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Le financement de base octroyé aux organismes communautaires devra aussi tenir compte des impacts de la covid sur leurs activités. Il en va de même pour les fonds dédiés aux journaux et aux radios communautaires francophones à travers le pays. Ce secteur connaissait déjà son lot de difficultés avant même que la pandémie n'accentue des situations financières souvent déjà précaires. Les journaux et radios communautaires francophones connaissaient déjà leur lot de difficultés avant la pandémie. Photo: Tim Mossholder, Unsplash L'i mmigration francophone Le prochain plan devra non seulement permettre de renforcer les mesures visant une intégration réussie des personnes immigrantes au sein des communautés, mais aussi viser à ce que le gouvernement puisse atteindre des objectifs beaucoup plus ambitieux en matière d'admissions d'immigrants francophones. Pour les 11 premiers mois de l'année 2021, période pour laquelle les données sont disponibles, le taux d'immigration francophone est seulement de 1, 95%.
Photo: Sincerely Media, Unsplash Le temps presse pour entamer les consultations En entretien avec Francopresse en novembre dernier, Mme Petitpas Taylor avait indiqué qu'aucune date n'était encore fixée pour le début des consultations devant mener à l'élaboration du prochain Plan d'action. Or, le temps presse pour entamer cet exercice qui permettra de déterminer les priorités des communautés. Les consultations pancanadiennes pour le Plan 2018-2023 s'étaient déroulées entre juin et décembre 2016, soit plus d'un an avant sa publication en mars 2018. Nous sommes déjà à près de 8 mois de retard en comparaison à l'échéancier précédent. Les discussions entourant les défis qui ont émergé depuis la publication du dernier plan et ceux qui se posent toujours permettront de cibler les secteurs pour lesquels de nouveaux investissements sont nécessaires. Langues officielles et enjeux connexes Les dernières années ont notamment été caractérisées par un accroissement du déficit en immigration francophone, une pénurie de main-d'œuvre dans plusieurs secteurs-clés pour la vitalité des communautés et un état de crise au sein du secteur postsecondaire en français.
le Vendredi 6 mai 2022 7:30 Politique Photo: Chelsey Faucher – Unsplash FRANCOPRESSE – Les annonces d'investissements pour renforcer les établissements postsecondaires en francophonie minoritaire se sont multipliées depuis le dépôt du projet de loi C-13, visant à moderniser la Loi sur les langues officielles. Parallèlement, la ministre fédérale Ginette Petitpas Taylor a indiqué à Francopresse qu'elle espère commencer les consultations sur le futur Plan d'action pour les langues officielles avant la fin de la session parlementaire, vers la fin juin. Francopresse: Plusieurs établissements postsecondaires francophones ont bénéficié d'investissements supplémentaires du fédéral ces dernières semaines. Est-ce que vous prévoyez assurer un appui permanent au postsecondaire en français dans le prochain Plan d'action pour les langues officielles 2023-2028? Ginette Petitpas Taylor: C'est sûr que le postsecondaire va jouer un rôle clé dans notre plan d'action, puisque nous avons fait des annonces dans ce sens [depuis le dépôt du projet de loi C-13].
Nations Unies Imprimer Vingt et unième session, 9e séance plénière, après-midi L'Instance permanente sur les questions autochtones a poursuivi, cet après-midi, son débat sur ses six domaines d'action (développement économique et social, culture, environnement, éducation, santé et droits humains), avant d'entendre un bilan du Fonds de contributions volontaires des Nations Unies pour les peuples autochtones, présenté par sa présidente, Mme Marjolaine Etienne. Après avoir précisé que le Fonds a, depuis sa création, permis à 3 000 représentants autochtones de participer aux travaux des Nations Unies, notamment sur les changements climatiques et les droits humains, Mme Etienne a regretté qu'aucune subvention n'ait pu être allouée en 2021 en raison de la pandémie de COVID-19. La Présidente du Fonds s'est néanmoins félicitée que 20 représentants autochtones issus des sept régions autochtones du monde ont pu bénéficier de l'appui du Fonds pour participer aux travaux 2022 de l'Instance, avant de remercier les délégations de l'Australie, du Canada, du Chili, de la Finlande, de l'Estonie, de l'Allemagne, du Mexique, de la Norvège, des Philippines et du Pérou dont les contributions, depuis trois ans, ont garanti la durabilité de l'intervention du Fonds.