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C'est arrivé progressivement pour 53% d'entre eux et, pour 30% des répondants, cela était complètement inattendu. 30% de filles avouent avoir pratiqué la fellation lors de leur toute 1ère relation sexuelle. De même, 34% des garçons admettent avoir gratifié leur copine d'un cunnilingus. Les adolescents vivent leur première relation sexuelle avant tout comme une belle expérience amoureuse. La génération dite « X » (37% des garçons disent s'être initiés à la sexualité en regardant des films pornos) reste sentimentale. Des filles qui baiser. L'amour est présent la plupart du temps lors de la première fois puisqu'ils affirment: « Je l'aimais et je la désirais » pour 63, 5% des garçons; « je l'aimais et je le désirais » pour 70% des filles. C'était même « l'amour de [leur] vie » pour 70% des garçons et pour 79% des filles. Et oui, à l'ère du web et des rencontres virtuelles le romantisme est toujours vivant! Pour 3% des filles et 10% des garçons cette première fois était vécue avec une personne du même sexe. Participants à l'enquête: 4629 répondants âgés de 12 à 30 ans et répartis comme suit: 75% de filles pour 25% de garçons.
Temps de lecture: 2 min — 8 octobre 2013 à 11h06 Qui aujourd'hui a entendu parler des furies d'Hitler? Presque oubliées par l'histoire, ces femmes nazies doivent être prises très au sérieux et ne pas être considérées comme des anomalies. «Ce n'était aucunement des sociopathes marginales», avertit Wendy Lower, auteure du livre Hitler's Furies: German women in the nazi killing fields ( Les furies d'Hitler: les femmes allemandes sur les champs de tuerie nazis) dans un article pour le Daily Beast. Bien que les exemples documentés de mise à mort directe ne soient pas nombreux, comme leur pendant masculin, elles croyaient en la justesse de leur cause. Des filles qui base de données. Tuer reflétait dans leur esprit l'expression même de la loyauté. Dans son livre, Wendy Lower relate notamment un «épisode» survenu le 16 septembre 1942 dans la ville de Volodymyr-Volynskyï, à la frontière entre l'Ukraine et la Pologne. Johanna Altvater, 22 ans à son arrivée en 1941, décide de participer elle aussi à la «Solution finale», pratiquée à «100%» dans ce camp.