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Les messages laissés par nos visiteurs: La mairie d'Agde nous à offert un repas spectacle formidable. Nous ne connaissions pas la troupe du Diamant Noir, elle nous a enchantés. Une très belle prestation digne des cabarets parisiens, des danseuses et danseurs au top, chanteuses et chanteur de haut vol. Vraiment nous avons été bluffés par le spectacle raffiné avec des costumes et des ballets supers. bravo et merci à cette équipe qui nous laissera un très bon souvenir de cet journée. super show pour la soirée pierrier hier a la grande mote. Bravo a tous Un grand merci à la revue Diamant Noir qui nous a propose à l'occasion du repas de la ville 2017 pendant 5 jours, un spectacle de qualité, alliant danse, chant, le tout présenté par le biais de tres beaux tableaux. Merci à Joëlle, Magali et Nicolas pour leurs interprétations toutes en finesse et justesse des chansons choisies avec goût. Merci enfin à Christiane et Marc pour leur gentillesse et leur professionnalisme. Ce fût une belle rencontre.
Il accepte tout ce qu'on lui dit, fait ce qu'on lui ordonne de faire, mais il le fait tellement mal que les substituts paternels le libèrent, lui donnent un pardon, plus par compassion devant son incompétence que par indulgence devant la jeunesse ou toute autre forme d'empathie. Seconde raison: la faiblesse du modèle tragique. Si Diamant noir se réfère fondamentalement au classicisme américain, c'est parce qu'il partage avec lui une adoration devant la théâtralité tragique, et davantage: la conviction inébranlable que le film noir avec ses codes est le moyen le plus sûr d'aborder la violence sourde au sein de la famille, ses puissances de déchirement, ses attractions sanglantes. Le film noir ressuscite le mécanisme tragique au sein d'une structure cinématographique. Au-delà des souvenirs cinéphiliques, Diamant noir reprend la trame d' Hamlet: la dette, la nécessité d'une action sanglante, les avatars du meurtre originaire et cette tendance incroyable à repousser le moment de l'action, à devenir spectateur dès que l'action cherche à imposer ses droits.
Avec son livret, l'opéra de Richard Strauss (1864-1949) est créé en 1909 à Dresde. L'œuvre dans la mise en scène de Robert Carsen, reprise à Bastille, entre au répertoire de l'Opéra de Paris en 2013. Le rôle d'Électre y est écrasant. Sa mère Clytemnestre est seule en scène pendant un long moment, blonde dans une robe blanche sur un lit blanc, dans un contraste total avec la sombre tonalité donnée à l'ensemble de l'œuvre, mais c'est elle qui tient l'action de bout en bout. Le défi est de taille, à la mesure de la musique tumultueuse de Strauss. La soprano Christine Goerke fait mieux que le relever. Elle transcende le rôle avec une voix exceptionnelle qui semble à la fois, si on nous permet cette comparaison, monter comme dans les voûtes d'une cathédrale, jusqu'à la flèche aussi bien que descendre dans les profondeurs de la crypte. Elle donne au personnage une intensité dramatique qui ne se dément à aucun moment. Angela Denoke, également soprano, offre une Clytemnestre sensible et fragile, tandis que Camilla Nylund, amenée lors de la première à remplacer au pied levé Elza Van den Heever pour le rôle de Chrysothémis (sœur d'Electre et Oreste), fait mieux qu'assurer, avec une prestation tout à fait remarquable, elle aussi.
Il a été le lauréat du Grand Prix de littérature policière et du prix Mystère de la critique. Ce qu'en dit la presse Un thriller d'espionnage au féminin, haletant et passionnant. Michel Gardère - RADIO DUNES Le rythme est soutenu, le style percutant et riche, Jean-Hugues Oppel réinvente le roman d'espionnage moderne.