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P. Aelius Aristide, Eloge de Rome (144 ap. ), traduction extraite de A. Michel, La philosophie politique à Rome d'Auguste à Marc Aurèle, Paris, A. Colin, 1969. 1. Présenter le document en insistant sur l'auteur et le contexte. 2. Quelles sont, d'après le texte, les différences entre les cités grecques et la cité romaine? 3. Évaluation athènes et rome seconde d. Définir la nature de la citoyenneté romaine et expliquer le point de vue de l'auteur. 4. Quelles ont été les étapes de la diffusion de la citoyenneté romaine dans l'empire? 5. Quel est l'intérêt de ce texte? Quelle critique peut-on en faire? Les réponses aux questions doivent reposer sur de courtes citations du texte expliquées par des faits historiques précis tirés du cours ou du manuel. Présentation et orthographe: 2 points Objectifs à atteindre Acquis En voie d'acquisition Non acquis Maîtrise des notions du cours Prélever des informations d'un document Eclairer les informations d'un document par ses connaissances Rédiger des réponses argumentées en mobilisant ses connaissances Maîtrise de la langue
2 pts Documents 2 et 3: 5. Comment les Européens sont-ils perçus par les indigènes? 2 pts 6. Comment les Européens perçoivent-ils ces populations qu'ils rencontrent? 3 pts 7. Expliquez en quoi le point de vue de Montaigne est radicalement opposé à celui, un siècle plus tôt, de Colomb. 4 pts 8. Question de cours: définissez la notion de « commerce triangulaire ». 2 pts
Des étrangers libres Des citoyens libres Des esclaves 9 L'empire romain mesure: 12 millions de km² 1 million de km² 4 millions de km² 8 mille km² 100 millions de km² 10 Avant de devenir un empire, Rome fut... Une démocratie Une république Une oligarchie Une dictature Une tyrannie
Ni la mer ni l'étendue d'un continent ne peuvent être un obstacle à l'accession à la citoyenneté; dans ce domaine l'Asie n'est pas séparée de l'Europe. Tout se trouve ouvert à tous; il n'est personne digne du pouvoir ou de la confiance qui reste un étranger […]. Évaluation athènes et rome seconde guerre mondiale. Comme nous l'avons dit, vous avez, en hommes généreux, distribué à profusion la cité. Vous n'en avez pas fait un objet d'admiration en refusant de la partager avec quelqu'un d'autre; au contraire, vous avez cherché à en rendre digne l'ensemble des habitants de l'Empire; vous avez fait en sorte que le nom de Romain ne fût pas celui d'une cité, mais le nom d'un peuple unique […]. Vous avez fait passer la ligne de partage entre les Romains et les non-Romains. […] Depuis que ce partage est réalisé, nombreux sont ceux qui, dans chaque cité, sont les concitoyens de vous-mêmes autant que de ceux issus de leur propre race, bien que quelques-uns d'entre eux n'aient encore jamais vu votre cité. Il n'est pas besoin de garnisons dans leurs acropoles car, partout, les hommes les plus importants et les plus puissants gardent pour vous leur propre patrie.