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Mais il est difficile de savoir dans quelle mesure cela compensera le manque à gagner en été et en automne avec des sécheresses estivales plus fréquentes. Dans les Mauges, à l'ouest d'Angers, l'étude conduite par l'Institut de l'élevage indique que l'augmentation de la température moyenne annuelle est de 1 °C sur quarante ans. « Mais les températures semblent s'être accrues plus vite au printemps qu'en été » tandis que « le cumul annuel des précipitations est inférieur à 710 millimètres ». Étude projet élevage vache laitière algerie.com. Du coup, il en résulte déjà « une sécheresse agronomique estivale parmi les plus longues, similaire à celles rencontrées dans le sud-ouest ». Un réchauffement beaucoup plus net au cœur de l'été Une autre question a été évoquée avec franchise et angoisse lors de cette journée d'étude. Quand on évoque 3, 5 °C de réchauffement d'ici la fin du siècle en cours par rapport au début du XIXe siècle, cela veut dire souvent + 1, 5 °C de plus en hiver et une moyenne de +6 °C de plus que la moyenne estivale lors de certains étés.
Intervenant lors des débats, l'expert laitier de la fondation Filaha Innove, Abdelhamid Soukehal, a plaidé, quant à lui, pour l'ouverture de filières dédiées à la formation d'éleveurs dans les centres de formation professionnelle et la création d'un centre national de recherche et développement dans le domaine de la production laitière. Pour rappel, l'Association algérienne des vétérinaires privés est fondée en mars 2018, œuvre pour l'organisation de la profession et la mise à niveau des connaissances des techniciens du secteur, ainsi que pour le développement de la santé animale.
Parmi les autres facteurs qui rentrent dans l'optimisation de la production laitière, Mme Boukeffa a évoqué aussi les conditions d'alimentation et la conduite des fermes laitières, recommandant dans ce sillage la multiplication d'actions de sensibilisation en faveur des éleveurs traitant des questions de maîtrise de l'élevage, de la croissance des animaux (vaches, chèvres, brebis) ainsi que sur des techniques modernes d'engraissement de reproduction. Élevage bovin en Algérie — Wikipédia. Pour sa part, le directeur général d'Agro Conseils, Yahia Aissa, un Algérien installé au Canada depuis près 30 ans, a plaidé pour la formation des éleveurs dans le domaine de l'insémination artificielle, soulignant que cette activité, réservée uniquement aux vétérinaires algériens, devrait être vulgarisée pour permettre aux exploitants d'améliorer les performances du secteur et de ne pas dépendre des autres intervenants. L'ouverture de cette activité (insémination artificielle) qui est encore sous le monopole exclusif du Centre national d'insémination artificielle et d'amélioration génétique (CNIAAG) a été soulignée, également, par M. Aissa faisant observer que les semences génétiques importées ne couvrent pas encore les besoins exprimées par les éleveurs algériens.
Pour cela, il faudrait aussi que la réforme de la Politique agricole commune qui fera suite à l'élection des députés au Parlement européen soit centrée sur l'adaptation de nous systèmes agronomiques aux changements climatiques. Ce qui suppose d'orienter les aides européennes en conséquence.
Dans le cadre des relations économiques bilatérales entre les deux pays, Smaïl Chikhoune annonce la visite d'une mission d'hommes d'affaires américains en Algérie du 10 au 12 octobre. Lors de son séjour en Algérie, cette délégation multisectorielle rencontrera les responsables des ministères de l'Industrie, de l'Énergie et des Travaux publics afin d'étudier les opportunités de partenariat dans ces secteurs. Selon lui, deux grandes compagnies américaines qui seront du voyage sont à la recherche de partenaires algériens pour la production locale dans certains créneaux industriels. Projet de creation d'une unite d'elevage de vache laitiere dans la .... L'une de ces deux compagnies cherche à nouer un partenariat dans la production de valves utilisées dans les raffineries et dans le secteur hydraulique dure réalité 2019 -la société américaine a été créée à partir de zéro avec 500 dollars de capital dans le but du méga projet de Brézina et sans aucune expérience ni réalisations dans le domaine agricole mais dans un but maléfique avéré. Cette société comptait sur l'argent des banques algériennes exclusivement pour "asseoir" un projet démesuré et féerique à Brézina, le principal objectif était de détourner et de pomper les fonds en devises hélas comme bien d'autres domaines de l'industrie algérienne.