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L' onagre est une machine de guerre destinée au siège des fortifications. Elle a été utilisée par les Romains de l'Antiquité et par les armées du Moyen Âge. Elle permet la projection de pierres ou de pots à feu. Les différentes onagres [ modifier | modifier le wikicode] L'onagre des Romains utilisait le principe de la fronde. Le projectile était placé dans une poche de cuir dont une des lanières se détachait pendant la trajectoire du bras de lancement. Machine de guerre moyen age. Le projectile était alors libéré et projeté. Au Moyen Âge, l'onagre était un peu différente. Le projectile était placé dans une grande cuillère située à l'extrémité d'un bras. Ce bras venait frapper une poutre matelassée. Le mouvement en arc de cercle de la cuillère plus le choc lançait le projectile. Une onagre romaine Une onagre du Moyen Âge Fonctionnement de l'onagre médiévale [ modifier | modifier le wikicode] L'onagre du Moyen Âge consistait en un cadre de grosses poutres de bois reposant sur le sol (ou monté sur roues). Les deux côtés les plus longs sont percés au centre.
"Bon, vous nous donnez vos mathématiques, vos machines de guerre, vos lieux saints, vos richesses matérielles et la philosophie grecque. Et nous en échange ont vous donnes la bonne parole, le salut éternel et le typhus! Marché conclu? " Ce qui explique aussi ce développement des machines de guerre au milieu du Moyen Age, c'est le passage de fortifications et des châteaux en bois, à des fortifications et des châteaux en pierre. D'où la nécessité de perfectionner les machines de jets et de sièges. Tout savoir sur rien et rien savoir surtout !: Machines de guerre Médiévales. On distingue plusieurs types de machines: _les machines à balancier ou contre poids (comme le trébuchet) _les machines à traction humaine (comme la bricole) _les machines de siège (comme le bélier) _les machines à ressort (comme l'arbalète à tours) Les machines les plus anciennes sont les machines à traction humaine, comme la bricole ou le mangonneau. La bricole lançait de petits projectiles en haut des remparts fortifiés, vers les assaillants qui venaient en contre bas. Elle avais une portée assez faible (quelques dizaines de mètres), et il fallait entre 5 et 6 hommes (ou femmes, généralement) pour la faire fonctionner.
Antiquité: Avec les fortifications on dut inventer des machines de guerre pour l'attaque. En occident ce sont les invasions perses (guerres médiques, V° siècle av. J. C. ) qui introduisirent ces machines. Machine de guerre du moyen age 9 lettres. Les machines d'escalade étaient des tours en bois permettant de hisser l'assaillant au niveau du défenseur. Elles furent améliorées en les mettant sur roues, et en leur joignant pont levis, échelles, etc. Les machines de chocs étaient les béliers, où une énorme poutre avec tête en métal permettait d'enfoncer les murs. Les hommes qui manoeuvraient le bélier étaient protégés par une charpente montée sur roue. Les machines de jet étaient la catapulte, lançant des pierres, et les balistes, lançant des traits. Leur portée utile était de 400 à 600m. On utilisa dabord l'arc, dont le principe est la flexion. Celui-ci atteignant ses limites, on eût recours au principe de la torsion, dans lequel des fibres élastiques fortement tendues étaient portées à une tension encore plus grande quand on armait le dispositif.
Les anciens traités de l'antiquité traitant des machines de guerre (Héron, Philon, Biton, Vitruve, Ctésibios, Archimède) furent redécouvert au début du XX° siècle et on s'éperçut alors que la technique avait atteint un haut degré de raffinement. Baliste à arc conçue du temps de Denys de Syracuse (399 av. Machine de guerre moyen âge. ): un coulisseau entraînant la corde par une griffe à détente est maintenu en arrière par un dispositif à rochet. Une manivelle permet de tendre la corde. Baliste à ressort de torsion: le boulet était placé dans une poche tissée au milieu de la corde qu'un coulisseau permettait de tendre via une manivelle à rochet. Baliste mobile romaine: montée sur roues, l'ossature en fer allégeait la structure Comme machine défensives, on ne voit guère à cette époque que le corbeau à double poutre, qui consistait en une énorme pièce de bois suspendue par deux potences et qu'on laissait tomber sur le bélier pour le casser, et plus tard le corbeau à tenailles qui permettait de neutraliser le bélier: Corbeau double à poutre: Corbeau à tenailles: Moyen-âge: Á la baliste et à la catapulte se substituent des engins basés sur le principe de la fronde et utilisant des contrepoids.
Le tir du mangonneau pouvait se régler beaucoup mieux que celui du trébuchet, parce qu'il décrivait un plus grand arc de cercle et qu'il était possible d'accélérer son mouvement (inertie moins importante). Voici, pour mieux comprendre le fonctionnement, comment la fronde devait être attachée pour qu'une de ses branches pût quitter en temps opportun l'engin, afin de laisser au projectile la liberté de s'échapper de la poche: L' Les armées du moyen-âge possédaient un engin terrible avec lequel on lançait des dards d'une grande longueur, des barres de fer rougies au feu, des traits garnis d'étoupe et de feu grégeois en forme de fusées: l'arbalète à tour. L'avantage, par rapport aux engins déjà vus, est la visée réglable sans bouger l'engin dans sa totalité. Le tir pouvait se régler de haut en bas. Les machines de guerre du Moyen Age. Le réglage latéral se faisait simplement en déplaçant l'engin très facilement grâce à ses roues. Certains de ces engins pouvaient lancer des dards de plus de 5m de long à une distance d'au moins 50m, de façons à rompre des machines, palis,...