s'en prendre aux corrupteurs, à ne mettre l'accent sur les corrompus seulement, c'est encore et c'est toujours le refus d'identifier les causes, le refus d'établir des responsabilités, le refus d'un jugement avisé et honnête; un jugement factuel d'une dimension historique car fondé sur des faits et l'histoire. A ce sujet, force est de constater que Bernard Lugan, historien "africaniste", ne semble toujours pas être rentré dans cette histoire africaine dont il se réclame tant; pour un historien, tous s'accorderont à dire que c'est plutôt navrant même si cet universitaire comme privé de recul historique, a la fâcheuse habitude de nous conter l'histoire des vainqueurs du côté desquels il n'a de cesse de se ranger: les pays les plus développés, anciennes puissances coloniales. Pour cette raison qui en vaut bien d'autres, on peut dire que Bernard Lugan n'est pas un homme de recherche mais bien plutôt un homme d'opinions.
Ibn Khaldun évoquait à ce sujet les « belles esclaves berbères, de toison couleur de miel ». Et que dire des millions d'enlèvements d'Européens opérés jusque dans les années 1800 en mer et le long des rivages méditerranéens, à telle enseigne que l'on disait alors qu' « il pleut des esclaves chrétiens sur Alger »? Cette loi fait également l'impasse sur le rôle des Africains eux-mêmes. Or, comme les Européens attendaient sur le littoral que leur soient livrés les captifs par leurs partenaires africains, il dépendait donc in fine de ces derniers d'accepter ou de refuser de leur vendre leurs « frères » noirs. B. Lugan : Puisque le « Système » algérien veut faire les comptes, nous allons donc lui présenter l’addition … – Michelle d'Astier de la Vigerie. La réalité historique est qu'une partie de l'Afrique s'est enrichie en vendant l'autre partie. Les captifs n'apparaissant pas par enchantement sur les sites de traite, ils étaient en effet capturés, transportés, parqués et vendus par des négriers noirs. Ce qui a fait dire aux évêques africains: « Commençons donc par avouer notre part de responsabilité dans la vente et l'achat de l'homme noir… Nos pères ont pris part à l'histoire d'ignominie qu'a été celle de la traite et de l'esclavage noir.