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Je me mis a faire d'interminables va et vient en elle, admirant ma queue se mouvoir entre les lèvres bien gonflées de son sexe, plongeant au fond de ce gouffre humide dédié au plaisir, ressortant, replongeant avec le même plaisir. — Viens, mon chéri, prends moi par derrière! J'étais ravi de cette proposition. Léo me l'avait dit: c'est ce qu'elle préfère: en levrette. C'est une vraie chienne, ta mère, je te dis! Alors je me positionnais derrière son magnifique fessier, et à nouveau je la pénétrais. — Ho oui mon chéri, c'est bon!!! La prendre dans cette position était mon fantasme depuis toujours. C'était divin, j'étais aux anges. Sa chatte dégoulinait de son abondante cyprine. Elle gémissait de plus en plus. — Ha mon chéri! elle est bonne ta queue! Oui! Plus fort! Ha! Continue, je vais jouiiiiiir! J'accélérais mes mouvements, frénétiquement — Ha oui, ça y est... haaaaaa!!!! Entendre ça était quelque chose de merveilleux. Je faisais jouir ma mère. Quel privilège pour un fils, faire jouir sa propre mère!
D'autant plus que mon cousin Léo n'arrêtait pas de se vanter d'avoir souvent eu, lui, les faveurs de ma chère mère... — Elle n'est pas seulement belle, ta mère: c'est une bête de sexe, aussi! rigolait adore ça! Une véritable salope! Elle t'a jamais laissé la baiser? Même pas la caresser? Même pas une fois? Ça alors! Je sais pas comment tu te débrouilles. Dans la famille, tout le monde y est passé! Et voilà Léo qui continue à me donner les détails des excentricités sexuelles auxquelles se livrait ma mère. J'étais stupéfait. Le plus chaud avait été lors d'un repas de famille quelques années avant. Moi j'étais trop petit, on m'avait envoyé dormir. En fin de repas, comme ma mère n'avait pas eu le temps de préparer un dessert, en guise de petite gourmandise elle s'était mise à poil et elle s'était carrément offerte aux hommes présents. Il y avait mon père, mes deux cousins, Léo et Sam, Christophe, le frère de maman, et même Papi André, le propre père de maman. Devant une si belle friandise, aucun n'a résisté.
Je m'approchais lentement et lui dit "alors ça fait du bien! " elle émit un cri de surprise tout en se retournant et me répondit "ah c'est toi mon grand, tu m'as foutu une de ces trouille". "Ah bon et pourquoi, t'avais peur que ce soit un fou" répondis-je en rigolant. Je m'approchais d'elle en faisant une tête stoïque et lui dit "il serait venu vers toi comme ça et t'aurais attrapée de cette façon" tout en la saisissant. Elle me dit alors "arrête tu fais mal et en plus t'es pas drôle, y a des gens à qui ça arrive! " Pour me faire pardonner je lui fis un câlin, nous étions alors presque sur la plage de la crique, seul! Tout en la serrant, mon sexe redevint tendu et cette fois-ci pas de doute, elle le ressentait contre son ventre. "C'est moi qui te fait cette effet mon grand! " avec un grand sourire aux lèvres. "" balbutiais-je "désolé, mais tu me fais de l'effet" petite pause " j'aimerais te demander quelque chose, mais avant tu dois me promettre de pas t'énerver, ni me frapper. Et si tu acceptes, je ferais tout ce que tu voudras. "
Et il sait de quoi il parle! C'est sa soeur, quand même! Il la baise depuis des années! M'occuper de ses té réalisais que j'avais en effet négligé cette approche... A ma décharge, je n'avais pas beaucoup d'expé il n'était jamais trop tard pour se rattraper. Alors un jour j'ai essayé. Nous étions en famille, sur le canapé du salon à regarder la télé, avec mon père et maman. J'ai profité du fait d'être assis à coté d'elle pour mettre la main sur ses seins, à l'intérieur de sa robe. Elle ne portait pas soutien gorge. Ma mère me laissait parfois mettre la main sur ses seins, ca ne lui posait pas de problème. Alors, suivant les conseils de Léo, j'ai commencé à titiller ses tétons plus directement. Au bout d'un moment, je l'ai sentie tressaillir de plaisir. — Hé c'est bon, mon chéri, ce que tu me fais là! Encouragé par ce premier succès, je continuais. Je sentais ma mère s'exciter doucement. Alors je descendais la main vers sa culotte. Pour la première fois, elle me laissa y mettre la main. Avec délice, je me mis à promener mes doigts dans sa chatte, entre ses lèvres, mettant même un doigt dans son vagin.
"Oui, si ça te dérange pas. " "Grand bêta, si je te le propose c'est que ça ne me gêne pas! " Elle se mit à genoux et commença à baisser mon maillot. "Eh bien mon grand, je vois que maman fait de l'effet, aller je vais te donner un coup de mains" Elle empoigna mon sexe, qui soit dit en passant est de taille normal, et débuta un lent vas et viens. Je regardais ma mère agir de manière attentive à ses gestes, ses seins rebondissaient et tremblaient à chaque mouvement. Elle frotta alors mon gland contre sa poitrine, allant des tétons jusqu'aux flancs. La peau était aussi douce que le geste, puis elle arrêta se mouvement entre ses deux attributs et enserra mon pénis contre ses seins. Elle me regarda dans les yeux, je compris tout de suite ce qu'elle voulait dire. Je commençais à bouger du bassin de manière saccadée jusqu'à ce que les premières gouttes de sperme coulent. A ce moment là je me retins d'envoyer ma semence et ma mère, comme si nos pensées ne faisaient qu'une, me présenta ses atouts charnels.
Je pense qu'elle a dû réfléchir à ce qui venait de se passer. Cet ensemble mettait ces courbes en valeur. Le 2ème était beaucoup plus sexy. Mon jeans était trop serré, j'avais mal à mon sexe. Je lui ai dis qu'elle était magnifique. Elle me répondit, ce n'est pas vrai que je disais ça car c'était ma mère. J'ai sauté sur l'occasion, je suis rentré dans la cabine avant de refermée le rideau. Elle a reculé jusqu'au fond de la cabine. Une fois contre les parois je lui dis tu penses que je ferais ça si tu n'étais pas jolie et je l'ai embrassé dans le cou de chaque côté. Et tu penses que je ferais ça, avant d'embrasser la naissance de son sein droit. Elle ne dit mot, elle était toute rouge. Et enfin je pris possession de ses lèvres mais au lieu d'un baiser chaste, je me suis aventuré dans sa bouche à la recherche de sa langue. Notre baiser a duré plusieurs minutes quand nos lèvres se sont séparés je lui redis au creux de son oreille, tu es magnifique et je suis ressorti. Quand elle réapparu avec le 3ème et dernier ensemble, elle n'osa pas me regarder dans les yeux, elle regardait ces pieds, je lui dis que tous les ensembles étaient jolies sur elle mais que pour ma part je préférais le 2ème.