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Ma question est donc: ne faut-il mettre que les crottes ou peut-on mettre l'ensemble de la litière (litière végétale, indiquée compostable)? par hadaocam » ven. 21 mars 2014 14:58 moi j'utilise que les crottes, car la litière et la paille sont un peu difficile à décomposer à l'air libre sous les plantes. Ca marche une tonnerre avec mes rosiers, j'en ai planté 2 à racines nues (ca resemble à 2 braches mortes en effet) fin mai, et juillet aout j'ai eu pleines de fleurs magnifiques par griotte17 » ven. 04 avr. 2014 13:56 ah merci du conseil (désolée, j'avais loupé la réponse); justement j'ai installé plusieurs rosiers cette année, ils vont en profiter. Effluents d'élevage : un intérêt économique et environnemental. L'an dernier, j'ai mis de temps en temps la litière dans le composteur, mais je ne trouve pas ça génial, elle ne se décompose pas trop je trouve... Denis-le-jardinier-en-her Fleur de pipelette Messages: 603 Inscription: dim. 17 déc. 2006 17:14 Région: Rhone Alpes Localisation: Vallée de l'Arbre a 700m par Denis-le-jardinier-en-her » lun. 07 avr.
Cependant, il s'agit toujours d'un composé fermenté renfermant plusieurs micro-organismes et bactéries. D'ailleurs, les experts du domaine agricole recommandent de laisser le compost vieillir pendant une durée d'au moins 4 mois avant de l'appliquer. Potager : quels sont les meilleurs fumiers pour le jardin ?. Cela permet de faire mourir les germes et agents pathogènes présents dans le fumier afin de rendre son utilisation sans danger. Cette mesure est très importante si le compost veut être appliqué sur des plantes à racines comestibles comme les carottes, les betteraves, la laitue, etc. En effet, ces derniers entrent en contact avec le compost dans le sol, augmentant ainsi le risque que les agents pathogènes finissent dans vos assiettes. Il faut donc prendre le soin de bien laver ses genres de produits pour éviter toute contamination.
«Au début, c'était juste un passe-temps, avec deux lapins qui m'avaient été confiés par Action pour la santé rurale et le développement, une association qui œuvre dans le comté de Bungoma. Les informations que m'a fournies cette association sur les lapins m'ont encouragé à franchir le pas, et je ne regrette pas ma décision». Cette découverte, il ne l'a pas gardée pour lui, mais en a fait profiter ses voisins, piquant l'intérêt de nombreux cultivateurs de la région qui ont commencé, depuis lors, à lui acheter de l'urine pour optimiser à leur tour leurs résultats. Dans le bâtiment rudimentaire qui abrite ses lapins, Humphrey Wangila a imaginé un système qui lui permet de récupérer l'urine et le fumier, qu'il rassemble ensuite et emmagasine. Le jour de l'entrevue, il avait en magasin près de 25 litres d'urine qu'il vendra pour 1. 000 shillings (environ 9 euros) le litre aux cultivateurs, soit 25. Valeur fumier de lapin d. 000 shillings (220 euros) au total, à l'heure où la demande d'urine va croissant. Humphrey Wangila, qui s'est également livré à des expériences sur de jeunes pousses d'arbres, est devenu un exemple dans ce village réputé pour la culture de la canne à sucre et du maïs.