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Extrait du commentaire composé du livre "Le Spleen de Paris" Le joujou du pauvre est un poème en prose extrait du recueil de poème Le Spleen de Paris. Il met en scène deux enfants, un pauvre et un riche, et un rat. Le riche oublie son jouet et est fasciné par le joujou du pauvre (le rat vivant). On a une morale implicite. Nous verrons en quoi ce poème en prose est un apologue. Texte étudié \"Le Joujou du Pauvre\" de Baudelaire (Le Spleen de Paris): Je veux donner l'idée d'un divertissement innocent. Il y a si peu d'amusements qui ne soient pas coupables! Quand vous sortirez le matin avec l'intention décidée de flâner sur les grandes routes, remplissez vos poches de petites inventions d'un sol, - telles que le polichinelle plat mû par un seul fil, les forgerons qui battent l'enclume, le cavalier et son cheval dont la queue est un sifflet, - et le long des cabarets, au pied des arbres, faites-en hommage aux enfants inconnus et pauvres que vous rencontrerez. Vous verrez leurs yeux s'agrandir démesurément.
Cette construction montre que la grille est le lieu de séparation des deux univers que le poète appelle lui-même les «deux monde», comme opposés l'un à l'autre. On observe d'un côté un «vaste jardin [... ] joli château» et de l'autre une nature à l'état sauvage avec «les chardons et les orties». Baudelaire montre donc deux mondes qui s'opposent, l'un entretenu et éclatant, l'autre laissé à l'abandon. Le poète oppose les deux enfants. Il utilise un lexique mélioratif pour l'enfant riche caractérisé par: «un enfant beau et frais», «si pleins de coquetteries» et un lexique péjoratif pour l'enfant pauvre avec «un autre enfant, sale, chétif, fuligineux». Les contrastes entre les deux enfants rendent leurs différences évidentes. L'enfant riche est plus Commentaire le joujou du pauvre 1448 mots | 6 pages COMMENTAIRE LE JOUJOU DU PAUVRE de Charles Baudelaire e A partir du XIX siècle, le vers mesuré et la rime ne constituent plus des critères essentiels de l'écriture poétique. Ainsi, nombre de poètes se libèrent des contraintes formelles de la poésie traditionnelle et composent des poèmes en prose.
L'auteur raconte une histoire, une anecdote qu'il veut riche en enseignements, et disparaît. Il utilise le présent de vérité générale (« le luxe, l'insouciance et le spectacle habituel de la richesse, rendent ces enfants-là si jolis » ligne 6). L'auteur ne se contente pas d'exposer ses idées personnelles, il les généralise et ne permet pas d'en douter. Il expose ici sa vision de la vie sur un ton didactique. A travers le récit s'opère une démonstration symbolique: il s'agit donc d'une fable dont la morale est laissée à l'appréciation du lecteur. Le poème en prose suggère et incite au rêve. Il n'y a pas ici de dénonciation de l'enfance malheureuse, pas d'apitoiement, ni de misérabilisme. Baudelaire ne se pose pas en défenseur de l'enfant opprimé Par-delàl'opposition de classe, l'auteur souligne l'innocence sociale de l'enfant. L'enfant pauvre et l'enfant riche atteignent la réciprocité joyeuse dans leur capacité à l'émerveillement. L'enfant apporte un regard neutre et ébloui sur le monde.
Nous constatons que l'enfant riche est fasciné par le jouet de l'enfant pauvre, alors que le riche en possède un beaucoup plus beau. La différence sociale est symbolisée par des barreaux. La thèse de Baudelaire est en faveur d'une égalité sociale. Ce texte est un apologue car il contient une morale implicite infirmant que nous sommes tous égaux. Seuls l'innocence des enfants et le regard de l'artiste peuvent dépasser ces différences sociales. Uniquement disponible sur
» / « dont un œil impartial découvrirait la beauté, si, comme l'œil du connaisseur devine une peinture idéale sous un vernis de carrossier, il le nettoyait de la répugnante patine de la misère. »). Les termes « pâte », « peinture », « vernis », « patine », font clairement référence à la peinture.... Uniquement disponible sur
Le luxe, l'insouciance et le spectacle habituel de la richesse, rendent ces enfants-là si jolis, qu'on les croirait faits d'une autre pâte que les enfants de la médiocrité ou de la pauvreté. À côté de lui, gisait sur l'herbe un joujou splendide, aussi frais que son maître, verni, doré, vêtu d'une robe pourpre, et couvert de plumets et de verroteries. Mais l'enfant ne s'occupait pas de son joujou préféré, et voici ce qu'il regardait: De l'autre côté de la grille, sur la route, entre les chardons et les orties, il y avait un autre enfant, sale, chétif, fuligineux, un de ces marmots-parias dont un œil impartial découvrirait la beauté, si, comme l'œil du connaisseur devine une peinture idéale sous un vernis de carrossier, il le nettoyait de la répugnante patine de la misère. À travers ces barreaux symboliques séparant deux mondes, la grande route et le château, l'enfant pauvre montrait à l'enfant riche son propre joujou, que celui-ci examinait avidement comme un objet rare et inconnu. Or, ce joujou, que le petit souillon agaçait, agitait et secouait dans une boîte grillée, c'était un rat vivant!