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M. El Malki a tenu à cette occasion à rendre hommage aux relations distinguées entre le Royaume du Maroc et la République du Burkina Faso, ainsi qu'à la qualité des liens humains et culturels entre les deux pays, qui partagent, outre les intérêts, les valeurs de la défense de l'Afrique, de la paix, de la tolérance, de la modération et de la démocratie, tout en exprimant sa solidarité avec ce pays qui fait face aux discours de la haine et au terrorisme. De son côté, M. Ardiouma a fait part, dans une déclaration à la MAP, de sa joie pour cet hommage, saluant le parcours distingué de ce festival qui a beaucoup apporté au 7ème art africain et qui a grandement contribué à sa promotion et à son rayonnement. A cette occasion, le wali de la région Béni Mellal-Khénifra, Khatib El Hebil a remis à M. El Malki l'écusson en hommage à feu Noureddine Sail alors que M. Ardiouma a reçu l'écusson de cette édition des mains du gouverneur de la province de Khouribga, Abdelhamid Chennouri. Lors de la dernière journée de cette édition qui se tient sous le signe "le cinéma, rêve de tout un continent", un hommage sera également rendu à l'acteur marocain Mohamed Choubi.
Dans une ambiance bon enfant auréolée par des chants musicaux africains exécutés par une troupe de l'Afrique de l'Ouest, cette messe cinématographique réunira, six jours durant, les grandes figures du monde du cinéma. Pour les organisateurs, le Festival se veut le cadre idoine d'échanges culturels entre les acteurs du domaine artistique et culturel. "Nous devons veiller à la durabilité de ce Festival comme espace d'échanges permettant de faire entendre la voix de l'Afrique à travers l'innovation et l'art cinématographique", a souligné Habib El Malki, président de la Fondation du FCAK lors de la cérémonie d'ouverture. Devant un parterre du monde artistique et cinématographique, El Malki a insisté sur la nécessité d'investir dans la culture comme levier de développement du continent africain. Pour le président du Festival, l'Afrique regorge de potentiels lui permettant de se positionner comme "le continent des industries cinématographiques". "L'Afrique peut relever ce défi en misant sur la qualité de la production", a-t-il dit.
Par Hicham Alaoui — La 22ème édition du festival du cinéma africain de Khouribga (FCAK) s'est ouverte, ce samedi 28 mai 2022, après deux ans de report dû à la pandémie une ambiance bon enfant auréolée par des chants musicaux africains exécutés par une troupe de l'Afrique de l'Ouest, cette messe cinématographique réunira, six jours durant, les grandes figures du monde du cinéma. Pour les organisateurs, le Festival se veut le cadre idoine d'échanges culturels entre les acteurs du domaine artistique et culturel. "Nous devons veiller à la durabilité de ce Festival comme espace d'échanges permettant de faire entendre la voix de l'Afrique à travers l'innovation et l'art cinématographique", a souligné Habib El Malki, président de la Fondation du FCAK lors de la cérémonie d'ouverture. Devant un parterre du monde artistique et cinématographique, El Malki a insisté sur la nécessité d'investir dans la culture comme levier de développement du continent africain. Pour le président du Festival, l'Afrique regorge de potentiels lui permettant de se positionner comme "le continent des industries cinématographiques".
Nasser Bourita, ministre des Affaires Étrangères, de la Coopération Africaine et des Marocains Résidant à l'Etranger | DR Les travaux du Sommet extraordinaire de l'Union africaine (UA) sur le terrorisme et les changements anticonstitutionnels se poursuivaient samedi à Malabo, en Guinée équatoriale, avec la participation du Maroc. Au début des travaux, les participants ont observé une minute de silence à la mémoire des victimes du terrorisme en Afrique, annoncée par le président angolais, João Lourenço. L'ouverture a été marquée par quatre discours dont celui du président de la Commission de l'Union africaine, Moussa Faki Mahamat qui a fait un diagnostic du phénomène du terrorisme et affirmé qu'on ne plus accepter les changements anticonstitutionnels sur le continent africain. "Le terrorisme et les changements anticonstitutionnels constituent deux défis majeurs qui freinent l'ambition de bâtir une Afrique nouvelle", a martelé le diplomate tchadien lors de ce sommet en qualifiant les modifications de constitutions de "coups d'État rampants", car, dit-il, ils bloquent toute possibilité d'alternance et peuvent donc déboucher sur des coups d'État militaires ou bien des révoltes ayant, dans certains cas, un soutien manifestement populaire.
Elle a nommé ce projet « De la montagne à la mer »(« Mountain to the Sea »). Il s'agit d'une sorte de playlist pour une religion libre, dont le fil directeur est l'ouverture d'esprit. La bande sonore intégrée à l'autel diffuse en boucle, pendant 45 minutes, les sons proposés par le groupe de guides spirituels de Galhotra. « Il doit y avoir un point où tout le monde peut se retrouver ensemble, au nom d'une cause commune », a-t-elle expliqué. La cause commune dans ce projet, cependant, n'est pas vraiment la religion. Alors que les voix enregistrées sont celles de personnes qui prêchent et enseignent des sujets religieux, elles ont parlé à Galhotra du changement climatique et de l'environnement, un thème commun à son travail d'artiste visuelle. L'utilisation du son pour son travail était une première pour Galhotra, qui ne parle pas les différents langues des participants mais a trouvé que leurs sons et leurs mélodies faisaient honneur à leurs messages. « Je pense que nous devons poser différents types de questions », a-t-elle déclaré.
« L'objectif n'est pas de réaliser la meilleure œuvre d'art, mais de se connecter à l'écosystème culturel de Jérusalem », a déclaré Elise Bernhardt, fondatrice et directrice des Jerusalem International Fellows.