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Altruisme: dans le tempérament du gentil Si le côté face d'une pièce de monnaie est la ruse teintée d'égoïsme, le côté face est justement l'altruisme. C'est la nuance essentielle qui définit le gentil, au-delà de tout autre chose. La personne altruiste se consacre aux autres, s'intéresse à eux et est, avant tout, engagée et dévouée. Ainsi, celui qui est gentil et qui le prouve dans ses actes ne cherche jamais à blesser personne et renonce toujours à son propre avantage si celui-ci peut nuire aux autres. L'altruiste recherche en permanence l'intérêt des autres, sans réfléchir à ce qu'il pourrait obtenir en retour: en faisant le bien sans distinction d'aucune sorte. Faire le bien par intérêt est l'affaire des malins, pas des gentils - Nos Pensées. L 'amour propre est bien sûr indispensable, mais une personne altruiste sait ne pas dépasser ses limites. En effet, il ne s'agit pas de montrer un manque d'intérêt envers soi-même, mais de comprendre que la gentillesse définit un acte libre et volontaire visant à aider les autres. Qualités de gentillesse, pas de ruse Nous pouvons définir l'aide intéressée comme l'habileté trompeuse pour parvenir à n'importe quelle fin.
Et en cela j'ai abîmé, détruit même parfois le bien que Dieu créait par mon action. Mais pourquoi, alors que nous aimons Dieu, alors que nous connaissons l'expérience douloureuse du mal, commettons-nous encore des actes mauvais? C'est là le problème des origines, le problème de la grandeur et de la bassesse de l'homme, à qui Dieu a confié la liberté. Il fait le bien par le mal film. Car quand je pose un acte mauvais, il me semble que je deviens en quelque sorte l'égal de Dieu, cause première, seul maître de mes actions. Je me fais Dieu, en quelque sorte: « et alors vous serez comme des dieux… » avait soufflé le serpent à Adam et Ève, pour qu'ils commettent le premier péché. Voilà ce qui attire l'homme, l'illusion de la puissance et d'une fausse liberté. Mais ce qui est produit, le mal, n'est que du néant, du rien. L'illusion à ce moment-là est totale. C'est le drame que saint Paul nous décrit dans son épître aux Romains: « Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair: j'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien.
La liberté et le mal De la complexité du libre-arbitre Pour ce qui est du libre arbitre, je confesse qu'en ne pensant qu'à nous-mêmes, nous ne pouvons ne le pas estimer indépendant; mais lorsque nous pensons à la puissance infinie de Dieu, nous ne pouvons ne pas croire que toutes choses dépendent de lui, et, par conséquent, que notre libre arbitre n'en est pas exempt […] Ainsi celle de notre libre arbitre ne nous doit point faire douter de l'existence de Dieu. Car l'indépendance que nous expérimentons et nous sentons, et qui suffit pour rendre nos actions louables ou blâmables, n'est pas incompatible avec une dépendance qui est d'autre nature, selon laquelle toutes choses sont sujettes à Dieu. Descartes. Pour faire le bien, il faut se donner du mal – Libération. Lettre à Élisabeth 1645. Un homme peut-il vouloir le mal pour le mal? A cette question, me semble-t-il, nous pouvons répondre par la négative. Où il y a liberté, il n'y a pas de place pour le mal. Aucun individu n'engendrerait du mal pour le mal si sa conscience est souveraine. si la conscience de l'homme gouvernait entièrement ses pulsions, il n'y aurait plus de transgression.