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). De fait, si vous n'êtes pas encore stable personnellement ou professionnellement, ou que vous n'avez pas l'intention de rester de longues années dans la région, vous n'avez pas forcément intérêt à acheter votre résidence principale. À l'inverse, en continuant à louer, vous gardez votre liberté et pouvez quitter votre logement sur un coup de tête, simplement en respectant le préavis indiqué (un mois dans la plupart des cas). Se poser les bonnes questions La réponse à cette question suppose de prendre en compte l'aspect financier d'une acquisition. En effet, acheter sa résidence principale coûte cher. Les mensualités d'un crédit immobilier sont plus élevées que le montant mensuel du loyer. Mettons que vous souhaitiez acquérir un studio de 20 m² dans Paris. Prix: 200000€. Montant du loyer: 600€. En achetant sur 20 ans avec un très bon taux, vous devrez verser des mensualités de 1000€ – soit 400€ de plus que le loyer. Il faut ensuite y ajouter les taxes et frais divers dont vous êtes redevable en tant que propriétaire: frais d'emprunt, frais de notaire, taxe foncière, charges de copropriété, travaux de rénovation… Bref, quand vous décidez d'acheter votre résidence principale, vous consentez à vous endetter sur de longues années et à supporter de grosses dépenses.
Il s'agit des travaux de rénovation énergétique tels que les travaux d'isolation thermique ou l'installation d'équipements de production d'énergie. Les dépenses liées à l'achat d'équipements de raccordement à un réseau de chaleur ou à une borne de recharge de véhicules électriques sont également déductibles. Cependant, la main-d'œuvre n'est pas prise en compte. Impôt sur la fortune immobilière: un abattement pour sa résidence principale Le lieu de résidence principal fait partie du patrimoine et est soumise à l'impôt sur la fortune immobilière, ou IFI. Un abattement de 30% est systématiquement appliqué sur le coût réel du bien. Ce qui permet de diminuer la facture d'impôt. Abattement sur la résidence principale lors d'une succession En cas de succession, la résidence principale peut bénéficier d'un abattement de 20% sous deux conditions. Il faut d'abord que l' immobilier soit le lieu d'habitation du défunt au moment de son décès. À cette date également, la résidence devait être occupée comme résidence principale, par au moins l'une des personnes suivantes: le conjoint survivant; le partenaire lié au défunt par un pacte civil de solidarité (PACS); les enfants mineurs ou majeurs protégés du défunt.
En effet l'article 15 du CGI dispose que les revenus des logements dont le propriétaire se réserve la jouissance ne sont pas soumis à l'impôt sur le revenu. L'associé soumis à l'IS entraine l'application des règles de l'impôt sur les sociétés dans la SCI. En cas de cumul d'associés, la SCI doit donc déterminer un double résultat fiscal. Ce calcul constitue un frein important à l'acquisition par la SCI de la résidence principale. Les règles d'impôt sur les sociétés exigent le paiement d'un loyer La double détermination du résultat handicape le contribuable. Le résultat IS implique en effet d'appliquer les règles commerciales. Or ces règles imposent, sauf à commettre un acte anormal de gestion, de verser un loyer à la société. Ce loyer doit correspondre au prix du marché. La question se pose de savoir si le loyer peut se réduire à la participation de la holding dans la SCI (1%). Cependant, l'application des bénéfices industriels et commerciaux ne se morcèle pas. Elle implique un paiement du loyer sur la superficie totale du bien.